Le talent d'un petit homme

Chapitre 25

Aller contre la voie ferrée.

Laura : Melissa... pourquoi m'as-tu fait ça ?

Laura (passée) – Elle a dit qu'elle s'appelait Alice et que je devais suivre cette voie. Je pense que j'aurais dû donner une mention honorable à ce jeune homme, il avait l'air d'être un bon gars. - Dit Laura plus petite et plus folle. Une légère brise commence à envelopper la scène. La jeune fille mortelle se réveille. – Cet endroit semble si monotone, où sont les enfants et leurs jeux ? On ne peut même pas entendre le chant des oiseaux. Il n'y a que du vide… - Soudain, il y a un bruit, comme si quelqu'un était là. - Qui est là? Pas peur de mourir ? Pas celui-ci! Que fais-je? Soudain, mon cœur commence à s'emballer, je me sens si peu sûr de moi... comme si toute ma vie avait été comme ça. Je me souviens que j'étais juste un enfant timide, mais maintenant que suis-je ? – Les lumières commencent à clignoter. Rire de fou. – Soudain, les couleurs du paysage commencent à changer, tout devient si… sombre… Que fait quelqu'un comme moi dans un endroit comme celui-ci ? Je suis juste une fille impuissante et immature. Antony aurait honte de moi, maintenant je me sens tellement déformé... Comme si je n'avais pas de place dans le monde ou même un motif décent  continuer à vivre, comme s'il s'agissait d'une fatalité inévitable. Comme si cela ne suffisait pas, en plus de tout j'ai très très faim. Tout cela parce que j'ai décidé de suivre cette "figure mystérieuse", cela ressemble même à un titre d'épisode. Oh mon Dieu, quelle calamité ! Une fille perdue au centre de la ville. Elle m'a dit quelque chose comme « Terreur (Laura) ! La fille médiocre et inexpérimentée ». - Ronfler. – Ge-nis-val-do...

Melissa (Past) – Laura, la fille médiocre et inexpérimentée de Renan ! Je n'ai pas eu à aller aussi loin.

Laura (passé) – Est-ce une illusion ? – Courez et sautez dans les bras de Melissa. – Wow, j'ai tellement de choses à te demander.

Melissa (passée) – Viens ! Je ferai de mon mieux pour essayer de répondre à vos questions. – Melissa passe sa main sur son visage. Laura sourit à nouveau comme si elle avait trouvé sa raison de vivre.

Laura : Je pense que c'était la première fois que je tuais quelqu'un... combien de vies ai-je déjà pris ? Cette lumière ? Alors c'est comme ça que ça se termine... Je pensais que tu serais là pour moi... d'accord ! C'est la fin, je suis heureux... Alan ou qui que ce soit n'a pas d'importance...

- "Je veux juste..". Lorsque le train est sur le point de heurter Laura, elle est tirée par sa chemise par quelqu'un. Laura se retourne et voit que rien de moins n'est juillet !!! - ... - "Tu"!

Juillet : Si vous voulez vous suicider, vous feriez mieux de choisir un moyen que personne ne puisse vous sauver.

Laura : Qu'est-ce que tu fais... - Elle essaie de frapper celui qui tient son poing puis la met avec un de ses bras, la fragile et impuissante Laura, dans un goulot d'étranglement. – Tu as merdé… Melissa était censée venir me sauver… Il m'aime ! Pas toi...

Juillet : Pensez-vous ? Il est très facile de vous prendre au dépourvu lorsque vous vivez ces crises d'existentialisme. Vous vous retrouvez sans force et sans savoir quoi faire.

Laura : Lâche-moi... Je ne veux pas avoir à te tuer quand je serai mieux... Je dois attendre le prochain train.

July : Tu ne devrais pas faire ça... mettre ta vie en danger comme ça.

Laura : Qu'est-ce que tu comprends ? Pourquoi ?

Juillet : Tu ferais mieux de t'asseoir si tu veux connaître mes raisons.

Laura : D'accord ! - Laura a l'air mignonne et s'assied, étant également très attentive à ce que July va dire. "Tu n'étais pas le seul à avoir tué quelqu'un, c'était il y a un an et demi...

Effet Flash Back – Activé.

Juillet : C'était après la mort de mon chat, Reginaldo ! Il est mort inexplicablement, c'est arrivé tout d'un coup. Je l'ai laissé tomber pendant un moment, mais quelque chose m'a ramené au garde-à-vous.

Antony : Content que tu aies récupéré. – Antony s'approche de July qui lui tourne le dos.

Juillet : Antoine ?! - July utilise son visage pour suggérer quelque chose.

Antoine : Tristesse !

Juillet : Oh ! Est-ce vous!

Antony : On va avoir le journal ?

Juillet : mots croisés ?

Antoine : Pourquoi pas ?

Juillet : Tayna !!!

Tayna (journal) – Salut juillet ! Comment ca va?

Juillet : Comme d'habitude.

Tayna : Contente, pourrais-tu jeter un œil à mon dos ? C'est une démangeaison.

Juillet : Bien sûr bébé !

Tayna : Mignonne ! Tu as 7 ans et j'en ai 17, en plus je suis fiancé.

Antoine : Pourquoi Tayna ?

Tayna : C'est un nom facile.

Juillet : Après tout, c'est beaucoup de travail de choisir un nom pour les personnages.

Si vous vous plaignez, le prochain s'appellera Antoine.

Antoine : Tayna ?! Un jour puis-je faire une blague parce que ton ventre grossit ?

Tayna : Je ne dis pas que j'ai 11 ans.

Antony : C'est la blague qui compte.

Thayna : Merci beaucoup ! Cela me dérangeait.

Juillet : De rien.

Tayna : Vous allez bientôt être en vacances, n'est-ce pas ? Juillet - Oui...

Antony : Hé juillet, regarde !

Juillet : Je ne le vois pas, c'est à l'envers . Antoine : Ah ! ça s'est mal passé !

Juillet : Qu'est-ce que c'est ?

Antoine : La famille a disparu. – Ci-dessus un reportage qui parle d'un g**g. – C'est dans le titre.

Tayna : C'était une famille qui a disparu récemment, personne ne peut dire ce qui s'est passé. Ils habitaient à côté. Soyez prudent, cet endroit devient très dangereux.

Juillet : Des pistes ?

Tayna : Lisez l'article. Ce journal est un ***** !

Antony : Ces personnages qui veulent profiter de leurs minutes de gloire.

Juillet : Maintenant, vous avez décidé de devenir comique de soulagement ?

Antony : Combien de fois vais-je devoir t'humilier en disant que je suis le protagoniste ?

Juillet : Allons-y ! – Ils sortent de là.

Antony : Avez-vous vu le match de Liverpool hier ?

Juillet : Oui, Philipi Coutinho joue trop.

Antony : C'est le meilleur Brésilien aujourd'hui. Juillet : Il faut arrêter d'être bipolaire.

Antoine : Qu'est-ce que c'est ? Pensez-vous qu'un jour mettra ce moment comme un Flash Back? Je n'ai même pas à m'en soucier. - Respirer. – Nous devons garder un œil sur cette situation.

Juillet : Pouvez-vous venir chez moi et m'aider avec quelque chose ?

Antoine : Bien sûr ! Pourquoi ne pas aussi mettre une dent sous notre oreiller et voir si nous pouvons trouver de l'argent en dessous le lendemain ?

Juillet : Je suis content de pouvoir toujours compter sur toi. Allons-y! - Là.

Xxx : Ouais, tu peux te le permettre. - Dit un homme ajustant quelque chose.

Juillet : à quoi sert cette immense cage ?

Antoine : Hein ?

Xxx : Tu poses trop de questions July Hugo Artis. Qu'en penses-tu, Smith ?

Antoine : Mme Artis ?

Smith : Je suis désolé de ne pas vouloir te laisser tranquille.

Juillet : Était-ce occupé ?

Smith : Euh... Victor ?

Victor – Nous avons eu une contribution.

Smith : Antoine.

Antoine : Regarde-moi là ! - Antoine regarde sa main.

Smith : J'en ai entendu parler. Cette cage nous sera très utile lorsque nous partirons à la chasse maintenant. - Elle s'essuie la main.

Antoine : Juillet ? Allons nous promener! – Ils vont se promener, Victor – Où iront-ils ?

Smith : J'espère pas loin. – Eux là-bas.

Juillet : Ne vous inquiétez pas de leur froideur. Ils ont toujours été de bons parents, surtout avec mon frère, mais ils ont fini par partir. Ils ont besoin de temps pour s'en remettre je pense.

Antony : Nous devons parler un peu plus de l'affaire William, car tout a été plus dangereux ces derniers temps.

Juillet : Mieux vaut en parler à un autre moment. Mais garderez-vous un œil ?

Antony : Ta mère, elle... qu'il y avait du sang sur sa main. N'ont-ils pas chassé ? N'est-ce pas ce qu'elle a dit ?

July : Ouais, c'était exactement ça.

Antony : Un peu bizarre, elle n'avait pas l'air de venir d'une chasse. Et votre chat ? Juillet : Je n'ai pas encore découvert la cause de sa mort.

Antony : Tu ne trouves pas que c'est bizarre ? C'est comme... Je ne sais pas, c'est arrivé sans aucune explication. Juillet : Ouais ! C'était triste! Très malheureux, mais je pense que j'ai déjà laissé un peu de côté.

Antony : C'est toujours quelque chose à surveiller. Quelle était la routine qu'il avait ? Lui as-tu donné quelque chose ?

Juillet : Eh bien, juste quelques poissons qui restaient à la maison et qui ne se vendaient pas.

Quelques morceaux. Ahhh ! Cela me rend somnolent. En y pensant...

Antoine : Je sais. Même ainsi, vous devriez être prudent. – Antony met la main sur l'épaule de July. - Je vais!

Juillet : Qu'est-ce qu'il voulait dire par là ?

Juillet : Mes parents ont toujours été du type froid. Ceux qui n'ont montré aucune réaction ou apparemment une sorte d'émotion, même s'ils étaient de bons parents. Ils étaient! Antony avait raison, même si ce n'était qu'une intuition ou une suggestion, mon chat Reginaldo n'était pas mort par hasard, et cela m'a permis de faire la plus grande découverte de ma vie.

Une seconde...

Juillet : Ce que vous êtes sur le point de voir est peut-être la chose la plus bizarre que vous ayez jamais vue de toute votre vie. Aller!

July : ... quoi ... - July voit ses parents déchirer quelqu'un. Quelqu'un (Xxx) – Arrrrrrrrrrrrrrrr...

Juillet : Ce n'était pas par hasard de toute façon ! Il y avait quelque chose qui n'allait pas avec ces poissons, mais ce n'était pas une bonne chose et je l'ai trouvé aussi gênant que possible.

Laura : Mais...

Juillet : J'ai eu une décision à partir de ce moment-là... – Cannibalisme. – C'est un *****, non ? Ce qu'ils ont fait, ce qu'ils ont eu... ce n'était pas grave, s'il y a une chose que j'ai apprise, c'est que le pire est toujours à venir.

Juillet : ... – Inscrivez-vous.

July : July regarde-la, cette silhouette qui n'était pas ta mère ?

Juillet : Hein ?! - Elle lève les yeux au ciel et il (July) a l'impression qu'elle l'a peut-être vu, alors il retourne dans sa cachette et commence à planifier quelque chose.

Juillet : Son nom était la survie ! J'ai eu une décision à partir de ce moment-là. Survivre ou pas ? Je savais que je devais faire quelque chose.

Montrez à vos parents plus tard dans un seul endroit.

Smith : Bonjour ?

Homme (propriétaire de bar) – Que fais-tu ici, princesse ?

Smith : J'ai apporté quelque chose avec moi, tu ne veux pas que je te montre ? Sujet 1 – Allez mec ! Ce que c'est?

Sujet 2 – Qu'est-ce que c'est ?

Juillet : Première leçon, ne faites jamais confiance à un homme et à une femme lorsqu'ils planifient quelque chose. – Montrez un homme sous le propriétaire du bar (qui est Victor) mort (c'était le propriétaire du bar).

Smith : Vous semblez avoir parcouru un long chemin, ce ne serait pas un problème si vous ne pouviez pas sortir de la ville.

Sujet 3 – Pourquoi n'y allons-nous pas tous les deux ? – Smith sourit à ce type. Victor – Mieux, j'ai une femme.

Laura : Tout semble très simple, elle s'offre à quelqu'un et puis les autres tombent dessus.

Juillet : Cela peut ne pas en avoir l'air, mais chaque détail est très important. Laura : 2 hommes dont l'un a un tatouage. – Ils vont aux toilettes. Juillet : Content que tu comprennes les choses rapidement.

Sujet 3 – D'accord, je les ai amenés tous les deux !

Smith – Je l'ai apporté. – Smith ramasse quelque chose. Sujet 3 – Qu'est-ce que c'est ?

Smith : C'est juste pour ne pas prendre de risques. Mieux vaut anesthésier, ça va faire mal. Sujet 3 – Grup !

Smith : C'est récent, n'est-ce pas ? Nous évaluons toujours nos candidats bien à l'avance, nous savons quand et le bon moment pour agir. Ce n'est pas du jour au lendemain. Les examens et les expériences que nous faisons sont très importants. Nous voulons juste quelque chose par précaution au cas où l'examen ne correspondrait pas. Si vous le faites, nous retournerons votre enfant. Tu n'as même pas à t'inquiéter, je veux dire... pas trop. 3 en échange de 2. Et lui (le fils du gars) est mauvais aussi, mieux vaut l'emmener chez un médecin.

Sujet 3 – Et si je vous signale ?

Smith : Nous sommes partis ! Avec vous 2 et on recommence. Je veux dire, ça ne va pas vraiment être un nouveau départ, tu vas juste faire partie du cycle de la vie. N'est-ce pas merveilleux ? Manipuler! – L'homme prend l'anesthésie et la met sur votre bras. – Mettez-le aussi dans votre bouche, il faudra un certain temps pour faire effet. Quel dommage! Je pense que j'ai accidentellement laissé la majeure partie de la dose à la maison, ce n'est pas si efficace. - L'accent de Smith est purement britannique, tout comme Victor, mais celui de Smith est beaucoup plus caractéristique.

Sujet 3 – m***e ! - Elle sourit. Passez aux deux gars.

Victor – Quoi de neuf ! (souriant) Ils semblent avoir parcouru un long chemin, n'est-ce pas ? Avez-vous déjà entendu le « Sound of Silence » ? – Les gars se mettent à rire.

Sujet 2 – Ce mec haha ! Maintenant oui.

Victor – Super ! Parce que c'est ce que je voudrais que tu récites pendant que très légèrement je te tue. Que dis-tu? Mais cela peut aussi être difficile. Pourquoi ne chantes-tu pas un peu pour moi ? J'aime la bonne musique. – Les gars se préparent.

Sujet 2 – Est-ce du sirop ? – Sorti de nulle part, le cou de ce type se retourne et se met à se tordre, jusqu'à ce qu'il tombe au sol d'une manière étrange. – Arr… – L'autre gars a quelque chose dans la main (Une tasse en verre).

Victor – Si j'étais toi, je ne boirais pas ça. – Victor prend une arme à la main. - Allez! Chanter pour moi ? – Il photographie le sujet 1.

Sujet 1 – Quoi ?

Victor – Allons-y ! Je te laisse vivre pendant que je chante. "Bonjour ténèbres, vieil ami...". Allons-y!

Sujet 2 – … J'ai compris… – Commence à vomir.

Victor – Content que tu ne sois pas mort ! Je me sens soulagé! Pourquoi n'aidez-vous pas votre ami en le soutenant ? Hurle au poêle !

Sujet 1 – C'est parti… – Victor pointe l'arme sur sa tête.

Victor – C'est vraiment dommage, nous n'avons pas besoin d'en arriver là. J'étais d'humeur à faire un pari avec ma femme pour savoir lequel de vous deux mourrait en premier. Vous avez de la famille ? - Le gars commence à s'agiter en essayant de ramasser quelque chose de pointu. - Hey! Ne vous inquiétez pas, nous ne ferons rien. J'ai un fils « July » !, nous attendions une fille. Parlons de lui aujourd'hui. Mais ça va, j'aime ça. Un homme qui se bat pour sa vie. - Sifflet. - Quoi de neuf! Comment était-ce?

Smith – Victor ?! Vous ne jouez pas avec votre nourriture. – Le sujet 2 continue de provoquer. – Nous a-t-il vus ?

Victor – C'est dommage ! Sujet 1 – Nourriture.

Victor – Tu es très belle ! Comme toujours! Avez-vous compris?

Smith – C'est une honte de laisser nos enfants avec quelque chose de pointu, c'est ce que je pense. Apprenons-lui que jouer avec ça peut finir par faire mal. Capoeira !

– Victor tire sa main.

Sujet 1 - Aérien...

Victor – Tu sais ? La pire chose à faire dans ce type de situation est de se battre pour sa vie. C'est stupide !

Sujet 2 – Chuchoté dans le son du silence... – Mourir. Victor – Il semble que le bruit des silencieux soit terminé.

Smith : Très bien champion ! Nous ne l'oublierons jamais. C'est très triste ma chère ! Qu'est-ce qu'on fait? – Drame avec la main sur le visage.

Victor – Je ne sais pas, je sais juste que j'ai gagné le pari. Le gros est mort le premier.

Sujet 1 – Quoi ? – Il regarde le gars 3 qui est sorti de la salle de bain avec le bras crispé.

Smith : Il a trébuché sur les toilettes en essayant de tirer la chasse d'eau. Victor – Tu n'es pas très doué pour faire des blagues. Pas celui-ci! Il est mort!

Smith : C'était une vraie fatalité ! Smith ramasse un morceau de bouteille cassé et le fourre dans le gars 1. Juste pour s'assurer qu'il ne faisait pas semblant.

Victor – Ne te moque pas du gars juste à cause de ses cheveux. Ce n'est pas un I Berg. Sujet 1 - Arrrrrrrrr...

Smith : En fait, je parlais d'un "Possum". Je ne pense pas que nous étions censés être des prédateurs intelligents. - Les deux ne montrent à aucun moment avoir un type de réaction.

Victor – Je pensais que ces gars n'existaient qu'en Nouvelle-Guinée. Mais pour moi je pense toujours que vous vouliez le tester pour voir si son I Berg fonctionnait.

Guy 3 – Vous êtes fous tous les deux... – Dehors, dans un entrepôt à côté. Enfant - Père...

Sujet 3 – Je vais te sortir d'ici...

Enfant – Qu'est-il arrivé à ton bras… – Ils sont plus loin. Smith : A plus tard ! Et j'espère que vous ne nous reverrez plus jamais ! Victor – Et ainsi ils vécurent heureux pour toujours ! N'est-ce pas beau ?

Smith : Et combien de balles reste-t-il dans ton arme ? Victor – J'ai passé les deux derniers.

Smith : ***** ! Nous allons devoir le faire sans être si attrayants d'ailleurs. Ce sera la dernière fête de famille. – Quelqu'un les regarde.

Xxx - ...

Juillet : le moment est venu !

Juillet : ... – Juillet entre dans la maison puis se met à table. Victor – Hé fils ! Comment était l'école?

Juillet : ... – « J'ai besoin de réfléchir ». Rassurer. – Content de te voir aussi. Montrer principalement tant d'affection, vous ne l'êtes pas tant que ça. Ce n'est pas? – July regarde Smith.

Smith : C'est vraiment bien ! - Elle essaie quelque chose.

July : Heureux que rien ne vous soit arrivé... – July commence à se sentir plus inquiet et nerveux.

Smith : Ouais... Il est allé à l'école chérie, n'est-ce pas ? Après tout, que pouvais-je faire d'autre ? - Elle prend une hache (Mais July la voit comme quelque chose d'émoussé, juste le manche). – Une question : vous ne nous surveilliez pas plus tôt aujourd'hui, n'est-ce pas ?

Juillet : Non...

Smith : Bien ! Tu ne devrais pas fouiner, c'est moche.

Victor – Et ton ami ? Quoi de neuf? Cet Antony a l'air d'un garçon décent.

Juillet : Oui, mais la plupart du temps il essaie juste de régler sa propre souffrance...

Smith – Et pourquoi quelqu'un comme lui devrait-il souffrir ?

Juillet : Je pense que c'est le poids de devoir se porter à l'intérieur, il souffre, mais ça ne compte pas...

Smith : Ça ne doit pas être comme ça, nous étions jeunes aussi et nous avons vécu ça. – Elle tire.

Victor – Huhuhuhu !

Smith : Ken-Dal-L !

Juillet : Hmm... – Devenir maladroit. Votre père se prépare en apportant son soutien. Il pose ses mains sur les bras de July.

Victor – Laisse-moi t'allonger le cou, ça ne fera pas mal du tout. Permettez-moi de le faire en tant que parent.

Juillet : Pourquoi ?

Victor – Vous êtes spécial. - Smith a déjà changé de look après le premier "Juillet".

Smith : juillet ! Juillet-!

July : Maman... moi... parce que moi. – Déchirez et souvenez-vous d'une vie passée à favoriser votre frère.

Jackson : Frère ?! - Ses parents le tiennent. - Frère! Courir!

Juillet : Frère...

Jackson : Ils ne te pardonneront pas...

Smith : TUEZ !!! (Smiith agit) – July esquive miraculeusement. Victor - Quoi...

Smith : Comment… – Il attrape une chaise, la fait tourner et frappe la tête de son père. Après que sa mère essaie de le frapper et qu'il se protège avec la chaise, qui au bout d'un moment se désagrège.

Juillet : C'était presque...

Smith : VENEZ ICI !

Juillet : HAH ! - Elle essaie de le frapper, alors il court. Il part de là et se rend au sous-sol par l'escalier voisin.

Victor – Viens ici ! - Son père le tient, mais la chemise se déchire avec l'élan du garçon. À cause de cela, sa mère le frappe presque, mais il se baisse et la hache s'engage. - Quoi? - Il s'enfuit, mais néanmoins, ses parents le poursuivent.

Smith : GARÇON !!! – Quand tout semblait perdu, July a un piège tendu. – AAAAAAHHHHHHHHHH ! – Il se cache dans un coin du mur et soulève une chaîne. Sa mère lui glisse dessus en essayant d'esquiver avec ses réflexes aiguisés, alors Victor (...) trébuche sur sa femme et finit par tomber de façon choquante dans la "Cage". (La hache tombe au sol). – ARRRRRR ! – Ensuite, il n'a plus qu'à pousser sa mère, mais là ça se complique. Alors qu'il allait fermer la porte de la cage (en fait c'est le cas), sa mère entre les barreaux tient sa chemise et tire le garçon qui n'a rien d'autre à faire. Son père intervient pour l'aider. – Ken-Dal-L ! Vous n'avez pas d'échappatoire ! Nous allons vous massacrer !

Victor – Huhuhu ! – Juillet « non ». July prend quelque chose en main.

Smith : Ju... Ju... Juillet !!! Tu es à moi! Tu es ma PROIE... - July trouve la hache dans la main de sa mère, qui sort en hurlant et il se libère. Verrouillez et sortez de là.

Juillet : Uhnhaaaaaaaaaa....

Smith : Aaaaaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr ! Victor – Chérie. Il va à sa rencontre pour essayer de la rassurer.

July : C'était une fin... euh... ah. Il est assis dans son coin. Smith avait déjà un œil fermé et dans son coin. Smith : Aaa... qu'est-ce que c'est...

Victor – Qu'est-ce que tu veux ? On sort d'ici ! Et quand on part ? – July essayant de respirer et de comprendre.

Juillet : je n'arrive pas à y croire...

Smith : Regardez. Un fusil de chasse est pointé sur l'entrée de la porte.

Juillet : Si vous essayez de faire ça, le fusil de chasse vous tirera dessus ! A partir du moment où la porte se ferme, personne n'entre et personne ne sort. - Donner une pause. – Se sentir fatigué. - C'est compliqué...