When you visit our website, if you give your consent, we will use cookies to allow us to collect data for aggregated statistics to improve our service and remember your choice for future visits. Cookie Policy & Privacy Policy
Dear Reader, we use the permissions associated with cookies to keep our website running smoothly and to provide you with personalized content that better meets your needs and ensure the best reading experience. At any time, you can change your permissions for the cookie settings below.
If you would like to learn more about our Cookie, you can click on Privacy Policy.
– Vous trouveriez difficilement un pareil arrangement, cria lord Henry, en éclatant de rire… – Eh ! eh ! je m’y opposerais d’ailleurs, dit le peintre. Dorian Gray se tourna vers lui. – Je le crois, Basil… Vous aimez votre art mieux que vos amis. Je ne vous suis ni plus ni moins qu’une de vos figures de bronze vert. A peine autant, plutôt… Le peintre le regarda avec étonnement. Il était si peu habitué à entendre Dorian s’exprimer ainsi. Qu’était il donc arrivé ? C’est vrai qu’il semblait désolé ; sa face était toute rouge et ses joues allumées. – Oui, continua-t-il. Je vous suis moins que votre Hermès d’ivoire ou que votre Faune d’argent. Vous les aimerez toujours, eux. Combien de temps m’aimerez-vous ? Jusqu’à ma première ride, sans doute… Je sais maintenant que quand on perd ses char