Il n’a pas terminé et me procure un second o*****e. Je me contracte sur ses doigts et jouis. Les spasmes passés, il reste en moi, profondément enfoncé. Le plaisir, la douleur cuisante, tout se mêle, je pleure toutes les larmes de mon corps, elles me brûlent comme de l’acide. Je m’abandonne : la mort de mes frères et de mon père, la crainte d’avoir perdu Seth, le stress du commandement, la culpabilité pour les hommes perdus au combat. C’est comme si une grenade de douleur avait explosé. Il retire ses doigts et m’enlace, il m’étreint étroitement. Je ne me souviens pas de la dernière fois où on m’a prise aux bras, pour de vrai. Evidemment j’ai eu des partenaires mais c’était dénué d’émotion, purement sexuel, ce n’était pas une vraie relation intime. Mon père ne m’a jamais prise dans ses bras