César... Je n'en reviens pas, pendant une seconde l'envie de courir dans ses bras me traverse l'esprit, mais elle disparaît aussi vite qu'elle est apparue avec ce que j'ai appris. Je me tourne vers Ricardo et lorsqu'il reconnaît lui aussi César, il crie quelque chose en portugais. - Mate esse filho da puta ! Tout de suite après, l'hôtel est envahi par le bruit assourdissent des armes et des crie des personnes innocentes qui se trouvent dans le hall de l'hôtel, j'en vois qui tombe à terre, touchée par des balles qui ne leur sont même pas destinées. Et tout ça à cause de moi. Du moins en partie. Je ne peux pas repartir avec César et je ne peux pas non plus rester avec ce fou, je regarde Ricardo... il est dos à moi, il parle à Jack. Ils sont sous pression tous les deux, ça se voit, c'est