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– Cinq heures, dit Sandoz qui s’étirait, les bras en l’air. Nous allons dîner... Justement, voici Dubuche. On frappait, et Dubuche entra. C’était un gros garçon brun, au visage correct et bouffi, les cheveux ras, les moustaches déjà fortes. Il donna des poignées de main, il s’arrêta d’un air interloqué devant le tableau. Au fond, cette peinture déréglée le bousculait, dans la pondération de sa nature, dans son respect de bon élève pour les formules établies ; et sa vieille amitié seule empêchait d’ordinaire ses critiques. Mais, cette fois, tout son être se révoltait, visiblement. – Eh bien ! quoi donc ? ça ne te va pas ? demanda Sandoz qui le guettait. – Si, si, oh ! très bien peint... Seulement... – Allons, accouche. Qu’est-ce qui te chiffonne ? – Seulement, c’est ce monsieur, tout h