— Sans doute elle est partie, dit-il, mais je n’en ai point fini avec elle pour cela. — C’est vrai, dis-je ; en effet, elle peut vous faire des dettes : mais la loi vous fournit des moyens pour vous garantir ; vous pouvez la faire trompeter, comme on dit. — Non, non, dit-il, ce n’est pas le cas ; j’ai veillé à tout cela ; ce n’est pas de cette question-là que je parle, mais je voudrais être débarrassé d’elle afin de me remarier. — Eh bien, monsieur, dis-je alors, il faut divorcer : si vous pouvez prouver ce que vous dites, vous y parviendrez certainement, et alors vous serez libre. — C’est très ennuyeux et très coûteux, dit-il. — Mais, dis-je, si vous trouvez une personne qui vous plaise, pour parler comme vous, je suppose que votre femme ne vous disputera pas une liberté qu’elle pren