Chapitre 6

1121 Words
PDV de Marielle Je descends du dortoir et je vois Cameron devant une Hybride bleue indigo qui m'attendait. Lorsqu'il me vit, il sourit de toute ses dents d'un sourire à faire fondre en me détaillant de la tête aux pieds, je le rejoignis. Il me fit la bise et me regarda intensément. -wouaw, tu es sublime. Tout ça pour moi, je suis gâté. Dit-il en me fesant tourner sur moi-même. -merci,tu n'es pas mal non plus. -aller viens on va passer une belle journée rien que tous les deux. Il me pris la main sans prévenir se qui me fit sursauter à cause des frissons qui me parcourûrent, il me regarda inquiet. -désolé, je ne voulais pas te faire peur. -non,c'est juste que j'ai été surprise, ne t'en fais pas. -ok, on y va. -ouais. Il m'ouvrir la portière coté passager et je m'y installai. Il vint me rejoindre et conduit la voiture. Sur le chemin, nous parlons tous les deux de nos familles. J'appris qu'avait une sœur jumelle et que son père est vice président du Canada et sa mère première ministre, il faut dire qu'ils sont plein aux as. Et je lui informais que je propriétaire d'un salon de coiffure de la ville et que j'ouvrirai bientôt un SPA pour doubler mes revenues et subvenir plus facilement aux dépense de ma famille. Il sembla troubler tout d'un coup. -qu'es ce qu'il ne va pas, tu as l'air bizarre? -enfaite, je me demandais pourquoi c'est toi qui subvis aux dépenses de ta famille? -oh... c'est parce que mon père mort il y a cinq et ma mère n'arrivait pas à tenir toute seule. Alors, j'ai décide de l'aider avec les dépenses de la maison. -depuis quand as-tu commencé à travailler? -depuis mes quinze ans. -quoi et on t'a laissé travailler? -au début non, on me disait que j'étais trop jeune et tout le monde refusait de me donner du travail. Mais, j'ai persévéré. Un jour, je suis allée dans un salon de coiffure pour me faire une nouvelle coupe, il y avait énormément de client et la propriétaire n'avais qu'une apprentie. Elles étaient complètement débordées et c'est sans compté que la clientèle se plaignait, alors je me suis désignée pour les aider et nous avons pu finir à temps. -wouaw tu me surprendras toujours, tu es si gentil. Dit-il en me regardant tendrement. Ce qui me fit rougir comme un tomate bien mûre. -merci. Je me raclai la gorge et continuai. Après avoir finit avec les clients, la femme voulut me remercier en me coiffant gratuitement. C'est pendant la coiffure qu'on se mit à bavarder de nos vies et quand je lui expliquer ma situation, elle m'embaucha sur le champ. J'étais tellement contente que je commençai le jour même. Au fur et à mesure, je pus faire des économies qui me servir à construire mon propre salon de coiffure et à aider ma mère pour tous les dépenses. -et maintenant, tu as dû fermé puisque tu viens de commencer tes études? -enfaite, non je l'ai confié à mes apprentis, le temps de pouvoir reprendre le boulot. Et toi dis-moi, pourquoi es tu venu ici? -pour tout te dire je suis le bêta de l'Alpha du Canada et je suis sensé l'accompagner partout et l'aider dans la recherche de notre futur luna. C'est pour cela que nous sommes ici. -et ça avance? -pas vraiment, depuis qu'on est arrivé il ne fait que s'amuser avec des filles, il en a même oublié pourquoi on est là. -par fille tu veux dire Jennifer? -cette fille lui sert de p******l d'après ce qu'il m'a dit, mais j'ai peur que cela ne devienne sérieux entre eux. -tu crois qu'il aime? -non, mais il s'y attache trop je crois. -ah bon et sa luna dans tout ça. -il dit qu'il n'a pas besoin d'âme sœur mais, qu'il s'y sent obliger pour pouvoir accéder à la place présidentielle de son père. -je pleins celle qui sera l'élu -pas moi. -pourquoi? -il oubli le lien d'âme sœur, ce lien est très puissant. Une fois qu'il aura son regard, il ne pourra plus ni ne voudra plus se passer d'elle. C'est comme un coup de foudre. Et c'est irréversible. Lorsque cette dernière phrase atteint mon cerveau,je me rend compte que si Cameron croise son âme sœur,il ne voudra sûrement plus de moi. Il remarqua mon air triste et me demanda ce qu'il n'allait pas. -rien je pensais juste qu'une fois que vous aurez retrouver votre luna, vous seriez obligés de retourner au Canada et on ne se reverra sûrement plus. Mentis-je. -... Il ne plus rien et se concentra sur la route. Un silence glaçant s'installa entre nous, je regrettais aussitôt mes paroles. Quelques minutes de malaise intense plûtard, la voiture se gara au bord de la plage. Il regarda tout souriant et sortit de la voiture. Puis, vint m'ouvrir la portière. *oh p****n ,en plus il est galant* Je descendis en laissant mon sac dans la voiture. Et enfila mes sandales que j'avais discrètement emporté avec moi. -je t'avais dit que j'avais une surprise pour toi, viens et ferme les yeux! Dit-il en prenant ma main ce qui me provoqua des frissons dans tout le corps je fermai les yeux toute exitée et il m'entraîna à sa suite. Il s'arrêta soudainement et je fis pareil. -tu peux ouvrir les yeux maintenant. Dit-il en serrant ma main dans la sienne. J'ouvris mes yeux et là ce fut le choc monumental. -alors, ça te plaît? Me demanda t-il tout sourire. -j... je... je ne sais pas quoi dire... Devant ce spectacle magnifique, je ne savais quoi dire. Il y avais un grand drap rouge vif étaler sur le sol et parsemé de coussins de la même couleurs et de pétales de rose. Aux quatre coin du drap, sont disposés des petites tables où se trouve différents de types de nourritures, des fruits, des légumes et même de la viande. Des bougies sont disposées un peu partout sur les tables et cerise sur le gâteau, un splendide couché de soleil colorait l'espace. J'étais émerveillé devant cette merveille sans pourvoir prononcer un p****n de mot. C'était tellement touchant, personne n'avais jamais fait ça pour moi, je suis si émue. -je suppose que tu aimes -non non non -hein? -je n'aime pas du tout, j'adore, je... c'est la plus belle chose qu'on ait jamais faite pour moi, merci. Dis-je au bord des larmes. -ouf! Tu m'as fait peur, j'ai cru que tu n'aimais pas. -t'es vraiment un ange, Came. -aller viens, on va passer une excellente soirée rien que tous les deux. Dit-il en me faisant asseoir sur le grand drap moelleux. Quand Je disais que je le sentais bien cette journée, c'est bien partit. 
Free reading for new users
Scan code to download app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Writer
  • chap_listContents
  • likeADD