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Marin avait parfaitement joué son rôle et Ozyrile avait profité doublement de la situation, de son torse nu en action comme de la jouissance de voir Aila frappée, fouettée jusqu'au sang, ses cheveux coupés ras pour effacer chez elle toute trace de féminité. Comme la vie circulait toujours dans ce corps meurtri, Ozyrile hésita un instant, mais elle se l'était promis, elle offrirait à la jeune femme une dernière once de lucidité pour qu'elle se souvînt de l'état auquel, elle, la grande prêtresse l'avait réduite. Elle s'accroupit près d'elle et rapprocha sa main, répugnée à la simple idée de la toucher. Là, elle laissa s'écouler de son index, une goutte, une seule, d'un liquide scintillant, sur la peau d'Aila qui y pénétra immédiatement. — Tu sens comme tu n'es plus rien. Profites-en, car, d