Chapitre Huit Nico Elle me tue. Je ne crois pas avoir déjà eu à ce point l’impression de mourir, frôlé de si près cette expérience, mais je suis quasiment certain que c’est ce que l’on ressent, quand on meurt. Mes couilles sont lourdes et tendues, et si elle continue à me titiller avec ses doigts sexy, je vais exploser comme un adolescent qui verrait une chatte pour la toute première fois de sa vie. D’ailleurs, je manque d’é******r quand elle lèche son pouce, qu’elle vient de passer sur mon g***d et qui en est resté humide. Ses yeux sont pareils à deux bassins qu’un désir foudroyant vient obscurcir. Le souffle coupé devant le désir que je devine en elle, j’attends sa réponse en implorant silencieusement tout dieu qui serait assez clément pour m’entendre. Je ne mérite rien d’aussi bien d