III – Il faut, monsieur, continua M. Bézuchot d’une voix sévère, que vous ayez bien peu de respect de votre administration pour exposer les yeux de votre supérieur à un pareil spectacle. Allons, faites sortir cette malheureuse ! – Monsieur Bézuchot, je vous jure… Et César avait de grosses larmes dans les yeux en balbutiant ces mots. M. Bézuchot, qui n’était pas méchant au fond, se radoucit : – Fredaine de jeune homme, je connais ça, continua-t-il. J’aime mieux ça avant qu’après le mariage. C’est égal, c’est mal, César, d’avoir quitté votre bureau hier plus tôt pour courir le guilledou et de m’avoir fait un mensonge. Voyons, montrez-la, cette petite !… et, si elle est jolie, on vous pardonnera. Et le vieux bureaucrate faisait voluptueusement clapper sa langue en roulant des yeux fripon