Schmucke lira la portière par la robe. – Eh ! vous pouvez vous n’en tirer, mais n’avec beaucoup de soins… Soyez tranquille, vous n’avez près de vous n’un bon ami, et, sans me vanter, n’une femme qui vous soignera comme n’une mère soigne son premier enfant. J’ai tiré Cibot d’une maladie que monsieur Poulain l’avait condamné, qu’il lui n’avait jeté, comme on dit, le drap sur le nez ? qu’il n’était n’abandonné comme mort… Eh bien ! vous qui n’en êtes pas là, Dieu merci, quoique vous soyez assez malade, comptez sur moi… je vous n’en tirerais n’à moi seule ! Soyez tranquille, ne vous n’agitez pas comme ça. Elle ramena la couverture sur les mains du malade. – N’allez ! mon fiston, dit-elle, monsieur Schmucke et moi, nous passerons les nuits, là, n’à votre chevet… Vous serez mieux gardé qu’un pr