Sula voulut protester qu’elle était loin d'avoir fini, mais ces paroles moururent sur ses lèvres quand il s'avança et lui retira son haut. L’air frais de la pièce était presque douloureux contre la pointe palpitante de ses mamelons durcis bleu foncé. Elle avait vu dans les fichiers des hommes stimuler les femmes en les caressant, mais quand Sula avait essayé sur elle-même, elle n’avait ressenti que de l’irritation. À présent, ils palpitaient au point qu’elle avait l’impression que si Destin ne les touchait pas, ne les suçait pas, ne faisait rien pour apaiser sa douleur, elle pensait sincèrement qu’elle crierait. Comment quelque chose d’aussi petit peut-il soudain devenir aussi douloureux et palpitant ? se demanda-t-elle en s’allongeant quand Destin la poussa doucement contre le lit. Elle