Crise

1838 Words
cinq mois plus tôt.               ↈSofia  Il est 19h. Dans trente minutes je dois être au palace Terra Nariño dans la ville voisine à BOGOTA. J'y travail en tant que strip-teaseuse .  Ma famille ne le sait pas. Je sais qu'ils ne l'accepteront jamais . L'état de ma mère est déjà assez critique comme sa pour risquer de la perde avec un arrêt cardiaque.  Bien sur elles m'ont demander où se situe mon établissement et qu'est ce que j'y faisait exactement !  Alors j'ai du leur mentir.  Rien de bien méchant je leurs ai juste dis que je travaille au restaurent du palace et que je suis une simple ménagère.  Mais la vérité est tout autre. Je suis sans cesse entouré d'hommes autant fortunés les uns que les autres.  Mais si seulement sa pouvait s'arrêté que la... Il y a aussi des barons de la d****e. Des narcos trafiquants . Des fois deux cartels rivaux peuvent êtres amenés à se croisé. Alors c'est à nous de calmer le jeu , de les distraires pour empêcher que mort s'en suive.  Je fais pas ce travail par plaisir.  NON.  Je fais en parti ce travail pour payé les soins médicaux de Mi madré et acheté ses médicaments. Ma mère a le cancer depuis environ trois ans mais il y a un ans son état s'est aggravé. Là elle est à sa dernière phase. Il lui reste très peu de temps à vivre alors j'essaie de faire en sorte que se sois le moins douloureux possible.  Normalement à cette heure je devais déjà être parti. Mais ma mère a fait une nouvelle crise et mi hermana Gabriella n'étais pas là. J'ai donc du resté pour m'occupé t'elle.  Gabriella travaille dans une épicerie pas très loin de Cùenca. Elle ne gagne pas beaucoup alors pour arrondir ses fin de mois elle fait du baby-sitting les week-end.  Sa me fait pas plaisir de la voir travaillé autant. Elle travaille aussi pour payer mes études. Je n'y vais plus vraiment maintenant. Mais de toute façon dans pas très longtemps c'est les grandes vacances et je vois pas le but, ni l'utilité de continuer à y aller .  Depuis que la maladie de mi madré c'est compliquée je fais de mon mieux pour ramener moi aussi de l'agent à la maison. Aider aux dépenses de la maison, participer aux courses et aux factures. Je participe du mieux que je peux pour aider Gabriella mais elle ne veut pas de mon aide. La seule chose qu'elle veut venant de moi c'est de ma concentration à l'école.  Je suis pas contre. Parce que d'habitude je suis plus que sérieuse et concentré en cours.  Mais sa devenait de plus en plus difficile de rester concentré et je n'avais pas de temps pour faire mes devoirs.  Je travaille jusqu'à 23h à peu près , j'ai une heure de route pour rentrer chez moi et lorsque je rentre je n'ai pas le temps de faire mes devoirs.  Et le lendemain j'étais complètement dissipé en cours et très souvent je finissais mes nuits en classe.  Alors j'ai pris la décision de plus y aller et de me focaliser sur mon boulot.  C'est pas le meilleur moyen de se faire de l'agent mais c'est le moyen le plus rapide et efficace que j'ai trouvé. --------- J'ai fini de faire mon sac et j'ai ce mauvais présentiment qui ne m'a pas lâché depuis ce matin. Alors avant de sortir je fais une petite prière pour moi, mi hermana et mi madré.  Une fois fini, j'oublie pas de passer dans la chambre de ma mère pour lui faire un bisou. J'avance sur la pointe des pieds en faisant le moins de bruits possible pour éviter de la reveiller.  Mais sa ne servira à rien car plus j'avance ,plus je m'approche, plus je distingue ses yeux bleu dans l'obscurité de la pièce. -tu pars ? me demande t'elle alors je m'assoie prés de sa tête et j'allume sa lampe de chevet. -oui je serai de retour vers 23h. Ne m'attend pas pour manger ni pour dormir. Gabriella sera de retour d'ici 15min. -tu peux pas rester....me demanda t'elle avec un air abattu. Puis elle continue avec "en attendant quel rentre. J'ai pas envie de rester seul" .  Sa me fait atrocement mal au cœur de la voir aussi triste. Je sais qu'elle a peur pour moi. Et j'aimerai tellement la rassuré et lui dire que je ne risque rien mais c'est faut.  Je travaille avec des trafiquants de d****e et je fréquente des cartels. Alors tu as raison de t'inquièter pour moi et d'avoir peur. Mais ça je ne lui dirai pas.  -Non mamà je peux pas en plus je suis déjà en retard. Ce sont les seuls mots que j'ai réussi à articuler correctement. -Mais c'est pas grave tu iras demain et tu leur expliquera que tu as eu un problème familiale. -Tu sais que je ne peux pas me permettre de louper des jours de travail.... Elle baisse la tète vers ses pieds sa me rend extrêmement triste de la voir comme sa. D'habitude elle sourit tout temps , elle est tout temps de bonne humeur et malgré sa maladie et la douleur qu'elle peut ressentir c'est elle qui nous motive et qui nous rassure . Je l'admire justement pour ça.  Oui mamà tu es mon modèle.  -Je dois travaillé pour payer tes médicaments et tes soins médicaux. -Reste au moins jusqu'à ce que Gabriella rentre por favor !!! Dans son regard je ne vois que de la tristesse, de l'inquiétude et de la peur. Ce qui me glace le sang. -que veux tu faire en attendant. Ma phrase à eu pour effets de la faire sourire. Son sourire me réchauffe le cœur. -On peut prendre une photo ? me demanda t'elle avec gaité!! -Non pas avec ton téléphone mais avec mon appareil photo!! Je range donc mon téléphone que j'avais l'intention de prendre.  Je dirige ma main vers sa table de chevet et je saisit l'appareil posé dessus.  Á coté de son appareil photo il y'avais : un baquet de mouchoir, une boite de chew-gum , un verre d'eau et des médicaments.  -C'est ton père qui me l'avait offert pour mon anniversaire. Dès la seconde ou je l'ai vu je l'ai direct adoré. Elle me conte son histoire avec un sourire ce qui me donna aussi envie de sourire.  - On a pris tellement de photos avec. Rajouta t'elle et elle s'est mise à rigolé et moi aussi. Puis elle continue avec : -on l'a prend cette photo ? J'hoche la tête pour lui faire comprendre qu'on peu prendre la photo. Je l'aide à se redresser parce qu'elle avait du mal. Depuis que sa maladie a empiré elle n'a plus beaucoup de force par conséquence elle fatigue vite. Je me réejuste, je place l'appareil au dessus de nos tete et j'appuie sur le bouton situé au sommet de l'appareil. D'ailleurs c'est le seul bouton. Un bruit résonne et le flash sort. Cinq secondes plus tard la photo sort de l'appareil. Je récupère la photos et je la secoue pour rendre l'image claire. Une fois chose faite je la lui tend.  -Tiens mama -Tu peux la mettre sur le mur avec toutes les autres photos ? Je bouge ma tête de haut en bas ce qui signifie que j'accepte. Je prend une punaise et je l'enfonce dans le mur. Entre la punaise et le mur se trouve notre photo.  J'attend la porte de l'entrée s'ouvrir. Elle lève sa tête comme pour me dire que je pouvais à présent y aller . Je lui fait un bisou sur le front et elle me le rendra en me disant: - Te amo mi hija que Dios te bendiga!!  (je t'aime ma fille que Dieu te bénisse.)  C'est avec un large sourire et une larme que j'essaye de retenir que je lui répond.  - je t'aime aussi !! Je me lève et je me dirige vers la porte de sa chambre.  -Mamá volví !! ( maman je suis rentré). C'est Gabriella qui vient de parler. En me voyant elle s'arrête dans sa course et me regarde avec surprise et interrogation.  - Tu n'est pas encore parti il est 19h25 tu vas être en retard. Me dit elle en regardant l'heure de son téléphone.  - Je suis resté avec qu'elle en attendant que tu rentres.  - Merci mi hermana. Maintenant file je m'occupe du reste. Elle passe ses bras autour de mon cou. Je la prend aussi dans mes bras et sans trop savoir pourquoi je lui dis : - Prend bien soin d'elle, elle aura besoin de toi. Son visage affiche de l'incompréhension et son regard me montre de l'inquiétude. Sans lui laisser le temps de me répondre je poursuit avec : -Si tu as besoin d'argent j'en ai laissé dans mon blacard . À l'endroit où se trouve la photo il y a un double fond, dedans tu trouveras de l'argent.  - Mais pourquoi tu me dis tout ça ? Qu'est ce qui ce passe ? Enchaîna t'elle.  - Rien ! Mais vu la grandeur de sa crise aujourd'hui tu en auras besoin au cas ou elle refait une crise. Je sens un liquide coulé le long de ma joue droite.  - Elle était si horrible que ça ? Me demande Gabriella avec la voix en roué et des larmes qui menace d'ors et déjà de couler.  Je secoue ma tête de haut en bas et je me mets à pleurer. Elle me prend dans ses bras et me dit d'une petite voix à peine compréhensive : - Ne t'inquiète pas je prendrai soin t'elle et tu verras que je n'aurai pas besoin de ton argent. Elle dépose ses lèvres sur le haut de mon crâne.  Après deux minutes dans les bras de l'une et de l'autre, on finit enfin par se lâcher. On se regarde avec affection et amour. Je parvient même à lire de la fierté dans son regard.  Mais pourquoi tu me regarde avec fierté Hermana ?  Si seulement tu savais ce que ta sœur fait !  Si seulement tu savais ce que ta sœur et devenue !  Si seulement tu savais avec qu'elle genre de personne ta sœur traînent !  Mais enfin de compte je préfère voir t'es yeux remplis de fierté à mon égard que de dégoût !  Ne t'arrête jamais de me regarder comme ça, car se sont ses yeux qui me permettent de continuer d'avancer.  Je saisi mon sac que j'avais déposé sur le canapé et je m'avance vers la porte.  Je me retourne une dernière fois et je replonge dans ses yeux bleu azur. Elle me fait un adorable sourire au quel j'aurai pas d'autres choix que d'y répondre.  - À toute à l'heure. Me dit-elle Je continue d'avancer cette fois ci dos à elle et avant de franchir cette porte je lui lanche un : - hmm... Et je part.  Pour elle la soirée est presque à son thème mais pour moi elle ne fait que commencer. 
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