– Merci, Broks, merci d’avance ! Tu me devras bien cela pour le festin où je te garde une place. – Laquelle ?... – Pas loin de la mariée ! Et tu verras comme Zénaïde sera encore belle dans sa robe de noce, la couronne de myrte sur la tête et avec le collier que lui donne Mme Johausen. – Je te crois, Poch, je te crois !... Une si bonne femme ne peut être qu’une belle femme... À quand la cérémonie ?... – Dans quatre jours, Broks, le 16 du courant. Et voilà pourquoi je te dis : Presse les iemschicks !... Je ne leur marchanderai pas les petits verres !... Mais qu’ils ne laissent point les chevaux s’endormir entre les brancards !... C’est un fiancé que ta malle emporte, et il ne faut pas qu’il vieillisse trop pendant le voyage ! – Oui ! Zénaïde ne voudrait plus de toi !... répondit en rian