Chapitre Six
Reid
Je ne savais pas qu’elle existait et maintenant je ne peux plus me passer d’elle. Elle me consume. À la fin de cette nuit, il ne restera peut-être plus rien de moi. Elle pourrait me posséder complètement. Elle serait ma maîtresse et moi son esclave.
Mais je m’en fiche, car mes poignets sont maintenant attachés aux coins supérieurs de sa tête de lit, mes bras tendus. Je vais, peu importe la manière, me racheter de ne pas l’avoir remarquée tout au long du lycée.
Je me prosternerai volontiers à ses pieds pour me faire pardonner ma bêtise.
Nue, elle s’agenouille sur le lit entre mes jambes écartées. Son visage est rougi et ses yeux brillent tandis qu’elle brandit un jouet en latex. Je n’en reviens pas de sa beauté.
— Qu’est-ce que c’est ?
J’étudie l’objet, l’un des nom
