Chapitre 7 - Madame Sparsit. Comme M. Bounderby était célibataire, une dame sur le retour présidait aux soins de son ménage, moyennant une certaine rétribution annuelle. Cette dame avait nom M me Sparsit ; et je vous assure qu’elle occupait un rang fort distingué parmi la valetaille attelée au char de M. Bounderby, où se carrait d’un air triomphal ce fanfaron d’humilité. Car non-seulement M me Sparsit avait vu des jours meilleurs, mais elle était alliée à de grandes familles. Elle avait une grand’tante, encore vivante, nommée lady Scadgers. Défunt M. Sparsit, dont elle était la veuve, avait été, du côté de sa mère, ce que M me Sparsit appelait « un Powler. » Il arrivait parfois à des étrangers sans instruction et d’une intelligence bornée d’ignorer ce que c’était qu’un Powler ; il y en a