Scène III Gabriel, en habit de femme très élégant, sort lentement de sa chambre ; Périnne le suit d’un air curieux et avide. GABRIEL C’est assez, dame Périnne, je n’ai plus besoin de vous. Voici pour la peine que vous avez prise. Il lui donne de l’argent. PÉRINNE Monseigneur, c’est trop de bonté. Votre seigneurie plaira à toutes les femmes, jeunes et vieilles, riches et pauvres ; car, outre que le ciel a tout fait pour elle, elle est d’une magnificence… GABRIEL C’est bien, c’est bien, dame Périnne. Bonsoir ! PÉRINNE, mettant l’argent dans sa poche. C’est vraiment trop ! votre altesse ne m’a pas permis de l’aider… je n’ai fait qu’attacher la ceinture et les bracelets. Si j’osais donner un dernier conseil à votre excellence, je lui dirais que son collier de dentelle monte trop haut