19 Ma famille japonaise, très nombreuse et se produisant beaucoup ; – un grand élément de distraction pour les officiers du bord qui me visitent là-haut, surtout pour le komodachi taksan takaï (l’ami d’une extrême hauteur). Une belle-mère charmante, tout à fait femme du monde ; des petites belles-sœurs, des petites cousines, et des tantes jeunes encore. J’ai même, au second degré, un cousin pauvre qui est djin. – On hésitait à m’en faire l’aveu, de ce dernier ; mais voici que, pendant la présentation, nous avons échangé un sourire de connaissance : c’était 415 ! Sur ce pauvre 415, mes amis, à bord, font des gorges chaudes, – un surtout qui moins que personne aurait le droit de parler, le petit Charles N***, dont la belle-mère a été quelque chose comme concierge, ou peu s’en faut, à la