Le sexisme est partout …

3431 Words
Le lendemain, apres avoir enchainé des douches et des toilettes au gant à plusieures personnes, Diana envoit un mail aux secretaires pour savoir si elle doit bien se rendre aprés déjeunet chez Madame Montpeissein …malheureusement pour elle, elles repondent que suite à sa chute ses fils on demandé des heures de plus…elles demandent si il y a un probleme, elle répond que non tout va bien…c’est juste pour être sur… elle ne se sent pas de laisser seule cette dame faire tout le boulot même si son aide ne sera pas éternelle, temps qu’elle en aura besoin elle irat. Et puis, la visite de la police et l’entrevue avec Will a surement calmé son mari…elle a une pause assez longue aujourd’hui, notre jeune aide à domicile en profite pour quitter sa blouse. Elle compte aller chercher son repas à la boulangerie pour changer un peu. Pas de jean moulant aujourd’hui mais un pantalon en suedine marron, assez féminin et des bottines à talons carré, elle met des pantoufles chez les beneficiaires donc elle peut se permettre des chaussures sympas de temps en temps. Elle a mit un body à manche longue noire et un blouson noir car il fait un peu froid malgres le soleil de sortit. Diana marche dans la rue, elle se voit dans les reflets des vitrines et se trouve plutôt jolie aujourd’hui…elle a perdue quelques kilos suite au stress des événements des derniers mois… pour le bien de ses hormones elle veille à ne pas les reprendre… mais ne compte pas non plus se priver et se mettre au régime … pas question de s’affamer. Elle se sent suivit …il n’y a pas grand monde dans cette petite rue du centre ville mais elle a l’impression qu’une voiture roule au ralentit derriere elle…elle gene peut être ? Pourtant elle est sur le petit trottoir …elle entend des commentaires qui la mette mal à l’aise : « jolie cul non ? - quel âge tu crois ? - 16 ans ? Ou 18 … en tout cas il me fait de l’effet » elle sort discretement son portable et envoit un sms à William lui disant de la rappeler de suite…elle a le temps de voir que le jeune homme lui a répondu « le temps de sortir du poste et je t’appelle de suite » la voiture accelere un peu pour arriver à sa hauteur, c’est une voiture de police mais pas de brigadier blagueur ou de beau lieutenant dedans…deux hommes en uniforme la regarde avec des petits sourires, celui qui la siffle, elle le reconnait bien … c’est celui qui quelque mois plus tôt l’avait dragué au commissariat malgré la présence du brigadier… Elle renvoie vite un sms à Blake pour lui dire que c’est deux policiers …il ne la de toute évidence pas reconnu tout en roulant à sa hauteur les deux hommes tentent de lui parler… « bonjour mademoiselle …police petit contrôle d’identité…vous avez vos papiers ? - non… - ha c’est dommage ça…vous êtes sur que vous ne les avez pas sur vous ? Je peux vous aider à fouiller vos poches … - j’en suis sur … et pour répondre à vos interrogations moi et mon cul, nous avons 27 ans… » au moment ou le deuxième homme allait parlé elle reçoit l’appel de son lieutenant : « ho pardon je répond … HO!! Lieutenant Blake ?! C’est vous, mais quelle surprise… Je suis ravit de vous entendre…je vais tres bien merci je suis avec deux de vos collègues justement…ils se demandaient si mon cul était un cul de jeune fille de 16 ans ou plutôt de 18 ans …vous en pensez quoi vous lieutenant ? Ho le commandant Martin est avec vous ? Saluez-le de ma part… » elle defait tout en parlant ses cheveux roux qui lui tombent en cascade sur les épaule, la tête des deux policiers vaut tout l’or du monde … Diana ne sait pas si le commandant est bien avec William mais l’important c’est que eux le pensent…ils se regardent ébahies…et l’adjudant Theil souvient un peu tard que cette bombasse ne lui était pas inconnue…ses boucles rousse, ce regard farouche et cette jolie bouche qu’il avait imaginé quelques fois autour de sa ….bref il savait bien qu’il l’avait déjà vu ! c’était la petite protégée du British sur l’affaire de Giou…quel con ! Il allait se faire défoncer ! Surtout que le commandant était intransigeant sur les questions de harcelements et son lieutenant était pareil … il aboit à son collegue : « Merde ! ROULE ! Roule p****n ! C’est la pu...la protégé du British ! » il espère que le lieutenant n’est pas vraiment au bout du fil et qu’il n’a pas entendu la fin de sa phrase…En même temps… le lieutenant est un peu trop casse couille à son goût… Il regarde une dernière fois la jeune femme dans le rétroviseur pendant qu’ils s’éloignent…il voit ses seins se soulever au rythme de sa respiration rapide … elle a eu peur d’eux c’est sur, cette idée l’excite un peu…mais elle sourit malgres tout …surement aux blagues de Blake…il sait y faire avec les femmes contrairement à lui …il se marmonne à lui même : « connard d'Anglais… ». Loin de se douter des pensées de cet homme, elle termine sa conversation : « ouf …ils sont partis oui… en tout cas il me fait flipper lui il y avait celui qui m’avait dragué au commissariat oui…il n’a pas l’air de t’apprécier non plus… merci de m’avoir appelé en tout cas Will…je sais pas trop comment je me serais tirée de cette situation sinon…d’habitude je rentre dans une boutique mais la tout est fermée…je vais chercher mon repas et je file je vais finir par être en retard … je t’aime…sois prudent…tu me manques aussi…j’ai hâte d’être demain …bisous »... Bon...le sexisme n'est pas que dans les coins reculé...Elle a l'habitude mais elle ne sait pas pourquoi en ce moment ça l'agace encore plus que d'ordinaire, elle a l'impression qu'il est plus présent qu'avant ou est ce elle qui y fait plus attention ? elle achète son repas même si elle n'a plus très faim à cause de ces deux hommes. Elle retourne dans sa voiture et déjeune tranquillement avant de reprendre la route, elle ouvre l'oeil sur la route pour voir si elle remarque des choses bizarres mais rien à signaler. En arrivant à la ferme, elle est inquiète, la voiture du médecin du village qu'elle a déjà croisé pour d'autres bénéficiaire est garée. Elle enfile rapidement sa blouse, attache ses cheveux et entre dans la maison en s'annonçant : " Bonjour c'est Diana, je peux entrer ?" contre toute attente c'est le mari qui lui répond d'une voix très gentil : " bien sur, venez, venez le médecin a finit d'examiner ma femme" surprise mais pas moins inquiète, elle entre et est accueillie par le couple et le docteur qui la salue : "Bonjour, ho c'est la petite Diana, vous allez bien ? sinon vous me dîtes je vous examine volontier...je plaisante bien sur - très bien merci" elle lui sourit laborieusement...décidément ... tout le monde va y aller de sa remarque sexiste ? est ce que c'est elle qui fait trop "aguicheuse" ? est ce qu'elle devrait faire plus négligée ? le médecin, qui doit avoir l'âge d'être son père rassure le mari de sa bénéficiaire : " Bon, ne vous en faites pas votre femme est solide...des bleus superficielles mais rien de méchant...il faut qu'elle fasse attention dans les escaliers qu'elle lève bien les pieds...hein madame montpeissein ? faut plus faire de peur pareil à vos hommes, prenez bien les cachets si vous avez mal et la crème sur les bleus..." Pourquoi lui parle t il comme à une enfant...son époux a beaucoup de gestes tendre pour sa femme qui répond au médecin : "oui docteur, merci de vous être déplacé...pouvez vous donner l'ordonnance à Diana ? vous pourrez aller à la pharmacie pour moi ma petite ? chercher les médicaments ? - bien sur, j'y vais de suite si vous voulez comme ça vous les aurez" son mari se lève pour chercher dans le sac à main la petite carte verte...il lui tend la carte vitale et avec un grand sourire la remercie : " Tenez, merci beaucoup ne vous pressez pas soyez prudente - oui...je le suis toujours...." le docteur range ses affaires et suivit par la jeune femme part reprendre sa tournée...juste avant de monter dans sa voiture elle décide de lui poser une question qui lui brule les lèvres : " docteur ? - oui jeune fille ? - heu...elle va vraiment bien ? - bien sur, elle a eu plus de peur que de mal... - elle est retombée depuis hier c'est pour ça que vous êtes là ? - non c'est pour la chute d'hier - mais ils ne vous ont pas appeler plus tôt ? pourquoi passez vous que aujourd'hui ? - je n'avais pas de créneaux hier et puis elle tombe souvent à cause du tapis en haut des escaliers c'est jamais grave , mais vous êtes bien curieuse aujourd'hui... - oui heu...c'est juste que quelque chose me tracasse...je ne sais pas si je dois vous en parler ... - et bien dites toujours n'ayez pas peur je ne vous mangerais pas - j'ai l'impression qu'elle est... battue... - quoi ? mais non voyons qu'elle idée - son mari est vraiment pas comme ça avec elle, et même avec moi ... et l'excuse des escaliers c'est gros non ? - mais qu'est ce que vous vous imaginez enfin...je les connait depuis des années, il adore sa femme, c'est elle qui est dépressive et maladroite ...elle est plus âgée en même temps c'est normal...il a bien du courage de s'en occuper... - mais...elle n'a pas pu se faire le bleu à l'oeil en tombant ! - quel bleu ? vous rêvez jeune fille elle n'avait aucun bleu ... - mais... si elle en avait un hier ! et puis je vous assure que même avec moi il se comporte mal...ses regards mettent mal à l'aise ... - rhooo...mais vous êtes jeune et mignonne c'est normal qu'il vous regarde voyons...allez sortez vous ça de votre jolie tête et soyez mignonne allez à la pharmacie" il monte dans sa voiture sans même lui dire au revoir...bon...Diana est sur que sa bénéficiaire avait un bleu hier...elle a surement camoufler ça avec du maquillage...elle n'a pas de preuves malheureusement...le docteur aurait pu apporter un témoignage mais... Will ne peut pas ouvrir une enquête sans plaintes de la victimes à moins d'un drame...Diana se dit que c'est vraiment dégueulasse et part faire son travail, la pharmacie n'est pas loin elle y est vite, dans la file d'attente elle entend parler de la police...son beau lieutenant fait des ravages chez le troisième âges...elle sourit, c'est vrai qu'il a du charisme et beaucoup de sexe appeal ... bien sur les gens parlent aussi des récents événements...ces cas de bêtes mutilées...son tour arrive assez vite, elle s'empresse de retourner à la ferme. Elle espère que ça apaisera un peu ses douleurs. En entrant dans la maison, elle s’etonne de ne trouver qu’un des fils de sabénèficiaire : « deja de retour ? C’est parfait, elle est montée dormir un peu je vais lui porter le sac dans sa chambre - tenez, tout y est - vous faites ce que vous pouvez, comme d’habitude il y a les légumes pour la soupe on ne deroge pas à la tradition - ça marche je fait ça » ils échangent un sourire et la jeune femme part faire la vaisselle. Elle fait bien attention à l’eau car elle est vite bouillante et met un peu de javel…moins que sa béneficiaire car elle n’aime pas ça mais respecte son souhait. Diana entend le fils quitter la demeure, le feu crépite toujours…l’horloge donne la cadence aux longues minutes qui s’écoulent. Elle s’attaque au balayage et avant de se baisser pour ramasser les miettes regarde qu’elle est bien seule… elle jette dans le foyer flaboyant le contenue de sa pelle. Une fois la serpillere également passée, Diana s’occupe rapidement des légumes, une fois lavés et couper elle les met dans une casserolle et la pose sur la gaziniere à bois. Il ne lui reste pas longtemps, un quart d’heure, c’est court mais suffisant pour laver la serpillere…elle part dans la buanderie qui est annexe à la maison, on peut y acceder par la maison ou par l’exterieur. c’est un endroit un peu sombre, mal éclairé, il n’y a qu’un lavabo profond et des etendoirs. Elle lave à la main le bout de tissus, à force elle n’est plus dégouttée par la texture des serpilleres ou des éponges. Elle ne prette pas attention à une porte qui s’ouvre, dans les vieilles maisons il y a souvent des courant d’air. Diana sent soudain un souffle dans son coup, les relent d’alcool et de sueurs arrivent jusqu’à ses narines, elle se fige et n’ose pas imaginer qui est derriere elle…elle frémit de peur en attendant la voix grave et suave : « Alors ? On discute avec le toubib ? - heu…non…enfin on a discuter comme ça… » ses deux mains puissantes se posent sur le rebord du lavabo de chaque côté de la jeune femme…elle se colle contre la faience mais sent tout de même le contact du maitre des lieux…elle retient ses larmes en se rappellant sa mésaventure avec Bastien il y a quelques mois…ses jambes tremblent et le se concentre sur sa serpillere…elle tente de le faire partir : « vous me genez…vous n’avez pas à être si proche, je vais devoir m’arreter la pour aujourd’hui - ha je te gêne ? Moi ça ne me gêne pas… » il se colle un peu plus : « tu sens l’effet que tu me fait ? Ça fait des jours que tu me chauffes avec ton petit cul et ton air de sainte nitouche… - c’est VOUS qui me matter ! - hola …doucement tu veux pas reveiller ma femme…elle se repose imagine si elle apprend que tu chauffes son mari dans son dos pendant qu’elle est fragile…se serait dommage que sous le choc elle loupe une marche à nouveau… » Diana a tres peur pas que pour elle mais aussi pour sa pauvre beneficiaire… « Il va falloir être bien sage… » elle sent les deux mains fortes se poser sur son corps…elles glissent sur ses seins, ses hanches…son souffle chaud la degoute …elle aimerait pouvoir dire quelque chose ou se défendre avec autant de fougue qu’avec Bastien…mais rien ne sort … il lui murmure à l’oreille : « J’ai entendu ce que tu as dit au toubib petite g***e…tu sais que quand j’était jeune on avait une bonne comme toi …une souillon qui faisait le ménage…un jour elle m’a contrarié…tu sais ce que je lui ai fait ? Je commencé par la frapper un peu…elle m’avait vraiment mis en colere…j’ai levé sa robe et je l’ai prise sur la table…celle qu’il y a juste là dans le coin tu vois ?…je me demande si toi tu serais aussi sauvage qu’elle… Elle a essayé de crier…elle criait fort elle allait ramener du monde, je l’ai bloqué contre cet évier exactement comme toi en ce moment … elle se debattait alors j’ai passé ma main dans ses cheveux comme je suis en train de te faire ….je l’ai fait se mettre à genoux…elle avait une jolie bouche comme toi qui a fait un tres beau collier autour de ma queue… » Diana écoute avec effrois l’homme décrire une scene de viol …sans honte, sans regrets il prend un malin plaisir à sentir la jeune femme trembler de peur…il caresse doucement le visage de sa nouvelle proie : « rassures toi je l’avait pas frappé au visage…elle était mignonne comme toi… j’allais pas abimer sa jolie petite gueule…surtout pas sa bouche…je l’avait prevenu pourtant de la garder fermer….si elle m’avait écouté … elle avait un gars du village qui l’aimait bien…elle a fait l’erreur d’aller lui raconter…je lui ai donné une raclée à cet abrutit…mais je l’ai pas frappé trop fort… fallait qu’il comprenne la leçon …il a vu sa fiancée se faire troussé une nouvelle fois…mon pere les as renvoyés sans poser de questions…il te plait non le flic ? En tout cas toi t’as l’air de lui plaire… » Diana se sent prete à s’évanouir…elle n’arrive pas à retenir des larmes qui coulent sur son visage : « pleures pas…tu sais je peux aussi être trés doux avec les femmes…j’ai aucunes raisons d’être méchant avec toi…n’est ce pas » elle ne peut qu’hocher la tête…il lui caresse les fesses et fait passer sa main sous sa blouse…: « tu vas garder ta jolie bouche bien fermée…être bien docile…quand tu reviendras faudra sourire devant mes fils et ma femme…si tu revient pas ma femme sera tres triste tu sais…tu veux pas la rendre triste ? - non… - c’est bien… tu comprends vite…je crois qu’il est l’heure de partir maintenant ma belle…fait attention sur la route se serait dommage qu’il t’arrives quelque chose… » il la libere et avant de quitter la piece lui met une claque sur les fesses en ricanant… Diana reste planté quelques longues secondes…le souffle coupé et le visage noyé de larmes…elle etend la serpillere…essuis ses yeux, traverse la maison déserte et s’enfuit rapidement de cet endroit..elle demarre et roule sur le petit chemin sans savoir si c’est bien la bonne direction…elle roule, les yeux fixés sur la route…apres un long moment elle se gare sur un petit renforcement…il fait nuit…le panneau qu’elle voit au loin indique Polminhac…son ancien village ou elle avait loué une maison avant d’acheter…elle est à presque trois quart d’heure de chez elle à l’extreme opposé de sa tanniere…son telephone sonne… elle voit dix appels de William et des messages demandant de ses nouvelles…elle repond simplement : « Je suis au travail encore changement de planning de derniere minutes desolée … » elle se sent sale…elle fait demi tour pour reprendre la bonne direction et arrive chez elle encore tremblante et sous le choc, elle s’enferme et en hurlant quitte ses vetements …elle entre dans la douche et se lave encore et encore en pleurant… Elle aimerait se blottir contre le torse de William, lui dire ce qu’il c’est passé mais elle a tellement peur…peur qu’il lui fasse du mal…il est dangereux, pervers, taré…qui sait ce qu’il est vraiment capable de faire ? Elle se blottit dans un plaid confortable qui a l’odeur de son compagnon…elle a si honte d’elle même…sentir ses mains la caressait… elle les sent encore sur son visage…est ce qu’elle doit y retourner demain ? Elle regarde son planning…elle a la matinée de libre mais l’apres midi elle garde des enfants…apres demain par contre elle devra y aller deux longues heures…demain elle doit revoir William …elle a si hate d’oublier tout ça dans ses bras… William a un mauvais pressentiment depuis quelques heures…il n’arrive pas à se concentrer. Assis à son bureau en train de chercher le moindre indices…Diana ne repond pas…son message disant qu’elle etait au travail lui semble bizarre…ou est ce lui qui est parano ? Il soupire…il est bloqué au poste pour de longues heures…il espere qu’il se fait des idées et que tout va bien …il lui envoit un sms : « ça va foxy ? » il guette la reponse qui ne tarde pas : « oui je suis juste épuisée, j’ai eu des gens pénibles aujourd’hui tres maniaque, et toi ? Tout va bien ? - ho sorry darling tu veux que je m’occupe de prevoir le repas pour demain ? Ça va mais tu me manques…et j’arrive à rien… - ho oui merci tu es un ange, courage Cheri tu es le meilleur flic du coin non ? - mouai…je m’etais peut etre emballé en disant ça… - moi je le pense alors au travail Lieutenant Blake ! Vous me ferez un rapport demain ! - oui chef ! À vos ordres - je t’aime je vais aller dormir … mais le lit est vide sans toi - je t’aime aussi t’inquietes pas demain je serais dedans reposes toi … demain je m’occupe entierement de toi - j’ai hate…. » les messages de sa compagne l’ont rassuré un peu …il se remet au travail il doit trouver quelque chose …le proc met la pression au commandant …Blake s’étire et se sert un café…c’est partit pour de longues heures de veilles…
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