le nouveau monde

1841 Words
Quelques jours après la naissance de sa fille Leona quitta la ville avec sa mère le docteur Barte et son assistante, ils arrivèrent dans une ville appelée solitude, ils s'installèrent dans une ne grande maison ainsi Leona éleva sa fille avec l'aide de sa mère et ses amis. Quinze années passèrent et la petite Lili avait bien grandi, le docteur en Barte lui fit découvrir la science et la musique, Laura était son professeur de bonne manière. Un jour alors s'ils dormaient tous, ils se furent attaqué par des créatures des abîmes, leur peau ressemblait à de la chair brûlée et leurs yeux étaient noirs, ils rentrèrent dans leur maison et se mirent à tuer tout le monde , Lili fut réveillée par Leona maman, c'est quoi ce bruit, chut !, dit-elle, suis-moi, elle ouvrit l'armoire de Lili, mais au même moment des créatures des abîmes rentrèrent dans la chambre et un second Lili et sa mère se retrouvèrent au salon les corps sans vie de sa grande mère et les hommes de mains Barte ,une femme fit son entrée dans la salle, elles étaient habillées élégamment. Elle marchait et d'un mouvement de main fit disparaître les corps pour libérer son chemin, dit moi qui ai l'enfant déesse de vous deux, Leona était grand mince sa belle peau noire sublimée son visage avec ses traits négroïde et ses longs cheveux crépus tombait sur ses épaules, Lili quant à elle la peau noir doré, le regard perçant les cheveux crépus ondulés qui lui au dos son visage était sublimé par des traits négroïdes, Lili et Leona avait la même taille ,il était difficile de savoir qui était l'enfant entre les deux. Cela fait trente jours à chercher cette nouveau-née dans votre monde, elle devrait déjà avoir votre taille dit la femme en la regardant , elle se retourna et regarda ses hommes et dit tué tout le monde et elle disparut sous leurs yeux, ils firent sortir des armes et tirèrent sur eux, Lili mit, c'est sur ses yeux afin de ne pas voir sa mort, elle tremblait de peur, elle enleva ses mains de ses yeux et là. Le regard perdu ,elle se retourna et regarda le corps sans vie de sa mère, Lili s'assit sur le sol ,et de la larme commencèrent à couler, la gorge nouée, elle ne pouvait prononcer aucun mot, une lumière apparue et elle a aperçu une forme puis elle tomba inconsciente sur le sol. Lorsqu'elle ouvrit les yeux Lili se retrouvèrent dans une chambre, elle regarda autour d'elle et ne reconnaissait rien, elle se leva et regarda les quatre grandes ouvertures qui faisaient office de fenêtre recouvert de rideaux fin, on pouvait voir à travers le paysage Elle s'approcha et ouvrit l'un d'eux, devant elle se trouva un paysage magnifique, elle vit des grands éléphants de cinq mètres, marché dans une forêt revêtu d'une verdure gigantesque, tous les animaux de forêt semblait énorme ,des oiseaux de différente couleur et de forme, du tigre au lion, ses yeux s'ouvrit d'administration, et la porte s'ouvrit derrière elle, bienvenue à Lambaya , Lili se retourna et en face d'elle se trouvait une jeune dame de peau foncée aux traits négroïde, c'est cheveux était tressé, quatre tresses qui lui tombaient aux épaules, et qui était décoré de Corrie de différentes couleurs, elle était habillée de la jupe qui lui tombait aux genoux avec deux grandes fentes sur les côtés l'on pouvait voir le short qu'elle avait en dessous par les fentes de sa jupe , au-dessus, elle avait un bustier qui laissait découvrir ses épaules et a son cou, elle portait un collier qui partait de son coût jusque sur ses épaules ses mains et cheville était orné de bracelet en or, je m'appelle Akeva, où suis-je Akeva ? , à Lambaya répondit Akeva, où est ma famille, ma mère et ma grand-mère où sont, elles peuvent au même moment, elle se rappela la scène, puis elle se rappela et soupira alors ce n'était pas un rêve, j'ai bien peur que non Flame, mon nom est Lili dit elle, comme vous voulez notre lumière , par ici, Lili se mit à suivre la jeune femme, elle remarqua le rouge de son pagne et les broderies de soldats avec des lances , les murs de ce palais était immense qu'on pouvait s'y perdre, elles traversèrent des grandes allées et sur les mûres il y avait des dessins de guerrier ,puis elles arrivèrent devant un mure qui contenait les dessins de trois trônes le plus grand au-dessus , le moyen au milieu et le plus petit des trônes en bas et aux tours de celui-ci la nature , Lili s'arrêta pour le regarder, Akeva se rendit compte qu'elle c'était arrêté et revint sur ses pas , qui sont-ils , tous là-haut sur le grand trône dans l'univers c'est Ndzambe, sur le deuxième trône dans le ciel c'est la. déesse Jérusalem et sur la terre c'est la déesse Isis, elle est plus connue sur le nom de la déesse Phoenix, puisse notre lumière me suive, nous sommes attendus, attendus par qui ? demanda Lili, et Akeva ne répondait pas , puis elles arrivèrent devant une énorme porte , par un mouvement de main Akeva ouvrit les grandes portes et elles se retrouvèrent dans un immense jardin avec tous genres d'animaux immense ,ensuite Akeva arrêta d'avancer, et un homme vêtu de boubou blanc apparut sous leurs yeux ,je vous emmène. Elle se retourna et regarda la jeune fille, je vous emmène Lili oh !, grand Inanga . Je suis désolée pour votre perte , votre grand-mère était une femme admirable, Lili baissa la tête , vous n'avez pas à être triste, elles étaient prêtes perdre leur vie pour vous. Qui était, c'est créatures qui nous ont attaqué, il se retourna et regarda les poissons dans le court d'eau, ce sont des créatures des abîmes , ils sont soit la direction de Samael , qui est ce Samael ? , celui qui vous veut du mal, mais pourquoi je ne suis pas mort ? , il lui demanda de s'approcher de lui, et de regarder le court d'eau, je vois des énormes poissons, non regarde ça, il passa sa main sur le cours d'eau et Lili pouvait revoir la scène du meurtre de sa famille, et comment elle a été emmenée à Lambaya par Akeva. Lili était surprise, comment j'ai fait pour les tuer, je n'avais aucune arme sur moi, tu n'en as pas besoin, tu as juste pensé, et cela, a été fait, dit Inanga. Mais comment j'ai pu le faire ? , toi seule peux le découvrir, mais pour le moment, tu devras apprend qui tu es. Assez parlé, je vais te faire visiter le temple de la nature, ils sortirent du jardin et prirent un grand couloir et se retrouvèrent dans la salle d'adoration. C'est ici que nous nous adressons à la déesse Jérusalem et à Ndzambe, un jour Nous adressons à Ndzambe et un autre jour, nous nous adressons à Jérusalem. L'intérieur du temple était en or jusqu'au mur et dessins et écritures sur les murs était fin d'une ancre noire, toute l'histoire de la création de l'humanité et ancré dans des murs ornés. La salle d'administration était une immense salle qui pouvait accueillir des milliards de personnes, il y avait des hommes et des femmes à genoux face contre terre, les hommes portaient un pantalon et un boubou jusqu'à leur avant cuisse ,les femmes portait le même accoutrement que Akeva avec des cheveux tressés chacune avec des tresses différentes une range d'hommes et femmes habillées de rouge, une autre rangée en vert, une autre en orange ,en face d'eux se trouvait deux trône le premier était entouré d'une grande flamme qui montait au ciel ,Lili leva la tête et vit les galaxies, et les planètes tout en tant qu'elles ont, il n'y a pas de plafond dit elle à Inanga ,c'est comme tu vois et à côté un petit trône qui brillait comme une étoile, mais tous regarde m'ont l'air d'adorer le trône de feu dit Lili, et comment le sais-tu s'ils sont tous face contre terre, il regarda Lili et sourit, bien-sûre que notre déesse ne peut égaler la grandeur de Ndzambe, et notre déesse n'est autre que l'une des épouses de Ndzambe, c'est pourquoi il à son saint trône à côté du trône de notre déesse, puis ils sortirent de la salle et continuèrent leur visite Lambaya et le territoire de la déesse Jérusalem, d'ailleurs chacune des épouses de Ndzambe règne sur un territoire, et Ndzambe entend leur prière demanda Lili, bien-sûre qu'il les entend parfois Ndzambe nous fait grâce de sa présence dans notre beau monde. Ils continuèrent les la visite dense beau temple, dans l'un des couloirs lors qu'il marchait Inanga et Lili, une belle femme a la peau noire d'ébène s'approchait d'eux, elle portait une longue robe dorée qui montrait ses formes sublime, de derrière elle se trouvait une vingtaine de jeune femme habillée de pagne sur la taille et un autre attaché à leur poitrine et derrière elle les avaient attachés en nœuds, Inanga en l'apercevant s'arrêta, une fois qu'elle arriva près d'eux, il baissa ça ,et jeune dame dis, oh mon cher Inanga c'est toujours un plaisir de vous voir, tout le plaisir et pour moi déesse Fatima, elle sourit et posa son regard vers Lili oh ! je vois ma chère, vous vous battez contre cette barrière, qu'elle barrière ? Demanda Lili, celle qui est dans votre esprit, mais je suis sûr que bientôt vous vous rappelez tout, que nous vaut la visite cette déesse Fatima, je suis là pour voir ma sœur, puis Inanga baissa sa tête à nouveau, Lili le regarda et lui demanda, dois-je le faire aussi, déesse Fatima en passa et regarda Lili du coin de son œil droit et se mit à sourire, lorsqu'elle fut assez loin d'eux Inanga se redressa a répondu le, non, tu n'as pas besoin de le faire. Il ouvrit la grande porte du temple d'un mouvement de main et ils se retrouvèrent dehors, les fleurs et les arbres brillaient de mille feux, toutes les couleurs étaient plus intenses que sur la terre, les animaux étaient tous gigantesques, puis elle aperçut un énorme oiseau qui venait vers leur direction par la suite, il s'approchait et sa taille se réduisait, il descendit et se posa sur le bras de Inanga, Lili observa toutes les couleurs qu,'il t’avait sur ses plumes, il esy beau dit Lili, vraiment, tu me trouves beau répondit l'oiseau , tu parles crier Lili , bien-sûr que je parle, dit-il d'un ton arrogant, qu'est-ce qui t'arrive à tu cognes ta tête sur le trône du très haut, pas un mot de plus Ngozo cria Inanga, il se retourna montrant son dos à Lili, va te promener ailleurs, avec plaisir, il a certaines personnes que je ne veux pas voir répondit Ngozo et il prit son envole, je suis désolée Lili, mais parfois, il ne sait pas comment tenir sa langue.
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