Il a fallu près de 10 minutes pour arriver devant une porte . Il lui a serré la main de façon forte avant d’ouvrir la porte et la faire entrer.
Une fois à l’intérieur, elle a remarqué qu’elle était habillée différemment des autres filles dans la salle, on dira plutôt la seule Habillée de la salle vu qu’elle était toute vêtue d’un bas et d’un soutien gorge chacune avec leur vêtement au sol.
Parmi les filles présentes , elle a reconnu quelques d’entre elles vu qu’elles ont été ramenées ensemble mais n’a pas vu Kyliane.
Chaque fille était assise en face d’un homme, elle ne comprenait toujours pas ce qui allait se passer. Soudain on a saisi sa main et l’a fait s’assoir sur une chaise qui donnait parfaitement la vue à toute la salle et on l’y a menotté.
-Qu’est-ce que vous faites? Pourquoi me menottez-vous et pourquoi toutes ces filles sont-elles vêtues de la sorte? Vous n’avez aucun respect pour la gente féminine ou quoi ?
Avant qu’elle n’ajoute un mot de plus on lui a scotché la bouche malgré le fait qu’elle se débatte.
Les autres filles étaient très effrayées mais à la fois semblaient étourdies comme si elles avaient consommés quelque chose.
Juste après un coup de sonnette a retenti et les gardes présents dans la salle sont tous sortis et ont bloqué la porte derrière eux.
Les hommes qui étaient présents de l’autre côté de la table , se sont déplacés pour récupérer chaque fille qui se trouvait face à eux.
Après les avoir atteinte, ils se sont mit à retirer leur sous vêtements puis les porter et poser sur la table , elle était très vaste donc faisant de la place suffisante pour chacun . Les filles ne réagissaient agressivement à aucune des approches comme si elles avaient été paralysées .
À ce moment là sachant ce qu’ils allaient leur faire , des larmes se mit à couler de ses yeux. Elle était impuissante à cet instant, ne pouvait pas bouger , ni crier , elle a juste détourné son regard et pleurait encore plus imaginant que Kyliane devrait être sûrement entrain de subir le même horrible traitement.
Elle avait beau fermer les yeux et détourner son regard mais les bruits de gémissements se faisaient entendre. Parmi certaines d’entre elles pouvait se trouver d’autres ayant de l’expérience dans le domaine sexuel , c’est surtout la douleur de celle qui pourraient encore être vierge qui était attachante.
10 minutes après , la sonnette a encore retentit et les garçons on porté leur culotte avant de sortir comme s’ils étaient des robots réagissant à un grand maître.
En cet instant, elle a tourné le visage pour regarder des ces filles qui étaient négligées sur la table alors elle s’est posée la question dans son cœur de savoir pourquoi il lui a fait assister à tout ça , pourquoi ne se trouvait-elle pas parmi ces filles , pas qu’elle le voulait non mais juste ne comprenait pas cette différence. Peut-être quelque chose de plus pire l’attendait?
La porte s’est ouverte et des gardes sont entrés avec des draps qu’ils ont mit sur elles avant de les porter , Catalina vivait tout cela sans bouger.
Lorsqu’elle n’était plus que la seule dans la salle , près de 5min après la porte s’est ouverte et un air glacial envahissa la salle. Lorsqu’elle a levé la tête , elle a rencontré le visage masqué de cet même homme qui s’est charismatique placé devant elle.
-Est-ce que le spectacle t’a plus ma jolie ? Lui demanda t-il
-Tu dois être entrain de te demander pourquoi elles et pas toi , t’inquiète tu le sauras bientôt tiens-toi juste bien .
Il s’est approché d’elle voyant qu’elle pouvait avoir quelques choses à dire et il lui a enlevé le scotches mais ne s’attendait à ce qu’elle lui verse sa salive dessus , même s’il avait un masque , il s’est rapidement énervé et impulsivement, il a retiré un couteau de sa poche et l’a planté dans la paume de main de Catalina sans pitié.
- Ahhhh … Cria t-elle de douleur en augmentant ses pleurs.
Il ne s’est pas soucié de cela , a retiré le couteau là où il l’a planté et a prit un mouchoir qu’il a essuyé le sang présent sur le couteau et l’a déposé sur elle.
Il se foutait qu’elle ressente de la douleur ou pas , il devenait très incontrôlable lorsque quelqu’un le défiait ou le méprisait.
Il a tourné son dos pour partir et c’est là qu’elle a parlé malgré la douleur.
-Je doute que le traitement que vous allez me donner soit de faveur puisque c’est clair que vous êtes sans cœur qui utilisez des femmes comme des chiffons, n’avez-vous pas de mère ou de sœurs?
Il continuait son chemin jusqu’à ce qu’il écoute sa dernière phrase. Il ne s’est pas tourné en ce moment mais il avait une expression monstrueuse. Les gardes présents se disaient que ça devait être la fin pour elle. La règle Nº1 de l’endroit où ils étaient : Jamais faire allusion à la femme qui l’a mise au monde.
-Emmenez-la à l’abattoir
En écoutant le mot abattoir prononcé par cet homme , son cœur manqua un battement et elle se disait que c’était la fin pour elle.
-Qu’allez vous me faire? Répondez … Celui-ci est sorti sans rien dire.
Un garde lui a enlevé les menottes avant de la traîner brutalement à l’extérieur de la salle, sa main saignant mais personne ne s’en préoccupait . Ils ont longé le couloir avant d’atteindre un ascenseur qu’ils ont prit jusqu’à ce qui semblait être un sous-sol.
Il a ouverte la salle avec une clé puis a jetté Cata à l’intérieur avant de la fermer.
La salle était à moitié noire , prise de peur , elle s’est approchée de la porte et s’est mise à cogner dessus mais ses cris semblaient vains. Elle a commencé à se sentir très faible peut-être à cause du sang qu’elle ne faisait que perdre suite au poignard reçu sur sa paume de main. Elle s’effondra au sol .