– Non, non, que diable ! je ne suis pas un maniaque ; je n’en mourrai pas, pour une fois. » Le prêtre insista. Voyant que Marthe se défendait avec plus de vivacité encore que son mari, il se tourna vers sa mère, qui restait silencieuse, les deux mains croisées devant elle. « Mère, lui dit-il, faites donc un piquet avec monsieur Mouret. » Elle le regarda attentivement dans les yeux. Mouret continuait à s’agiter, refusant, déclarant qu’il ne voulait pas troubler la soirée ; mais, quand le prêtre lui eut dit que sa mère était d’une jolie force, il faiblit, il murmura : « Vraiment ?... Alors, si madame le veut absolument, si cela ne contrarie personne... – Allons, mère, faites une partie, répéta l’abbé Faujas d’une voix plus nette. – Certainement, répondit-elle enfin, ça me fera plaisir.