Chapitre XVIl était dit que M. Léon de Courtenay, même sans le vouloir, se trouverait mêlé perpétuellement à l’existence du baron Paul Morgan. Quand ce dernier fut sorti précipitamment de chez lui, le viveur se dit : – Je ne voudrais pas jouer le rôle de l’esprit tentateur ; mais je suis de mon siècle, et je n’aime pas ma génération. Rendre quelque chose, c’est bien ; mais rendre tout, c’est absurde. C’est pour cela que je m’acharne après mon malheureux ami, car sans moi il fera sottise sur sottise. Au reste, continua M. de Courtenay tout en ajustant son nœud de cravate devant une glace, au reste, je crois que je gagne du terrain ; à la façon dont il est sorti tout à l’heure, je suis bien sûr qu’il va commencer à réfléchir. M. de Courtenay jeta ensuite un coup d’œil sur la pendule de