À LA RECHERCHE DU VRAI AMOUR PARTIE 01
Salut !!! Moi c’est Richy Plume, un jeune homme âgé de 25 ans. Je suis détenteur de la licence en finance et gestion et je travaille dans l'entreprise de monsieur Mickael Plume, mon père. Il est donc le directeur de la grande entreprise de production des ordinateurs et outils informatiques. Ma tendre mère répond au nom d’Angela Quenum. Elle est une commerçante de pagnes de bonne qualité dans un grand marché reconnu dans la ville.
Je suis issu d'une famille très riche composée de trois enfants. Ainsi, j'ai deux adorables sœurs, Félicité et Carina. Ce sont mes amours. Je les aime énormément et ce sentiment est réciproque entre nous. J'ai aussi une Tante qui s'appelle Adjo ABOTSI.Tante Adjo est comme ma seconde mère, car elle me donnait beaucoup de conseils concernant la vie et les épisodes pénibles qu'elle peut nous faire traverser.
Hubert et Diderot sont mes meilleurs amis. Nous nous connaissons depuis les cours secondaires. Ce sont mes potes et nous passons toujours du bon temps ensemble. Hubert travaille en tant que DGA dans une entreprise de commerce et transport. Il a déjà une petite amie dont il est éperdument amoureux et j'aime vraiment leur couple. Diderot, quant à lui, est un médecin dans un grand hôpital de la ville. Il est toujours soutenu par sa petite amie qu'il aime de tout son cœur. Mais moi, je n'en ai toujours pas. Je n'ai pu trouver une vraie relation puisqu'elles sont toutes intéressées par l'argent. Elles me laissent plus tard, le cœur brisé.
Je viens de fermer mes vingt-cinq ans et mes parents me demandent le nom de la fille qui fait battre mon cœur. FILLE ! Que dire ? Je n’en ai pas. Eux tous attendent que je leur présente ma petite amie, celle qui gouverne mon cœur pour enfin envisager le mariage et la venue de leur petit-fils. J'espère toujours en trouver une VRAIE plus tard.
Le week-end s'annonce très calme. Je cogitais dans ma chambre quand ma mère m'appela.
– Richy !!!! Viens s'il te plaît !
Je me lève pour aller la voir, une fois proche d'elle :
– Mère ! tu m'as appelé.
– Oui chéri. Rends-moi ce service ! Vas au supermarché "LES MERVEILLES" et fais-moi ces quelques achats !
Elle me tendit un petit bout de papier sur lequel étaient inscrits les produits dont elle avait besoin.
– Bien mère ! Je me mets en route.
– Merci mon fiston. À tout à l'heure.
Je mets rapidement un t-shirt rouge et j'arrange un peu mes cheveux, porte mes chaussures très simples et démarre ma voiture.
En moins de trente minutes, je me rends au supermarché LES MERVEILLES.
– C'est si grand et si beau ici ! exclamée-je.
Je fis mon entrée et commencèrent à faire mes achats. Je lis sur le bout de papier « UN GROS BISCUIT "JE T'AIME” DESTINÉ À TOI ». Mon cœur est tout illuminé et je ne pus m'empêcher de sourire. Ma mère est très comique et ne fait que me chouchouter. À vingt-cinq ans, elle m'offre un gros biscuit très chocolaté en plus ! Cette dame me comble de joie.
Je finis les courses et ce n’était pas mal de choses. J'ai pris tout ce qu'elle m'a demandé et cela cachait même mon visage. Je règle la rançon et sort des lieux. Je marchais quand mon téléphone sonna. J'essaie tant bien que mal de répondre à l'appel et aussi protéger les produits. Je ne fais pas attention et je cogne violemment une dame avec mes achats. Elle vient aussi du supermarché puisqu'elle avait fait des achats elle aussi. Mais à cause de moi, tout ce qu'elle a acheté est maintenant au sol.Je suis très gêné et me rabaisse en même temps, posant mon sac.
– Je ... suis désolé madame. Je ne l'ai pas fait exprès.
Elle se rabaisse au même moment que je l'ai fait et nous avons ramassé ses effets ensemble. Mais au moment de nous lever, nos regards se croisèrent et je me rendis compte que j'avais renversé les produits d'une fée luisante. Elle est d'une beauté incomparable.
Je racle la gorge et détourne mon regard.
– Je vous prie de m'excuser dame... ?
– Rose.
– Dame Rose. Je ne l'ai pas fait exprès.
– Ne vous en faites pas.
– Merci dame. (Lui tendit la main) Moi c'est Richy. Ravi de vous avoir rencontré.
– Ainsi que moi.
– Alors je peux vous déposer ?
– Non merci.
– J'insiste. Comment laisser une si belle dame au milieu de la rue et aussi, le soleil est au Zénith. Je propose juste de vous remorquer et je tâcherai de faire attention à vos marchandises.
Elle sourit et je sens lis dans ses yeux qu'elle accepte. On marche vers mon véhicule et je pose nos achats dans la malle arrière. J'ouvre la portière et elle rentre. Je démarre la voiture et nous prenons le chemin. Bien qu'étant au volant, je ne pus m'empêcher de fixer la beauté qui se trouve à côté de moi dans mon véhicule. Elle est si belle. N'est-ce-pas encore une parmi tant d'autres qui blessent sans se soucier des sentiments des autres ? J'essaie de chasser ces idées de mon esprit et arrache quelques mots à la dame.
– Alors, où puis-je déposer l'Ange qui se trouve dans mon véhicule ?
– Vous pouvez vous arrêter au niveau de cette vons. Ma maison est juste à deux pas.
– Compris !
Je gare et elle descend
– Merci.... Richy !
Elle me brandit la main et je fais de même.
– À un de ces jours... Princesse.
Je rentre chez moi, sourire aux lèvres et je remets les achats à ma mère. Elle me tendit le biscuit que je pris après l'avoir gratifié d'un vivifiant bisou. Je monte dans ma chambre et repense à cette dame. Rose. Je ne sais pourquoi je me sens très heureux après l'avoir rencontré. Je n'ai pas eu son numéro et je ne pouvais en demander puisqu'on venait à peine de se rencontrer. Peut-être que la chance me sourira un autre jour et que je la reverrai dans ce supermarché. Je ferai un tour de temps en temps en espérant la revoir. Supermarché LES MERVEILLES !!!! Tu fais vraiment découvrir des merveilles !
C'est le week-end et en même temps le début de mes congés. Oui, mon père m'a donné une semaine de congés et donc je suis libre. J'ai décidé de rendre visite à Hubert. Ça fait très longtemps que je ne l'avais plus vu. Je prends mon téléphone et je compose son numéro. Après deux appels sans réponse, il finit enfin par décrocher :
– Oui, mon pote ! Mais que foutais-tu depuis ? tête de truc !
– Ah Richy ! J'étais en circulation. Et arrête de penser à autre chose. Alors comment vas-tu ?
– En pleine forme et toi ?
– Super bien frangin.
– J'ai envie de te voir demain frère. On s'est vu il y a deux mois. Je veux revoir ta tête et tes blagues me manquent déjà.
– Ah ouais ? Richy le mec délicieux. Mon Richy à moi !
J'éclate de rire et Il poursuit
– Tu me manques aussi. On se verra devant le pressing Clear aux environs de quinze heures. Je serai disponible puis te conduirai à la maison.
– Bien reçu. À demain frère.
– C'est ça. À demain Rich !
Cet Hubert est si comique. Ces petites blagues me manquent et le revoir me fera vraiment du bien. Je m'allonge puis ferme les yeux et me laisse emporter par le sommeil.
À SUIVRE…
RICHY PLUME-RAM
GOD’S INSPIRATION