Chapitre 3

4745 Words
Petit à petit je rapprochais mon visage du sien alors qu'elle fermait les yeux, sa respiration était rapide, j'ai scellé mes lèvres sur les siennes en lui donnant un long bisou, puis j'ai écarté mes lèvres et elle a fait de même, j'ai laissé ma lèvre supérieure entre la sienne et sa lèvre inférieure entre la mienne et moi avons commencé le b****r sans hâte. J'entrai lentement dans sa bouche avec ma langue alors qu'elle me laissait passer, cela n'a pas pris longtemps et je pouvais sentir sa langue rencontrer la mienne. J'ai tracé sa langue en cercle avec la mienne à quelques reprises et j'ai rapidement augmenté l'intensité du b****r. À ma grande surprise, Lu a répondu avec la même intensité. J'ai senti sa main caresser mon bras et petit à petit, elle aussi 'lâchait'. Je glissai ma main de sa joue à sa nuque et la caressai du bout de mes ongles, Lu avança son corps plus en avant, pressant ainsi davantage nos lèvres. J'ai amené mon autre main jusqu'à sa cuisse et je l'ai caressée, sans méchanceté – pour l'instant – puis je l'ai serrée légèrement. Nos langues étaient parfaitement synchronisées jusqu'à ce qu'elle s'éloigne rapidement de moi en entendant Junior entrer sans frapper à la porte. Junior : Mince, je suis déjà... - Il s'est rendu compte de ce qui se passait et à quel point il avait ruiné tout ce qui allait se dérouler - Ah, désolé ! – Totalement gêné – Je suis juste venu te faire savoir que moi, ouais… je… eh bien – Il a réussi à se pelotonner – Je vais à mon appartement car il est déjà tard. Je laisserai ma clé à Mara quand tu partiras, prends-la avec elle. Bonne nuit Lu. Bonne nuit Ge et excusez tout. - Il est parti en fermant la porte rapidement. Luana : Merde ! – Elle se dirigea vers la porte – Junior le vit. Geane : Calme-toi. – Je me suis levé et je suis allé vers elle – Junior est de bonnes personnes, je vais lui parler et personne ne saura rien, d'accord ? - J'ai souri en essayant de la calmer. Elle m'a rendu mon sourire. Luana : D'accord. Geane : Bon, j'arrive aussi donc il est tard. Luana : Ok. – Je me suis rapproché d'elle. Geane : Bonne nuit. – J'ai à nouveau rapproché mon visage du sien, mais je lui ai picoré la joue. Si cela avait été quelqu'un d'autre, je l'aurais embrassée à nouveau, mais Lu me rendait peu sûre de moi. Luana : Bonne nuit, Ge. - Il a souri. Avec beaucoup d'efforts, je quittai sa chambre. J'ai obtenu la clé de Mara et suis allé à son appartement. En arrivant là-bas, je l'ai vu allongé sur le canapé. Junior : Apparemment, il n'y a pas que moi qui ai gagné la soirée. - Il a ri d'un air moqueur. Geane : Merci d'avoir bousillé mes plans, Junior. – Il est devenu sérieux. Junior : Oh Ge, c'était mauvais, je n'imaginais pas que tu resterais avec Lu. Geane : D'accord. – Je me dirigeai vers le canapé et m'assis à côté de lui – C'était juste un b****r. Junior : Dis-moi comment tu es arrivé là. Geane : On a parlé, j'ai insisté et je l'ai embrassée. - Le sourire. Junior : Alors, face à ça ? Geane : Bien sûr. – J'ai encore souri. Junior : Mais tu es juste arrogant quand tu bois. Tu as bu? Geane : Bien sûr que non, Junior. Junior : se révèle en Ge. - Rires - Mais alors, est-ce qu'elle a aimé ça ? Geane : Je ne sais pas. - J'ai défait mon sourire. Junior : Comment peux-tu ne pas savoir, Ge ? Geane : Allez Junior, je ne lui ai pas demandé. Imaginez à quel point je me suis tourné vers elle... 'Alors, avez-vous aimé être avec moi ?' S'il te plaît? Junior : Tu as raison. Mais comment saurez-vous ? Geane : Je ne sais pas. – J'ai commencé à rire – Mais qu'en est-il de vous. - J'ai touché un oreiller sur lui - .. as-tu bien attrapé la brune ? – J'ai souri malicieusement. Junior : Oh se faire prendre ! Je l'ai pris et j'ai l'intention de le reprendre ! Tu peux te détendre, je t'appellerai toujours pour tenir compagnie à Lu maintenant. - Il a ri d'un air moqueur. Geane : Je ne dirais rien de mal. – Sourires – Mais j'y vais, j'ai besoin de chasser quelques chansons pour samedi prochain. Junior : Tu vas jouer à La Tienda ? Geane : Je le ferai. Y apparaîtra-t-il, n'est-ce pas ? Junior : Je serai certainement le premier. Geane : Qu'est-ce que tu ne fais pas pour toiletter le bon bâtard général ? – Sourires – Bonne nuit Junior. Junior : Je vais vous accompagner jusqu'à la porte. – Il m'a fait un bisou puis a ouvert la porte – Bonne nuit et fais de beaux rêves – murmura-t-il – avec mon voisin ! Geane : Shiiii, tais-toi mec ! – J'ai souri et puis j'ai perdu mon sourire – Oh Junior, mets-moi dans l'ascenseur, veux-tu ? Junior : Hé, tu ne prends pas les escaliers ? Geane : Non, il fait nuit là-bas. - Il rit. Junior : Allez, alors. – Junior me rejoint dans l'ascenseur et je m'emmène au rez-de-chaussée. Je me dirigeai vers ma voiture et me dirigeai vers mon appartement. En arrivant, j'ai pris une longue douche, pris mon cahier dans la chambre et suis allé dans le salon. Je l'ai laissé tomber sur le canapé, je me suis versé un Pepsi glacé et j'ai commencé à télécharger de la musique. J'essayais parfois de me concentrer sur les chansons et de les imaginer avec un effet de speed back, scratch, back I'm back... sur moi, dansant avec elle, la façon dont elle me regardait, bref, tout ce qui impliquait Lu. J'ai arrêté d'essayer de travailler et je me suis endormi. Je suis resté à la maison tout le lundi à travailler sur les chansons, le temps que je m'arrêtais pour me reposer était juste pour penser à Lu, cette fille ne quittait plus mes pensées. La semaine passa doucement, le mercredi je suis allé au live house pour voir un ami jouer puis je suis rentré chez moi, le reste des jours était monotone. Enfin samedi est arrivé. J'ai pensé à rendre visite à Junior. – Oui, belle excuse pour voir Lu – J'ai pris ma douche, perfectionné mon look et quand j'ai fini de me maquiller, mon portable se met à sonner, j'ai regardé l'écran et c'était un numéro inconnu. Qui sera juste maintenant ? – J'ai marmonné. Geane : Bonjour ? Xxx : Salut Geane, c'est Carla, tu te souviens de moi ? - Elle a souri. Geane : Salut Carla – Gee, tout de suite ! – Oui, je me souviens, comment vas-tu ? Carla : Tout va bien ma belle et avec toi ? Geane : Tout en ordre aussi. Quelle surprise tu m'as appelé. Carla : Oh, tu m'as manqué. – Elle sourit – Alors, qu'est-ce que tu vas faire dans une demi-heure ? Geane : Ah...- voir Lu-...Rien, pourquoi ? Carla : Tu veux m'accompagner au dancing sur le trottoir ? Je ne prends pas non pour une réponse hein. - J'ai fait un sourire. Geane : Alors j'accepte. Carla : Super. Je passe chez toi pour venir te chercher, peux-tu me donner l'adresse ? Geane : Bien sûr. Connaissez-vous le kiosque Parada Certa sur la plage ? Carla : Oui, il y a de très bonnes boissons là-bas. - Elle a souri. Geane : Oh tu gouttes ! – J'ai souri aussi – Alors, c'est dans le bâtiment de la rue derrière lui. Carla : C'est la seule du quartier non ? Geane : Celui-là. Carla : Je sais où c'est, j'y serai dans une demi-heure. Embrasser. Geane : D'accord. Embrasser. Je raccrochai. Super, je ne voulais même pas voir Lu ! ai-je marmonné. Pendant ce temps à l'appartement de Lu Luana : Mara, j'ai besoin de te parler. Mara : C'était quoi le japa ? Luana : Je dois te dire quelque chose. Mara : Tu peux parler. – Il feuilletait son magazine. Luana : Tu connais Ge, l'ami de Junior ? Mara : Ouais, DJ, quoi de neuf ? Luana : Je...- Elle est restée sans voix pendant quelques secondes - ...Je suis restée avec elle. – Mara la regarda avec surprise. Mara : Tu quoi ? Luana : Oui, je suis restée avec elle. J'étais curieux de savoir ce que c'était que d'être avec une fille et à quel point elle est bi, j'ai accroché avec elle. Je te le dis parce que je sais que tu as aussi eu des relations avec des filles. Mara : Et tu as aimé ça ? - Elle a souri. Luana : Je ne sais pas. - Il s'est jeté sur le canapé. – Je n'arrête pas de penser à son b****r. Mara : Aiaiai, tu n'es pas tombé amoureux d'elle, n'est-ce pas Lu ? Luana : Bon sang, bien sûr que non ! Mara : Credo pourquoi ? C'est la chose la plus normale, même si c'est de femme à femme, bien sûr. Luana : OMG – Ses yeux se sont agrandis. – Suis-je amoureux d'une femme ? Mara : Il n'y a qu'une seule façon de savoir. Luana : Dans quel sens ? - Il craignait la réponse de son ami. Mara : Tu sors avec une autre femme pour voir si tu ressens la même chose. Luana : Être avec une autre femme ? - Il a fait une expression confuse. – Ça ne peut pas être le Eh bien ? Mara : Non. – Elle a souri. – Resterais-tu avec Ge ? Luana : Je le ferais. Mara : Wow, tu n'as même pas eu à réfléchir. - J'ai commencé à rire. Luana : Ne ris pas Mara, sérieusement ! - J'ai commencé à balancer Mara. Mara : Reste avec une autre fille et compare les baisers. Si vous aimez les deux, bienvenue au bi club. Maintenant, si vous n'aimez que le b****r de Ge, bienvenue dans le club des passionnés. Luana : Mais où vais-je trouver une autre fille lesbienne ou bi, je ne sais pas ? Mara : Allons à la salle de concert sur le trottoir, c'est une salle de concert gls, j'irais directement là-bas. Luana : Okay, je vais me préparer et on y va, attends. Cela faisait 25 minutes que Carla ne m'avait pas appelé, bientôt elle viendrait me chercher. J'ai décidé de l'attendre en bas, ça n'a pas pris longtemps et elle garait déjà sa voiture devant mon immeuble. Je l'ai saluée avec un b****r sur la joue et nous parlions de la semaine qui s'est écoulée jusqu'à ce que nous arrivions au live house, c'était tout près. Dès notre arrivée, nous avons choisi une table et commandé quelque chose à boire. La salle était pleine à craquer et il n'était même pas encore minuit. Carla était une excellente compagnie. - J'avoue. – Elle était de bonne humeur, mature, avait toujours un nouveau sujet, mais rien ne me faisait perdre l'envie d'être avec Lu, parfois je pensais donner une excuse pour partir et m'enfuir dans l'appartement de Lu, mais je ne pouvais pas penser à rien de convaincant. J'ai dansé environ quatre chansons avec Carla, puis nous nous sommes de nouveau assis. Il faisait très chaud, nous avons décidé de commander un autre verre pendant que nous nous reposions un moment. Après quatre bières, je riais déjà de quelque chose, je disais des bêtises, je dansais assis, c'est-à-dire ivre. Carla était sortie passer un coup de fil et je l'attendais, je regardais vers le comptoir essayant de penser à un autre verre à commander jusqu'à ce que je voie une blonde appuyée contre lui, pas très grande, avec un corps entièrement dessiné et par le façon dont elle était seule. – Oh si Carla n'était pas avec moi ! – Je regardais cette brune jusqu'à ce que je puisse voir son visage, ce n'était autre que Lu. - Qu'est ce qu'elle fait ici? – J'ai vite remarqué que Mara était avec elle. – Je parie qu'ils sont venus danser ! – J'ai souri à moi-même. Mais ils n'étaient pas seuls, Mara a amené une autre fille et l'a présentée à Lu, j'ai tout regardé jusqu'au retour de Carla. Je l'ai un peu déguisé, mais j'ai continué à regarder Lu de loin, il y avait quelque chose que je n'aimais pas entre eux trois. J'ai essayé de converser normalement, mais mes yeux ne s'écartaient pas de ce comptoir. J'ai souri à Carla sans rien remarquer, Mara a maintenant laissé Lu et l'autre fille seuls. - D'accord, elle va boire un verre ou aller aux toilettes. - Bientôt j'ai cassé mon sourire quand j'ai vu Lu et la fille s'embrasser, une colère m'a pris en une fraction de seconde. J'ai détourné le regard pour ne pas voir cette scène ridicule et je me suis levé de table. Geane : Je reviens tout de suite, je vais aux toilettes. – J'ai quitté Carla rapidement et suis allé à la salle de bain, en y arrivant j'ai posé mes mains sur le lavabo et me suis regardé dans le miroir en me souvenant du b****r dont je venais d'être témoin. - Apparemment, elle aimait être avec des filles. - J'ai mouillé un peu ma main et j'ai frotté la nuque. – Et si elle sortait avec une autre fille ? Ce n'est peut-être même pas le premier après moi. – Je me forçai à sourire, mais plus je réfléchissais, plus je me mettais en colère et tout ce dont j'avais besoin à ce moment-là, c'était d'un verre. J'ai quitté la salle de bain et j'ai vu Lu parler maintenant à cette fille, sur un coup de tête je me suis approché d'eux. Geane : Quelle surprise de te voir par ici, Luana ! — Rapidement elle se tourna vers moi assez surprise. Luana : Ge, vous par ici ? Geane : Ouais, moi ! – J'ai forcé un sourire. La fille qui était avec elle a remarqué une atmosphère tendue entre nous et a donné l'excuse qu'elle irait aux toilettes et reviendrait tout de suite. Luana : tout va bien pour toi ? - Elle était sérieuse et tendue. Geane : c'est avec toi ? Apparemment tout est super ! - Le sourire. Luana : Je ne comprends pas ce que tu veux dire. Geane : Apparemment, tu aimais vraiment traîner avec des filles. Luana : Avez-vous vu le...- Je l'ai interrompue. Geane : Tes deux s'embrassent ? – J'ai souri ironiquement – je l'ai vu. Luana : Regardez Ge...- Je l'ai encore interrompue. Geane : Non Lu, ça va, il faut vraiment que tu profites. Comme je l'ai dit, profite et reste avec les filles puisque ton copain est loin, ce n'est pas vraiment une trahison, non. J'étais le premier, mais je sais que je ne serai pas le seul. - Sourires - Je t'ai juste donné le courage de voir qu'il n'y a rien de mal à ça. Je connais de très bonnes salles gls, quand tu dois me contacter, d'accord ? Eh bien, je dois y retourner maintenant, bonne fête. – Je lui ai tourné le dos. Luana : Oh, attends ! Geane : Embrasse Lu. – J'ai marché un peu parmi les gens puis je suis revenu à table avec Carla. Carla : Wow, ça prend tellement de temps, bébé. Geane : Désolé. – J'ai forcé un sourire. Carla : D'accord, Ge ? Geane : oui, pourquoi ? Carla : Tu es différente, tu sembles moins excitée. La boisson vous a-t-elle fait mal ? Geane : Non. – Sourires – Ça doit être ton impression. – J'ai de nouveau regardé vers le comptoir et maintenant Lu et Mara parlaient, bientôt la fille est arrivée et a serré Lu par derrière. J'ai détourné le regard parce que la colère me reprenait. J'ai commandé un autre verre et un autre et un autre. Il était quatre heures du matin et j'étais tellement ivre que je n'arrivais même plus à garder l'équilibre. Carla a mis mon bras sur son épaule, m'a serré autour de la taille et je me suis endormi. 13 heures et 30 minutes, l'appartement d'Ariel. J'ai commencé à ouvrir les yeux petit à petit, à la façon dont la lumière a envahi mes yeux, j'ai pu voir qu'il faisait jour, j'ai regardé l'horloge et elle a dit 13h30. J'avais très mal à la tête et je ne me souvenais de rien, absolument rien. J'ai pris mon téléphone portable sur la table de chevet et j'ai vu que j'avais 11 appels de Carla, j'ai décidé de rappeler. Carla : Salut Ge. Elle parlait doucement, mais à mon mal de tête, j'avais l'impression qu'elle criait. Geane : Salut Carla, comment vas-tu ? Carla : Tout. Et vous, vous êtes-vous amélioré ? Geane : Mieux que ? Carla : De l'ivrogne que tu as. Je devais te ramener à la maison, te déshabiller, te donner un bain et t'endormir. – J'ai regardé mon corps et j'étais nu. Geane : Oh Carla, je suis désolé d'avoir abusé hier. C'est dommage. Carla : D'accord. - Elle a souri. – Je te pardonne à une condition. - J'ai souris. Geane : Laquelle ? Carla : Que tu acceptes de dîner avec moi aujourd'hui. Geane : Oh Carlinha, ça ne marchera pas. Aujourd'hui je vais jouer à La Tienda, je dois y aller tôt pour réparer le matériel. Carla : Tu pourrais au moins m'inviter à venir te voir, non ? – J'ai encore souri. Geane : Bien sûr, j'insiste pour que tu partes. Carla : Parfait. Jusqu'à la nuit chaton. Geane : Jusqu'à ce soir. - Je raccrochai. Ma tête me tuait, je me traînais jusqu'à la cuisine pour chercher des médicaments contre un mal de tête jusqu'à ce que je trouve de l'acétaminophène. – Regarde comme c'est gros, mec ! – J'ai laissé tomber la pilule dans l'évier, j'ai attrapé un couteau et je l'ai coupé en deux. – C'est encore gros, ça ne passera pas. « Je l'ai coupé en deux morceaux supplémentaires, j'ai rempli un verre d'eau et je l'ai avalé. Je me suis recouché et petit à petit je me suis souvenu de tout – ou presque – de ce qui s'était passé la nuit dernière. Lu avec la fille, leur b****r, le câlin que la fille lui avait fait. Incroyable comme nous nous souvenons toujours de ce qu'il ne faut pas faire à ces moments-là et la colère m'a repris une fois de plus. – Et s'ils restaient ? J'ai Carla, j'ai le monde, pourquoi me tourmenter en y pensant ?! - Autant je n'ai pas bien compris, autant ça m'a fait un peu mal. L'après-midi est passé vite, je me suis vite levé, j'ai pris une douche très froide pour soigner ce qui restait de la gueule de bois d'hier soir, j'ai fait mes bagages, je me suis habillé et je suis allé à La Tienda. J'ai salué le personnel de maison (personnel, DJs, barman...) et me suis rendu à la cabine DJ pour installer et connecter mes appareils. Cela n'a pas pris longtemps et la maison s'est ouverte, à cause du mouvement, ce serait une autre nuit de salle comble. J'ai joué un peu puis j'ai laissé l'autre DJ prendre le relais. Il faisait très chaud, alors je suis allé au comptoir et j'ai commandé quelque chose à boire. Xxx : Comme toujours, je suis devenu accro au son ! – J'ai regardé en arrière. Geane : Mon petit ami ! Arrivé tôt, en avez-vous pris combien ? Junior : Pas grand chose aujourd'hui, je suis accompagné. Geane : Mensonge. Perdu un pari ou quoi ? - J'ai ri. Junior : HAHAHA – Fais semblant de rire. – Je suis accompagné de Mara. - J'ai défait mon sourire. Geane : Et Lu est venu ? Junior : c'est là-bas. Elle est venue avec une amie. Mec, et quel ami hein ! - Il a souri coquin. Geane : Comment va-t-elle ? Junior : Blonde, un peu plus grande que Lu, yeux couleur miel – C'était la même fille d'hier soir – Et ainsi de suite. Geane : Oh. Junior : Qu'est-ce que c'est ? Geane : Rien. - Il savait que quelque chose n'allait pas. Junior : Tu vas retrouver Lu ? - Il a souri. Geane : Non. Carla est sur le point d'arriver. Junior : La blonde du barbecue ? Geane : Elle le fait. Junior : Je l'apprécie hein. - Il m'a touché. J'ai souris. Geane : Pas de gosse qui voyage. – J'ai vu Mara s'approcher de nous. Mara : Salut Ge, comment vas-tu ? – Je lui ai souri. Geane : Tout Mara et toi ? - Junior l'a serrée dans ses bras. Mara : Impossible mieux. - Elle a souri. Geane : Bien. – Lu est aussi arrivé avec cette fille. Luana : Bonne nuit, Ge. Geane : Bonne nuit, Lu. – J'ai regardé la fille – Salut – J'ai forcé un sourire – Bon, excusez-moi, mais je dois retourner à la cabane, bonne fête pour vous. - Éloignez-vous vite d'eux. Je suis monté dans la cabine et mes yeux ont cherché à apercevoir Lu, là elle était collée à cette fille. J'ai discuté un moment avec le DJ puis j'ai repris le dessus. Lu et la fille sont allés sur la piste de danse et ont commencé à danser, parfois ils s'embrassaient, parfois ils se frottaient et ça m'énervait déjà. J'avais déjà bu quelques caipirinhas pour avoir le courage de supporter cette scène toute la nuit. J'ai regardé sur le côté et j'ai vu une fille aux cheveux roux entrer dans la cabine. Xxx : Puis-je entrer ? Geane : Oui. – J'ai regardé chaque détail de ton corps et quel corps ! - Dégager. Xxx : Acceptez-vous ? – Il m'a offert une autre dose de caipirinha. Geane : Accepté. - J'ai souri et pris une gorgée. - Merci. Xxx : Pas besoin de remercier. - Elle m'a regardé d'un air provocateur. - Je peux te voir un peu ? Geane : Oui. – C'est pas autorisé en fait, mais merde ! Elle s'est approchée de la table, a regardé l'équipement et s'est approchée de moi. Quand je l'ai vue, elle était déjà devant moi, me tournant le dos en regardant la table. Xxx : Wow, comment vas-tu ici ? - Nous avons souri ensemble. Geane : Une question de pratique. Vous finissez par décorer. Son corps était entre mon corps et la table. Elle ne l'a pas lâché, elle a continué à regarder l'équipement et à frotter son corps contre le mien. Malgré l'envie, j'avais besoin de contrôler mes mains pour ne pas la toucher, après tout, je travaillais. Bientôt, elle a effleuré ses fesses contre ma hanche et cela m'a rendu fou ! Je me penchai un peu pour ramasser la caipirinha sur la table, appuyai mes seins contre son dos et en profitai pour appuyer une de mes mains sur sa taille et effleurer davantage ma hanche contre ses fesses. Elle haleta et pendant un instant j'oubliai que les gens par terre pouvaient tout voir. Quand je me suis touché, j'ai retiré ma main de son corps et je me suis un peu retiré. Xxx : Ne t'arrête pas ! Elle a continué à frotter ses fesses contre ma hanche. Geane : Je peux pas, pas ici ! Xxx : Alors, où puis-je vous attendre ? Geane : Attends-moi près de cette porte qui est à côté des toilettes. Dans quelques minutes j'y vais. Xxx : Ok. – Elle s'est tournée vers moi, a regardé mes lèvres, puis mes yeux. – Voyez si vous y allez vraiment. Je veux offrir un petit cadeau à mon DJ préféré. - Il a fait un clin d'œil puis a quitté la cabine. - C'était fermé! – Vingt-cinq minutes se sont écoulées et je me suis relayé avec l'autre DJ. Je suis sorti de la cabine, je suis allé au comptoir, j'ai pris une autre caipirinha et je suis allé à la rencontre de cette rousse. Elle était là, adossée au mur, avec un sourire très malicieux qui m'attendait. Sans me laisser le temps de dire un mot, dès que je suis arrivé, elle m'a attiré contre son corps et m'a embrassé. J'appuyai mon corps contre le sien et l'embrassai volontiers. Sa main caressa ma nuque et m'ébouriffa les cheveux. J'ai collé mes deux mains contre le mur à côté de sa tête – une de chaque côté – tandis qu'une de ses mains me serrait le dos. Sa langue cherchait la mienne avec insistance à chaque fois que je la sortais de sa bouche. Ensuite, j'ai pris une de mes mains sur son épaule et je l'ai glissé au-delà de sa poitrine, allant vers le côté de son corps, au-delà de sa taille jusqu'à ce que j'atteigne ses fesses et je l'ai serrée volontairement pendant que je prenais mon autre main sur ses fesses et que je serrais également lui. J'ai levé un peu sa jupe et j'ai pu voir qu'elle portait une toute petite culotte. À la façon dont elle pressait mon corps contre le sien, je pouvais dire qu'elle était déjà excitée comme je l'étais. Je ne pouvais rien faire d'autre, à part où nous étions, alors sans arrêter le b****r, j'ai commencé à marcher et à la faire reculer vers la porte de la salle de bain. Que quelqu'un nous voie ou non ne m'intéressait pas. J'ouvris la porte de la salle de bain et entra avec elle, ne rompant toujours pas le b****r. Je l'ai guidée jusqu'à la dernière cabine et je l'ai appuyée contre la porte qui était fermée, puis je l'ai appuyée contre le mur à côté de la porte et j'ai pressé mon corps contre le sien. De plus en plus, elle m'attirait dans le b****r jusqu'à ce que je la sente placer son pied sur une petite marche du lavabo à côté de nous avec ses jambes un peu écartées. - Quelle invitation ! – J'ai immédiatement écarté un peu mon corps et pris une de mes mains à l'intérieur de sa cuisse et l'ai glissée jusqu'à sa culotte. Elle était très mouillée. Je glissai mes mains sur ses fesses et les serrai à nouveau, pressant ses hanches contre les miennes. Ensuite, j'ai pris une main sur son ventre et je l'ai glissé sur sa poitrine et j'ai commencé à le masser avec enthousiasme, avec beaucoup d'enthousiasme. Nous étions déjà tous les deux à bout de souffle et nous avons arrêté de nous embrasser. Elle haletait près de mes lèvres et me serrait de plus en plus près d'elle. Je l'ai embrassée à nouveau quand je l'ai sentie haleter alors que je continuais à masser sa poitrine. Bientôt, je n'ai pas pu résister et j'ai tiré son décolleté vers le bas, laissant sa poitrine exposée. J'ai pris ma main jusqu'à ses fesses et j'ai continué à la serrer. Elle serra mes fesses aussi, me tirant plus près d'elle, faisant ma jambe qui était entre les siennes, frottant dans son intimité. J'arrêtai le b****r et laissai tomber ma bouche sur sa poitrine ! Je l'ai sucé, léché, aspiré avidement en elle alors qu'elle appuyait plus fort ma tête contre sa poitrine. D'un geste rapide, elle m'a appuyé contre la porte de la cabine et a tiré mon décolleté vers le bas, puis a commencé à s***r mon mamelon avidement. Je forçai mon corps contre le sien et la plaçai contre le mur, recommençant le b****r. J'ai porté ma main à sa culotte et j'ai passé sa paume sur son c******s, le stimulant. Elle a approché sa main de la mienne et a suivi mon rythme, forçant ma main plus fort contre son c******s. Elle m'a de nouveau pressé contre elle par mes fesses jusqu'à ce que sa jambe monte jusqu'à ma taille, c'était trop risqué, quelqu'un pouvait entrer et voir cette scène, ce serait un peu ennuyeux, alors j'ai ouvert la porte de la cabine, j'ai arrêté le b****r, J'ai regardé à l'intérieur pour voir qu'il n'y avait personne et je l'ai tirée à l'intérieur avec moi.
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