Les conditions de vie de Stéphanie
***Stéphania***
A la sortie des cours dans l’après-midi
Nora— Fanny (diminutif de Stéphanie), tu sais j'ai rêvé que ta belle-mère t’a interdit de suivre les cours à l’école.
Moi — Que Dieu brise cet rêve, elle pourra pas me faire ça. Je compte sur mes études pour devenir une grande magistrate de notre pays.
Nora — Que les Dieu t'entend, mais pourquoi ta belle mère est si méchante comme ça
Moi — Nora tu sais j'ai pas envie de parler de cette dame, marchons vite pour la maison si non j'aurai d'autre ennuie pas la suite
Nora — Comme tu voudras, mais le mieux est que tu quittes cette maison avant que la mort ne puisse frapper à ta porte un de ses jours.
Moi— Je comprends ton inquiétude pour moi, mais je pourrai pas quitter la maison de mon père. C'est pour mon père après tout, et n'oublie pas aussi que j'avais promis à ma mère de ne pas quitter la maison jusqu'au jours de mon mariage.
Nora — C'est bien, je serai toujours là à te soutenir peu importe ta décision
Moi — Merci à toi ma cocotte
Je comprends bien les inquiétudes de ma copine envers moi, mais je peux pas quitter cette maison. Quel qu'en soit ce que j'endure. Je vais le supporté.
Moi c'est Stéphanie Koko, âgé de 19ans. Notre famille me semblait la plus heureuse du monde malgré que mon père avait deux femmes. Ma mère fut la seconde épouse. Tout allait bien même si nos deux mères ne s’entendaient pas totalement. Tout à été interrompu par un accident de voiture, c'est ce jour j'ai perdu mes deux parents biologiques. La douleur de vivre dans un monde ou avez aucun de vos parents . Après la mort tragique de mes parents, je suis devenue la servante de ma belle-mère et puis celui de mes deux grandes soeurs. Du coup je suis devenue seul et isolé du monde. Au moins quand mes parents étaient encore en vie, j'étais alaise mais à présent je suis seul devant trois personnes. Je sens que la bataille est perdu d'avance. Ce qui me fait plaisir est qu’elle m'a pas interdit l'accès à l'école. C'est cela qui continue de me donner de l'espoir. Au moins, je vais me battre pour avoir une bourse pouvant payer mes études universitaires et autre.
La vie est rose pour certains mais pas pour nous qui avons tout perdu. La vie m'a arraché mes parents, mon espoir et je ne sais quoi d'autre. Je suis devenue la riser de ma famille et sujet de moqueries pour eux. De toute les façons je suis habituée comme c'est mon quotidien.
***Nora ***
Le monde est cruelle quoi, je ne sais pas pourquoi la mort n'a pas choisi la belle-mère de Fanny et c'est la pauvre mère de Fanny qu'il a choisi. Je préférai que ça soit la belle-mère et non cette gentille dame. Tellement aimable et adorable, je n'arrive toujours pas y crois. Mais c'est pas grave la vie à une drôle façon de faire ses choses. Voilà que cette fille souffre pour rien et c'est toujours elle.
Elle veut pas quittée la maison et je vais pas l'obligé. De temps en temps je passe la voir même si je sais que ces sorcières n’apprécient pas notre amitié. Nous sommes déjà chez elle, et moi je dois continuer à la maison. Mais je prends la peine de saluer la reine sorcière d'abord
Moi— Bonjour maman
........Bonjour ma fille c'est le retour
Fanny fait pareil mais elle ne lui répond pas, moi aussi je ne dis rien concernant cela si non elle risque de m'insulter comme la dernière fois.
.......Fanny c'est toi on attendait pour faire la cuisine.
Moi — Je vais demander a partie maman
......Au revoir ma fille
Moi — Au revoir, Fanny du courage OK
Je voyais sa belle-mère me foudroyé du regard avant que je ne continue mon chemin. Je n'arrive pas comprendre ce qu'elle ont contre la pauvre fille. Depuis le matin, elles étaient assises tout peiné sans rien faire et c'est la pauvre qui viendra de l'école coupé le bois avant qu'elles ne fassent la cuisine. C'est triste, je pouvais voir la souffrance de Fanny mais elle n'avait pas le choix que d'exécuté.
***Stéphanie***
Sans commentaire, je me change rapidement et me met au travail. Je commençais par couper le bois. C'était tellement fatiguant mais j'avais pas le choix, même si je voulais. J'entends les part de quelqu'un et je me redresse pour voir qui c'était
Moi — Bonsoir Channel
Channel — Ah Ah Ah tu es encore là depuis.
Moi — Euh grand soeur bienvenue
Channel — Fanny ne me dit pas que depuis ton retour de l'école tu es encore entrain de couper le bois.
Moi — Je suis entrain, c'est un peu seulement ça reste
Channel — Tu es toujours entrain de travailler le bois! Ce que tu avais déjà commencé avant que je n'aille au marcher . Tu sais des fois tu agis comme si tu étais possédé.
Moi "possédé ", vraiment je ne sais pas encore ce que j'ai fais pour mériter qu'on me traite ainsi. Je la regardais sans rien dit.
Channel — Arrête de me regarder comme ça, et suis moi à la cuisine
Moi — Mais j'ai pas encore terminé
Channel — Aller suis moi à la cuisine avant que je n'appelle maman pour toi. Allez vient m'aider, j'ai besoin de ton aide.
Moi — D'accord j'arrive, met le feu en attendant que je termine ce petit truc
Channel — À qui tu donnes des ordres, après c'est pour vider le contenu de la marmite.
Moi — Eh grande soeur !
Channel — Ferme ta salle gueule la.
J'étais obligé de l'aider à la cuisine, après cela je fais la vaisselle puisqu’ils nous restaient aucun assiettes dans lequel manger. J'étais entrain de faire la vaisselle quand ma belle-mère vient me tirer par les oreilles et me traîne jusqu'au dehors devant les bois.
Moi — Maman arrête, tu me fais mal
........Petite sorcière, combien de temps vas-tu prendre pour terminer le bois
Je ne lui répond pas et elle me tire encore plus les oreilles.
.........Je mérite pas une réponse ?
Moi — Oui maman, j'étais à la cuisine avec Channel et on vient de terminer.
....... C'est pas une raison valable pour que tu puisses pas faire ce que je t'avais demandé.
Moi—D'accord, toute mes excuses maman. Je le ferai d'ici peu
...... Pour ça je te prive du repas de cette après midi, cela t'amenera à ne plus me désobéi.
Cette dame, vraiment je me demande si elle n'a pas du sang qui circulent dans ses veines. De toute les façons il a un Dieu au dessus de tout, qui voit mes pleurs souvent et ne dit rien.
Je termine le bois, et prends mes cahiers pour apprendre un peu. En ce moment mes deux soeurs étaient en compagnie de leurs mère en jouant au jeu "Ludo ". Comme moi je n'ai personne, je suis dans mon coin en compagnie de mes cahiers.
****Florence******
Cette après midi il fait chaud, j'ai tellement chaud. Je veux que quelqu'un me fasse le vent, voilà mes deux filles sont entrain de jouer, je ne pourrais pas les déranger. J'oubliais qui avait une boniche qui traîne par ici. La fille que ce imbécile a eu avec cette boniche de je ne sais quoi, paix à leurs âmes. Maintenant le chemin est libre, je ferai ce que je veux de cette fille. À cause d'elle mes filles n'ont jamais eu leurs mots à dit devant leurs propres père. Elle était là plus aimé et la plus chouchouté.
Du coup, je ne l'ai jamais apprécié entend que la fille de mon mari. Pour moi elle était juste une servante. Et les servante mérite d'être maltraité.
Moi — Eh Fanny, Fanny, Fanny
Elle serait là pourtant elle ne vas pas te répondre ou bien prendre des heurs pour te répondre. Je ne sais pas qui lui a attribué le nom "Stéphanie" si non elle mérite pas une si jolie prénom. Je l'appelle encore une fois de plus
Moi —Fanny
Fanny — Oui maman me voici
Moi — Va dans la cuisine et prends l’éventage pour m'éventer
Fanny — Pardon maman, j'ai très faim je n'ai pas encore mangé depuis le matin. J'étais entrain de préparer mon gari pour prendre avant de continuer avec mes cours.
Moi — Et puis quoi
Fanny — Laisse moi le temps de terminer mon gari au moins.
Moi — Eh tu es dans ma maison et c'est toi qui veut donner tes règles. Je te dis d'aller me chercher quelque chose pour m'évanter et toi tu me trouves d'excuse.
Fanny — Maman s'il te plaît, je t'en prie
Mes filles étaient entrain d'observer la scène, alors l'aîné prends la parole.
Ruth — Ahaaa Fanny, donc tu parles mal à ma mère. Pendant qu'elle te parle, tu ouvres la bouche pour broncher.
Fanny — Grande soeur c'est...
Ruth — Dépêche toi et va prendre l'éventage et reviens ici
Moi — Allez dépêche toi vite, va me cherché l'évantage.
Elle part le chercher
Ruth — Regardez moi cette chose, fille d'une sorcière comme ça
Moi — Je te dis pas, une vraie sorcière.
Ruth — Madame de la maison, elle vient faire ses lois tout comme sa défunte mère.
Moi — Allez évente moi bien. Fait le bien hein si non je pourrai te frapper.
Elle pleurait et moi je m'en moque de ses pleurs.
Fanny — Maman, j'ai très faim. Aie pitié de moi.
Moi — C'est à ta défunte mère tu iras demander cela. Pour l'instant évente moi bien.
Channel — Fanny évente la bien, ou bien voudrais-tu qu'elle meurt.
Fanny — Pardon maman, laisse moi manger un peu s'il te plaît j'ai très faim.
Moi — Pourrais-tu la fermée un peu avec j'ai très faim. Tu oublies que le gari m'appartient et je peux décider de te le reprendre si tu fermes pas ta gueule.
*****Stéphanie******
Malgré mes pleurs, ma belle-mère a fait la sourde oreille. J'ai du supporté la faim, après je suis parti prendre mon gari tout en pensant à ma mère. Je pouvais pas essuyer mes larmes car j'avais très mal au fond de moi.
Je ferme mes cahiers et pleurs sur mon sort. Nora vient me chercher à la maison
Nora — Pourquoi pleurs tu encore ?
Je me met plus en sanglots, je me laisse vidée de mes larmes.
Nora — Tu as mangé déjà
Je lui réponds non de la tête
Nora — Je savais qu'elles allaient pas te donné à manger. Tien ceci je te l'ai apporté
Elle m'avait apporté un peu de riz avec de la sauce tomate accompagné du poisson.
Moi — Merci beaucoup à toi
Nora— Arrête de me remercier et mange
Moi— Oui je devrais te remercier , au moins tu as pensé à moi.
Elle est toujours là cette fille, je mange correctement avant de reprendre mes cahiers. On a travailler toute la soirée avant que Nora ne me fausse compagnie et moi je reprends avec mes soucis.
À suivre
SIDOINE BDH