Du Poizat eut un rire aigu. – Parbleu ! cria-t-il. Et, comme on le pressait de s’expliquer, il continua crûment : – Je vous trouve bons, vous autres ! On ne vous a pas lâchés. Delestang est toujours au conseil d’État. Béjuin vient d’être réélu. – Ça s’est fait tout naturellement, interrompit celui-ci… C’est le préfet du Cher… – Oh ! vous n’y êtes pour rien, je ne vous accuse pas. Nous savons comment les choses se passent… Combelot aussi est réélu, La Rouquette aussi… L’empire est superbe ! M. d’Escorailles, qui continuait à éventer la jolie madame Bouchard, voulut intervenir. Lui, défendait l’empire à un autre point de vue ; il s’était rallié, parce que l’empereur lui paraissait avoir une mission à remplir ; le salut de la France avant tout. – Vous avez gardé votre situation d’audit