Chapitre 15

4316 Words
Antony : Ouf ! (Nettoyez la couche et dépoussiérez) Arts et esthétique ! Mais je vais beaucoup vous inquiéter en ce qui concerne l'histoire. Je vais vous amener au fond des choses. Alan : Ok, je pense que j'ai déjà encaissé le Ballon d'Or ! Vous voyez, c'est parce qu'il a une tête énorme. Dans votre cas, il semble que vous ayez plus de tête que de corps. – Antony ignore et regarde Melissa. Melissa : ... – « Je me demande juste quand Laura va me demander de construire un canon et d'utiliser Antony comme munition ». – Boum ! Boom! July : W... qu'est-ce qui lui est arrivé ? Herbet : On dirait que vous voyagez. Antony : Melissa ! Melissa : Euh, qu'est-ce qui ne va pas ? Antony : Alors je te rends ce magazine que tu m'as prêté. Il y a quelque chose qui a beaucoup attiré mon attention chez elle. Melissa : Bien sûr ! Comme si quelque chose de fou allait arriver juste à cause de ce foin ! – *Pensée exceptionnelle avec une signification future « Qu'est-ce qui se passe ? Est-ce? Non, ça ne devrait pas être... ça devrait être autre chose. Même ainsi, pour autant que je sache, je resterai au courant de toutes les théories et hypothèses que je peux proposer. Ce garçon là-bas peut me le dire (En référence à une personne présente) ». July regarde quelque chose. July : Éducation physique ? Qui échoue en éducation physique ? Doit être sale. Dis-le. Alan : C'est juste que j'ai passé beaucoup de temps avec le réalisateur. July : Pourquoi ? Vous prépariez quelque chose ? Alan : Oui ! Tu sais comment c'est? Si vous me comprenez. Laura : Quel * ridicule. Oups! Glisser à l'heure des mots. Melissa : Mythe ! A-t-il retrouvé le directeur ? Herbet : Alan ! – Alan un peu gêné et en même temps fier. Alan : Je restais parfois avec Mme Jonny, votre professeur aussi. Nous étions jeunes et pratiquement du même âge. Laura : Je n'y crois pas. – Laura et Jonny sont très proches. July : C'est pas mal, j'ai entendu dire que le kilométrage là-bas parvient quand même à faire quelques tours, quand même. Antony et moi vous aiderons aussi beaucoup sur ce problème de localisation et de cartographie de ce que vous devez faire, nous nous comprenons bien et ce genre de chose finit par devenir plus facile. Bien sûr, Melissa nous a également donné beaucoup de matériel de soutien sur la façon de procéder. Je devrais la remercier, elle s'est donné beaucoup de mal pour cela. Nous avons dressé une liste de choses que vous devriez faire et étudier lorsque vous avez du temps libre. Alan : D'accord, Kenneth ! Et toi Cendrillon ? Melissa : Oh arrête ! Comme ça, tu finis moralement avec moi. Alan : Allez ! Aller! Est-ce possible ou est-ce difficile ? - Rire. Melissa : Xiênxias. Cofi cofi (ultra étape de la gentillesse). Alan : Tu te sens malade ? Vous optez pour un Dipyrone ? Tu es très mignonne comme ça, tu n'arrêtes pas de commenter. Melissa : Huur... Quel homme ! Huur... – Type d'expression utilisé par des personnages dont la fonction est d'être le relief comique de l'histoire. Exemples : Melissa, Antony (az) etc. Laura : (Mangoing) Xiênxias ! (Normal). Personne ne mérite de vivre pour entendre une chose pareille ! Herbet : Oooooon ! Laura : Il n'y a rien... D'où tenez-vous que je suis jalouse ? July : (voix de Cãozinho Caridoso). Aie! Ne plaisante pas avec ma Melissa ! Ma Melissa est tout pour moi ! Melissa : Laisse la tranquille ! Laura n'est pas la personne la plus réceptive au monde quand ils commencent à se moquer d'elle. Alan : Arrêtons les gens... c'est dangereux. Melissa : Ouais. Herbet et July : Hum ! Laura : Merci ! Alan : Salut Laura ! (...) Connaissez-vous la différence entre Mme Jonny et une orange ? – Melissa, Herbet et July rient. Laura : Je ne mérite pas d'entendre ça. S'il vous plaît, tuez-moi. July, Melissa et Herbet : Hahahahaha ! Antony : Je ne comprends pas, quelqu'un peut me le dire ? Antony Brownney a vraiment besoin de savoir. Melissa : (p*****t et Raucous) C'est juste qu'il n'a jamais mangé d'orange. - Passer sa main sur sa bouche et faire ce regard. – Il a mangé Jonny ! Il m... Laura : STOP !!! – Laura grimace, alors Herbet et July rient. Antony : Et pourquoi voudrait-il b****r Mme Jonny ? Laura : Ne le dis pas si fort, s'il te plaît ! Mince!. – Laura rougit, assise avec ses bras sur ses jambes. Alors, Antony ouvre cet œil. Antony : Alan, es-tu par hasard un cannibale ? Ah, pas celui-là ! Melissa : Cannibale ? Antony : Melissa, tu as ramené un cannibale à la maison ? (Très fort et désespéré) Nous mangera-t-il tous ? – Combattre le désespoir. Herbet : Seulement toi. Laura : Tais-toi Antony ! Restez rilex (...) ! Antony : Mais il ne veut pas nous manger ? Je ne veux pas être mangé, ça doit faire très mal. - Antony dit à genoux à Alan (en tenant sa jambe). – J'ai toute la vie devant moi, tu ne peux pas me manger plus tard ? Melissa : C'est déjà devenu un terrain de jeu ! Herbet (avec le visage et la voix hargneux) – Hé Alan, est-ce que tu fais de la p********e avec moi ? – Pour Melissa. Julyl – Décidément, aucun de nous n'est bon dans cette maison. Bon... Alan : Pour garçon ! De cette façon, ils finiront par appeler la police. Laisse moi partir ! Tomber! Herbet : Melissa fait exploser ces gardes ****** ** **** ! Ce n'est pas? – Antony se positionne pour Herbet. Melissa : J'ai dit ça ? Herbet : Je regarde droit, tu as l'air d'un c****n. Oups! Antony : Les enfants de quoi ? Melissa : Quelle inexpérience ! Il effectue les opérations suivantes : vous prenez d'abord ****, puis vous ajoutez plus de *****. Alors ça donne **** ***** ! C'est plus ou moins ma réaction du moment. Herbet : Et tout le monde, qu'est-ce que tu as dans la tête ***** ? July : Cette équation utilisée par Melissa va aussi très loin dans la vraie vie... d'abord vous l'avez compris... et ensuite... suis-je trop drôle dans cet épisode ? C'est juste que je ne me sens pas tellement dans la zone de confort aujourd'hui. Laura : Tais-toi ! Humnr (Gémissant)... - Antony après réflexion. Antony : Je vois. Melissa et Herbet : Ouf ! Antony : S'il te plaît, gentille fille, donne-moi plus de tes connaissances, c'est toujours agréable de pouvoir apprendre de nouvelles choses. Herbet et Melissa : Et il n'a pas compris. Herbet : C'est vrai ! Je ne sais pas comment il ne te ressemblait toujours pas à autant traîner avec toi. C'est ça qui est très curieux. Melissa : Huur... C'était bien ! Excellente analyse Monsieur Deep. – July observe. July : c'est plutôt la honte de quelqu'un d'autre ! C'est ce que je dirais. Et si ce qui venait de se passer générait des répercussions ? J'aime beaucoup ma nouvelle école. Melissa : Oh rien ! ((...)) * ((...)) - Un message. Herbet : Hé les gars, regardez ! Lilian a envoyé un texto "Est-ce que cette salade se passe chez toi et tu ne m'as même pas invitée ?! #Bouleversé". Tu vois, tout est normal. Rien à craindre Melissa : Ah Antony (!)... c'est hum... July : Je n'ai plus beaucoup d'amis. Bienvenue dans la réalité de July Artis ! Herbet : N'est-ce pas... Ihr ?! - Antony est pensif un instant. Herbet ((...)) – Quelle chose, non ? Je vais vérifier dès que je rentre à la maison. Herbet : Ne me regarde pas comme ça, s'il te plaît ! ((...)) Melissa (s'allongeant et lisant lentement comme si elle essayait de flairer le contenu de la conversation) (se baissant) - "Ils sont allés explorer Laura et ont fini par découvrir la Chine hahaha" Cela semble assez sérieux. Herbet : Je dirais irréversible. July - Oh... Laura : Là ! ***** ! (Laura (Isolée) – C'est déjà en train de se produire. Je n'arrive pas à y croire, tu as vraiment réussi à détruire la vie sociale que je sais que je n'aurai jamais.) * Isolé - État dans lequel se trouve Laura lorsqu'elle commence à réfléchir et à se sentir sans but. C'est une pensée ! Cela se produit généralement en déconnexion avec l'histoire. Parfois, cela peut signifier un vide existentiel, au-delà du simple isolement. Antony : Hein ? ***** ? Qu'est-ce que c'est? Melissa : On dirait un *****. July : Meilleure description je dirais. Herbet : Ben c'est mon cher July, même il a perdu sa virginité avant toi. Je ne laisserais pas. July : Ah Herbet, *** ** **** ! - Ils rient. Ils profitent de Laura et Antony, une b***e de gens sans valeur. (Laura (isolé) - Je ne me remarierai plus jamais un jour. J'ai perdu tout espoir que j'avais pour ma vie.) Herbet : Salut Antony ! Ce n'est pas pour rien, mais quand on est là à l'école, ne traîne plus avec moi, d'accord ? Antony : Alors tu ne veux plus de moi ? Herbet : Je veux dire, ce que je veux vraiment dire, c'est « vous devriez prendre la première ligne et aller aussi loin que possible d'ici ». July : Regardez l'état de Laura, les gars. (...) Super, on ferait mieux d'en profiter et de le sortir car on ne la reverra plus jamais comme ça. Alan : Hungrr... Laura : Mais qu'est-ce qui se passe ?! Je ne comprends pas, c'est rien d'autre. Je me sens si vide... (Laura (isolé) – Vide ! Vide ! Vide !) Alan : C'était le soulagement comique le plus inutile que j'aie jamais vu de toute ma vie d'enfant. Avez-vous fini? – « J'aurais mieux fait de rester à la maison... si j'en avais un ». Herbet : Je ne sais pas, peut-être qu'il y a des malades mentaux qui en rient encore. Melissa : Ahahem... poule. Ce n'est même pas drôle. Herbet : Ah ouais, absolument. Si vous vous contentez de rire de ce qui s'est passé, c'est parce que vous avez de sérieux problèmes. Melissa : (sérieuse et se touchante) J'ai juste pensé que ce que j'ai dit était drôle, c'est pourquoi j'ai ri. Je ne pense pas que ce soit cool que tu continues à dire ce genre de choses, c'est assez sérieux si tu ne l'as pas remarqué. Herbet : Écoute, qu'est-ce qui ne va pas ? Combattre l'autisme ? Sauve-moi! Melissa (...) – ... – Melissa est effondrée. – … – (…Ferme ton poignet…) Alan regarde Herbet d'un air de reproche. * Mis à part les blagues, Melissa Fisher a le célèbre syndrome d'Asperger (un spectre actuellement considéré comme le plus doux de l'autisme, étant plus fréquent chez les garçons) ainsi que l'auteur de l'ouvrage. Même ainsi, cela ne les empêche pas d'être décomplexés et ludiques à l'extrême. C'était un problème qu'il a réussi à surmonter lorsqu'il avait 8 à 11 ans pendant la période où il faisait partie du club de théâtre à l'école, interagissant ainsi avec d'autres personnes et laissant les barrières sociales qui l'avaient précédemment entravé. Lorsque MW était au lycée, il avait un grand talent pour les mathématiques et les sciences (F,Q,B), bien qu'il ait maintenant traversé un autre domaine de la vie. Alan : Mec, tu n'es qu'un gamin, mais il y a des choses qui sont trop sérieuses pour être drôles. Voir? Herbet : Je m'en fiche... elle a essayé de me tuer elle-même l'autre jour. Alan : Je pense que nous comprenons maintenant pourquoi. (Laura (isolé) – 2+2 est-il égal à 4 ?) (Antony (isolé) – c'est le cas.) (Laura (isolé) – Merci mec.) July : Antony ! Composez-vous. Antony : Ah oui ! Droit! – Déjà soulagé. – Allons-y, je dois finir de regarder Seiren. Je veux vraiment savoir lequel des 3 il obtient à la fin. Herbet : Il prend les 3, mais dans 3 univers parallèles différents. Alerte spoil! Antony : Aurait pu faire ça avant, tu connaissais ton médiocre ? Herbet : Waouh ! Ce que j'ai fait était si odieux, je ne mérite certainement pas la compassion. – Laura appelle Antony. Laura : Antony, j'ai besoin de te parler. Antony : Qu'est-ce que c'est ? Laura : Acochicohicochi... Antony : Alors c'est ça ? Laura : Cochi... Alan : Qu'est-ce qu'ils font ? Herbet : Je pense qu'ils s'arrangent pour jouer à Super Mario Bros plus tard. – Herbet et July rient. - Ne riez pas! (Melissa à Herbet) Herbet : Hum ! Laura : Pourquoi ne vas-tu pas laver un évier ? (En référence au commentaire précédent d'Herbet). Herbet : L'évier est déjà propre contrairement à ton cœur rancunier. Laura : Chi... July : Hey Herbet, ce n'est pas pour rien, mais tu ne trouves pas que ça commence à devenir un peu trop lourd ? Herbet : Qu'est-ce que j'ai fait ? Ai-je mentionné votre mère ou quelque chose comme ça à un moment donné? – July sent ce coup July : Euh... idiot ! Melissa : July... – Melissa a remarqué. - J'ai compris. Antony : D'accord ! Ce sera comme ça : Herbet et Laura t'accompagneront désormais, en attendant je chercherai un moyen de te faire souffrir. Pas de questions! Alan : Ata, enregistre, si c'est comme ça... ! Absolument rien de ce qu'ils font ne me fera en arriver là. Je suis bon à ce truc sans questions. (Sifflement) (...) Alors, où as-tu acheté cette veste ? Melissa : Au magasin Adidas, il était en vente pour une durée limitée... s'il disparaît, je te poursuivrai partout sur la terre et je ne me reposerai pas jusqu'à ce que tu sois enfin sous terre et que les vers et les aigles dévorent la sa chair et déchirer ses os. Si vous en voulez un, allez travailler. Amusez-vous bien! Alan : Hé, cool ! Herbet ! Laura! L'endroit où tu m'emmènes est loin d'ici... ? C'est juste que je veux prendre l'air pour ma tête. De préférence s'il vous plaît ! Herbet : Oui... ! Laura, où allons-nous vraiment ? July : Où vas-tu ? Melissa : Faire ce que tu fais quand tu es contrarié. (Melissa fera quelque chose qui n'a pas encore été révélé.) - Melissa et July ont le dos tourné. Melissa : ... "Melissa-Kouhai" Voyez ce visage qui vous rappelle. Melissa : Euh... July: ... "JULY" Voir ce visage qui vous rappelle. (JU + JULY) July : Hum... July et Melissa : « Marchez » ! « Je n'aime pas la façon dont mon nom est prononcé 'voix !' J'ai besoin de temps pour moi... pour savoir qui est July'” Herbet : C'est juste moi ou tout le monde me cherche ? Alan : C'est juste ton impression. Allons-y! Herbet : Là ! - Alan le tire par son anneau de chemise. Antony : Ils sont partis. Goldhine (à proximité) Une femme particulière et emblématique. Leroy : ...Melissa... C'est vraiment toi ? - Elle commence à regarder Melissa comme un garçon curieux. Melissa : Quoi de neuf ? – Melissa sourit. Elle passe ses mains sur les épaules de Melissa. Leroy : Waouh ! - Elle ouvre grand la bouche de Melissa et commence à la fixer. Melissa : Hé ! Leroy : Pas de caries, je ne peux pas le dire avec certitude. Melissa : La carie est un mythe ! Leroy : Euh... salut ! (Leroy est quelqu'un qui vérifie pour être sûr.) Melissa : Comme c'est bizarre ! Leroy : Ça doit l'être. EE oui ! Melissa : Euh ! C'est moi! Leroy : Hein... Tout va bien ? – Lui, qui est beaucoup plus gros que Melissa, se lève. Melissa : Oui, oui. Sûr! Ne vous levez pas, s'il vous plaît. Leroy : Tu es sûr ? D'accord. » Elle claque des doigts sur le front de Melissa. Melissa : Aïe ! Ça fait mal! Leroy : Bienvenue ! – Ils s'assoient (Un peu plus tard) Leroy : Tu es sûr que ça va ? Melissa : Et pourquoi je ne le serais pas ? Leroy : C'est parce que tu es venu me rendre visite. Quand les gens viennent me rendre visite, c'est parce que rien ne va. Melissa : Peu importe, je suis venue ici parce que j'ai des affaires à régler. Leroy : Je n'ai rien à faire avec toi. Melissa : Coupez-le ! Leroy : Tu es trop lâche ! Peut-être que vous avez besoin d'apprendre les bonnes manières. De toute façon je me sens plus heureux... ça fait longtemps. Melissa : … – « Quoi ? R... (Votre identité est un secret) Je veux dire, Leroy est-il plus heureux ? Ce n'est définitivement pas normal... c'est la personne la plus méchante que je connaisse." Leroy : ... Fille (passée) – Je peux maintenant sortir de ma cachette... Père et mère, je suis déjà parti. Papa, parle-moi ! Ne m'ont-ils pas dit de me cacher ? C'est juste un jeu! Hé vous deux, vous ne m'aviez pas dit que vous alliez faire le mort. – Ils sont sous une table. - Je prendrai soin de toi. Elle les traîne hors de la maison. Fille (plus tard) – Cela a demandé beaucoup de travail, mais je les ai finalement amenés ici. Vous vous reposerez. (Leroy) – Après plusieurs jours, je n'avais plus aucune raison de pleurer, alors j'ai fait semblant d'être heureux simplement parce qu'ils faisaient partie de ma vie. Fille (Avant) – Uaaaaaaahhhhrr ! Pourquoi? Aaaaaahhhrr... Aaahrr Aaahrr Non... (Leroy) - J'ai eu une histoire triste, mais j'ai appris. Les gens partent et ne peuvent plus revenir après ça... le pire que j'ai eu c'était de supporter cette odeur, au final j'ai beaucoup préféré moi qui pouvait encore être réchauffé... j'avais encore mon lit et un toute la vie à venir. Je ne voulais plus collectionner les échecs et me suis vite rendu compte que c'était ma place. Un jour, je me suis retrouvé, pour échouer une fois de plus. Je ne pouvais pas protéger grand-père, je n'ai jamais appris à défendre personne d'autre que moi-même... alors j'ai réalisé que ce que j'aimais le plus était d'être en vie. Ce n'était pas facile, j'ai dû mener de nombreuses batailles pour en arriver là. "Mais cette fille...". Leroy : Ça fait longtemps. Melissa : Tu l'as déjà dit. Leroy : C'est parce que c'est le cas. J'ai peur de ne pas pouvoir obtenir ce que vous voulez, mais je vous promets d'essayer. C'est leur fille. Melissa : Tu as toujours le même chemin. Leroy : Façon de vivre, je suppose. Quelle curiosité êtes-vous le plus à ce sujet? Melissa : Rien. Si tu ne me le dis pas, je ne peux rien faire d'autre. Leroy : Tu vois ça ? – Melissa garde ton collier. – R-Huh ! Elle voudrait que vous l'utilisiez. Est-ce authentique ? Melissa : Tu as l'air très intéressée. Leroy : Peut-être... Melissa : Je peux te le donner plus tard, mais j'en aurai encore besoin pour quelque chose. Nous avons un accord? Leroy : D'accord ! Laisse-moi voir… » Elle passe une main sur son visage. – Ouais, je suppose qu'importe. Qu'est-ce que c'était? Melissa : Et alors ? Leroy : D'accord ! - Leroy commence à réfléchir. ... (Leroy fouille dans ses affaires) Leroy : Euh... euh... qui sait... ça doit être... pas celui-là. Melissa : Quoi ? Leroy : C'est dur ! Dites-moi ce que je fais... Melissa : Eh bien, j'ai eu une idée. Leroy : Et qu'est-ce que c'est ? Melissa : Pourquoi tu ne me dis pas simplement ce qui s'est passé ? Leroy : Tu sais que c'est... Melissa : Hmmmm... – Melissa fait cette tête. – Je sais, je pense que tu as besoin d'enrhumer ta mémoire. Leroy : ... – « Ça vient » ! Melissa : Allons-y ! Leroy : Écoute, non... Melissa (AnimaBeta) – Allez, je sais que tu peux le faire. Réagir! Leroy : Savez-vous qu'il ne s'agit pas d'un match de foot ou de MMA ? Hurgh...! (Maux de tête) – Leroy met sa main sur sa tête. Melissa : Ne te rends pas cadet, tu peux faire plus que ça ! Leroy : Merci ! Cela aide beaucoup. – Fermez votre visage. Melissa : Je connais tes échecs sans fin dans ta vie sociale, ton manque de s**e, et les gens qui te disent constamment que tu ne seras jamais quelqu'un, moi-même inclus sur cette liste, doivent te retenir. Mais je crois que tu peux être au moins un peu utile dans cette honte que tu appelles la vie. Leroy : Je ne sais pas en quoi ça peut aider, vraiment. Prise en charge multivariée ? Humf ! Melissa : Je ne l'ai pas non plus. Et maintenant, qu'allons-nous faire ? Mais je suis sûr d'une chose... Leroy : Si c'est plus insultant, tu peux arrêter s'il te plait ? C'est juste que j'ai un très fort béguin pour "tu sais" quand les gens franchissent la ligne. Melissa : Tu es imprudente ! Leroy : Il me disait ça. Melissa : Euh ! Tu savais! Vous essayez de me cacher quelque chose. Leroy : Non... ris... ronronne... Lorsque des personnages aux émotions très fortes ne peuvent pas cacher quelque chose. Ils se tortillent. Melissa : Oh ! Je t'ai pris dans le mensonge. Je suis très bien! Leroy : Quel malheur ! - Ils se mettent à rire. – Désolé Berlin ! Melissa (Fofi) – Allez, tu es l'une des personnes les plus intelligentes et les plus intelligentes que je connaisse. C'est mon 7/10 préféré. Ça me déconcerte de te voir comme ça... allons-y. Aller! Pour! Leroy : T'es tellement nul... - Rire. – Comment les gens peuvent-ils vous résister ? Melissa : Ai-je hérité de quelqu'un ? Leroy : Arrête ! Melissa : Je ne comprends pas, pourquoi vous ne pouvez pas vous entendre ? Leroy : Pareil pour vous les gars. – En référence à Melissa et Lilian. Melissa : Ce n'est pas comme ça... du moins ça ne devrait pas être... Leroy : Hahaha ! Je suis désolé de ne pas pouvoir fonctionner. N'est-ce pas vraiment de la malchance ? Melissa : Pourquoi je suis même venue ici ? Ouf... il va falloir que j'aie encore un peu de patience... Je dois faire attention! C'est une femme très dure, elle ne voudra pas s'ouvrir si facilement... si elle ne coopère pas alors au moins je devrais jouer son jeu. La manière conventionnelle semble ne pas fonctionner, quoi qu'il en soit... Je la ferai se sentir libre de partager avec moi. Melissa : Il y a tellement de choses ici avec moi, je me sens coincée. Je ne dirai pas que ce n'est pas ça, mais ma vie et qui je suis ont toujours été entourées de mystère. Dès le plus jeune âge... Leroy : J'aimerais pouvoir te traiter mieux que ça... Je suis désolé, je ne veux pas que tu te sentes démotivé à cause de moi. Melissa : Tu m'avais demandé pourquoi tu étais venu ici avant. SON? Il sait? – Melissa se montre avec une expression plus précaire, mais bientôt motivée (Comme si elle se surmontait) – Je me souviens que j'étais très petite et précaire avant, c'est même difficile à croire. Te rappelles-tu de ça? Comment était-ce? Leroy : Et dois-je me souvenir ? Melissa : Qui sait... mais moi si. Quand j'étais plus jeune, je courais après les oiseaux... Leroy : Ennuyeux ! Melissa : Haha ! Leroy : Il y a... Melissa : Mais les animaux volaient, c'étaient de sales tricheurs. Leroy : ... « Quelle langue » ! Melissa : Quelqu'un devrait leur dire qu'ils ne devraient pas fuir la vie des gens dès qu'ils en ont l'occasion. Leroy : "...". - "Hmm"! Comprendre. Melissa : Non ? Leroy : (Acclamations) C'est parce que tu es un idiot, tu veux toujours courir après ce que tu n'arrives pas à réaliser. Melissa : Ouais, compris ? Savez-vous ce que tout cela signifie ? Leroy : Qu'on n'a pas tous des ailes ? Melissa : Exactement, parce que la seule chose qu'on puisse faire, c'est courir. Même si cela semble impossible. Leroy : Ouais ! Melissa : Vous ne pouvez pas dire si une femme est belle si quelqu'un d'autre le dit. C'est pourquoi nous devrions demander leur avis aux hommes, c'est ce que j'ai fait. Mais les oiseaux ne m'ont pas répondu, alors j'ai pensé « Peut-être un jour » ? Ensuite, je montais sur scène et j'essayais à nouveau. Leroy : Du rhum ! Tout cela semble avoir fonctionné pour vous... Je n'aime pas l'admettre, mais cette femme fait un excellent travail. Elle est très bonne ! Bien plus cher que moi... Melissa : Je n'appellerai pas tante 'Joana'. - Leroy sourit. Leroy : Heureusement que cette femme est méchante. Melissa : Noooooon ! Mal es-tu. – Melissa taquine. Leroy : Je suis pervers, c'est différent. Et seulement avec ceux qui le méritent. Melissa : Les hommes sont stupides et les femmes sont folles, il n'y a pas lieu de les blâmer. Leroy : Les hommes sont stupides et les femmes sont folles ? – Les yeux gris de Melissa la vise. – D'accord, raconte-moi une histoire qui en vaut la peine. Melissa : Vous avez dit Berlin, n'est-ce pas ? Leroy : Pourquoi, ça te ramène ? Melissa : Berlin, où qu'elle soit, marche toujours avec moi. - Soupir. - Tousse tousse. - ... - D'accord.
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