pregnant man

Chapitre 6

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Les jours c'était succédé,et depuis j'avais tiré un trait sur c'est amitié qui n'en valait pas la peine, j'avais continuer le cours de ma vie sans me poser plus de questions, mon entourage avait fini par apprendre mon état,au vu de la forme de mon ventre qui devenait de plus en plus visible,je n'avais pas encore parlé de ma situation au frère de Alice,je ne voulais pas être une gêne pour lui, où l'imposer ce bébé qu'il n'avait pas demandé, connaissant sa sœur, elle lui avais sûrement dis des horrible chose sur moi, et je m'en fou royalement. Je m'étais habitué au nausée Matinale qui avait par me laisser tranquille pour mon plus grand bonheur,mes parents étaient au petit soin,il ne posait de questions indiscret, mais je savais que ma mère mourait d'envie de parler du père de mon bébé, après tout, tout le monde avait un père, et mon bébé n'était pas une exception. Ma mère faisait toujours une tête bizarre lorsqu'il s'agissait de posé des questions déplacer. Mais j'avais encore le temps avant qu'elle ne ce décide, c'est ce que je croyais.

— Mon chéri,il faut qu'on parle, si ton père et moi nous ne nous sommes pas posé sur la question c'est cinq dernières, c'était pour te laissé accepter l'idée que quelqu'un grandissait dans ton ventre,tu est un homme et accepter cette réalité, à dû être dur pour toi, maintenant nous voulons savoir si tu connais le père, c'est Léon c'est ça ? Demanda ma mère après m'avoir fait signe de venir vers elle.

— Maman ! Qu'est-ce que tu racontes comme ça, Léon est mon meilleur ami,je pourrais jamais couché avec lui,oui je connais le père,mes ce n'est dans mes intentions de le lui dire ! S'exclamais-je surprise par les mots de ma mère.

Léon était mon ami d'enfance,et mes parents le connaissais très, comme si c'était le leur, j'ai passé mon enfance à faire les quatre cents coups avec lui, Alors,je comprends pas pourquoi ma mère c'est mise cet idée dans la tête.

— Je suis désolée d'avoir pensé trop vite, pourquoi tu ne veux pas le dire au père ? Demanda ma mère. Ton père n'arrête pas de s'inquiéter.

— Maman regarde toi-même ce que ce disent les gens, que c'est dégoûtant qu'un homme puise porté la vie, c'est déjà entendu ce genre d'insultes et je sais déjà ce que dira le père de mon bébé,et je n'est pas envie de m'infliger ça.

— Mon chéri tu ne peux pas pensé à la place des autres, laisse lui le bénéfice du doute fait le au moins pour ton bébé.

Je soupire, j'avais besoin d'air,il fallait que je réfléchisse à tête reposée,je ne voulais pas me lancé la tête baissée, j'avais accepté ma situation, et je ne voulais pas que mon enfant ce fasse rejeté par son père,moi j'avais la chance d'avoir des parents aimant à mes côté et j'espérais secrètement qu'il revendique ses droits sur son enfant, mais je n'étais pas non plus un idiot qui croyait à des choses éphémère.

— Je doit sortir, j'ai besoin de prendre l'air.

— à attention mon chéri ! Hurla ma mère alors que la porte ce refermait derrière moi.

Je referme la porte derrière moi, après avoir attrapé mon blouson,mon ventre était légèrement Visible et je ne voulais pas attiré l'attention sur moi. Je remonte la fermeture de mon blouson, je m'arrête en sentant du mouvement devant moi, je lève les yeux sur la porte qui venait de s'ouvrir en face de moi. C'était mon voisin,on ne connaissais pas vrai, mais il avait l'air sympa,et j'étais trop gêner pour lui adresser la parole, j'étais près à m'en aller mais sa voix m'arrêta.

— vous ressemblé à une personne qui besoin d'une oreille pour vous écouter. Dit-il tout en m'offrant un sourire rassurant.

— Je crois plus que c'est vous qui on à le plus besoin que moi.

— Je suis Théo millet ton voisin enchanté de faire votre connaissance. Dit-il tout en me tendant la main.

— Eden Muller, je suis aussi ravie de faire votre connaissance.

— Maintenant que nous avons fait connaissance,tu peux me dire ce qui te tracasse, et je parlerais de moi aussi.

.....

J'étais assis dans un café, au côté de Théo, j'étais un peut stressé de parler de moi à un inconnu, même si ce quelqu'un était un inconnu, j'avais déjà fait les frais, et je ne voulais pas être une nouvelle fois le sujet sur toute les lèvres.

— Tu à peur,et je comprends ta réticences à l'idée de me parler de ce que tu vie en ce moment, mais je vais te dire que tu n'est pas le seule, moi aussi je suis dans le même état que toi. Commence-t-il tout en prenant une gorgée de sa boisson chaude. J'étais en couple avec un homme,je l'aimais éperdument,et malgré ça il ma quitter,je n'étais pas aussi important pour lui que ses parents,je n'étais pas de taille,et même si c'est difficile je l'ai accepter et je fais de mon mieux pour vivre avec, mais maintenant que j'ai appris pour ce bébé qui grandissait en moi,je me demande si je devais lui parler de ça,ou lui laisser simplement dans son coin. Me dit-il,je voyais qu'il était toujours aussi amoureux du papa de son enfant et ce choix de ce séparait était plus dur que ça à en caisser, qu'il le pensais.

— Toi au moins tu peux dire que tu aimes quelqu'un aussi fort que tu est prêt à le laisser partir, mais moi c'est tout le contraire, j'étais ce genre de gars qui couché à droite à gauche, je passais mon temps à dragué, fille ou garçon,je n'étais pas très compliqué, j'étais celui qui dominait toujours, mais en une nuit, tout à changer,et maintenant je suis enceinte du frère de mon ex-amie,mes veulent que je lui laisse le choix d'accepter ce bébé, mais je connais la réponse,si celle que je considérer comme mon avait pu dire que j'étais dégoûtant, alors qu'est-ce qui me prouve qu'il ne sortira pas ce genre de mots.

— Sa sœur c'est sa sœur et lui,il est lui,ce n'est pas parce-qu'une pommes est pourri sur un arbre que sa veut dire que le verger est dans le même état que la pomme, alors ce frère et cet sœur peuvent être tout de différent et avoir des avis divergentes, alors ne laisse pas les mots de cette femme définir son frère.

Je soupire longuement, c'était un choix difficile au départ, mais grâce à lui je savait ce qu'il devait faire maintenant. Je pose délicatement ma main tremblante sur mon ventre, légèrement arrondie, c'était la première fois que je ressentais le besoin de le faire.

— Tu m'a aidé à prendre une décision pour mon bébé et je ne sais pas ce que peut faire pour t'aider avec ton problème. Dis-je la tête baissée.

— Mon problème n'a pas besoin de solutions,je l'avais déjà accepté, mais je suis heureux de t'avoir aidé. Dit-il tout en reprenant une gorgée de sa boisson.

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PDV : Taehyung

J'avais laissée un soupire s'échapper de mes lèvres lors que j'avais reçu l'appel de mon très cher père,je l'avais répondu,et je savais déjà de quoi il voulait qu'on parle, j'aimais bien ça lui faire croire encore et encore qu'il pouvait avoir de l'emprise sur moi, j'aimais bien lui faire tourner en bourrique. Mon père voulait que je dîne avec lui et sa très cher famille,moi je ne faisait pas partie du tableau, mais je voulais y aller, j'aime bien constaté de mes propres yeux à quel point il n'a jamais rien eu à faire de moi. Je regarde ma montre qui m'indiquait qu'il ce faisait déjà tard. Je me lève après avoir refermer mon ordinateur, avant de quitter mon bureau, je reste souvent tard au boulot,je n'avais pas quelqu'un qui m'attendait à la maison, pour voilà rentrée tôt chez moi. J'avais prévenu Mon chauffeur qu'aujourd'hui je devais dîné chez mon père. J'avais profiter des trente minutes de route pour faire un peut les yeux, j'étais épuisée,je voulais simplement m'endormir et assisté à ce foutu dîné.

Mon semblait heureux de me voir chez lui, mais je n'étais pas dupes ce sourire cachait quelques choses d'autres,et même si il essayé fort il n'allait pas avoir un seule centimes de moi.

— Gabriel,tu te fais vieux maintenant, à trente tu dois penser à fondé ta propre famille et te détachées de nous. Avait dis ma belle-mère Avec un sourire que je détestait plus que tout accroché à ses lèvres.

— Je suis plus attaché à cette famille depuis longtemps, alors tu na à t'inquiéter pour moi, lorsque je le voudrais je vais me marier avec la personne que j'aurai choisit pour moi.

— Je vois,je vois aussi que t'es affaires marche bien, très bien même,tu est au courant que les affaires de ton père ne fonctionne plus comme dans le passé.

Je lâche un énorme soupire, j'étais d'espérer,je savais très bien ce qu'ils attendaient de ce dîner, mais je voulais pas non plus céder.

— C'est Bon vous avez fini, ça fait un moment que je n'arrête pas de vous entendre, mais je crois que vous n'avez pas compris que même si vous forcé aussi fort, je ne vais jamais accepté de vous aider. Dit-il tout en sortant de table.

Je voyais bien sûr le visage de mon père que ma réponse ne lui avait pas plus.

— Oppa tu sais bien que tu est le seul qui peut aider papa à remonter la pente. Dis Alice tout en ce levant à son tour.

— Tu sais quoi Alice, je m'en fou de royalement de qu'il vie en ce moment, que son entreprise fasse faillite ne m'empêchera pas de dormir ce soir, j'ai grandi comme un orphelin il vous à tout donner sans jamais pensé à moi,il mis dans un coin de sa vie et maintenant j'ai prospéré dans ma carrière il crois pouvoir revenir comme une fleur dans ma vie et exiger que je lui viennes en aide, mais je ne le ferais.

— alors tu abandonne ta famille, pour aller dépensé ton argent, sur cet homme qui attend un enfant, le monde tourne vraiment en rond, dégoûtant. Dit-elle avant d'écarquillés les yeux, elle s'empressa de fermer sa bougé.

J'essaie d'assimiler ce qu'elle venait de dire, essayant de chercher le visage de ce jeune homme avec qui j'avais passé la nuit,si mois en arrière. Je savais qu'elle n'était pas une bonne sœur, mais me le cracher sur le visage était bas.

— Je...ce n'est pas ce que je voulais dire, c'est juste une blague et je l'est dis comme ça. essaya-t-elle de ce rattraper.

Mais c'était déjà trop tard mon cerveau avait réussi à assimiler ce qu'elle m'avait avouer,et je savais maintenant que j'avais bientôt devenir père,et c'était de sa bouche que j'ai du l'entendre, mais ce qui me restait à faire c'était de le retrouver.