– Qu’y a-t-il donc ? demanda le jeune homme. – Mais c’est cette petite ! répondit-elle. J’ai eu la mauvaise idée de la déshabiller, parce qu’elle se plaignait, Et je ne sais plus, je ne sais plus ! Il la regarda, étonné. Elle tournait et retournait une jupe, cherchait les agrafes. Puis, elle ajouta : – Vous comprenez, c’est son père qui m’aide à l’arranger, le matin, avant de partir… Moi, je ne me retrouve jamais toute seule dans ses affaires. Ça m’ennuie, ça m’agace… La petite, cependant, lasse d’être en chemise, effrayée par la vue d’Octave, se débattait, se renversait sur la table. – Prenez garde ! cria-t-il, elle va tomber. Ce fut une catastrophe. Marie avait l’air de ne point oser toucher aux membres nus de sa fille. Elle la regardait toujours, avec l’ébahissement d’une vierge,