CHAPITRE VINGT Sartes ne s'était pas attendu à ce que tant de ses amis appelés l'accompagnent livrer les nouvelles de Ceres sur les changements de l'Empire. Il s'était attendu à ce qu'un petit groupe ait envie de rentrer chez lui. En fait, il avait l'impression d'être en train de marcher avec toute une armée. Non, pas une armée. Sartes en avait assez des armées. Il avait vu plus qu'assez de morts pour toute la vie. Il avait même aidé à organiser une partie de ces morts mais ce n'était pas pareil. C'était inévitable s'ils voulaient aider à reconstruire l'Empire à la suite de tout ce qui s'était passé. Cela dit, s'ils ne formaient pas une armée, qu'étaient-ils ? Ils avaient les chariots et les chevaux du convoi d'un marchand, mais ils n'étaient pas là pour gagner de l'argent dans les vill