Amanda
- Qu'est ce que ça signifie ? pour qui vous vous prenez monsieur ?
- Damon
- Qu'est ce que vous dites ?
- Appelle moi Damon
elle se redresse,se retrouve face à moi, je l'a dépasse d' une bonne tête, je me rapproche plus d'elle, elle troublée, elle essaye de paraître professionnelle mais je vois bien que c'est peine perdue, elle me veux autant que je la veux.
Il se rapproche plus de moi et je peux sentir son souffle au-dessus de ma tête je suis troublée, mais j'essaie de ne rien laisser paraître. je soulève la tête avec un air de défi.
- Je ne comprends pas où vous voulez en venir.
- He bien je vais être très clair, je vous veux et je n'aime pas partager ce qui est à moi.
- Puisque vous êtes clair, moi aussi je vais l'être : je n'appartient à personne, je suis maître de moi .
- Tu en es sur ?
Il attrape ma nuque, force ma tête à se pencher, je me retrouve le menton en l'air,
il se penche lentement, prenant tout son temps, et moi je reste là à attendre qu'il m'embrasse, au moment où je pense qu'il va poser ses lèvres sur les miennes, il dépose un bisou sur ma tempe.et il me dit comme rien n'était :
- tu es libre qu'elle jour de la semaine pour que l'on puisse lire et signer le contrat.
- Vous, quelle jour vous conviendrait ?
- honneur au femme.
- Aujourd'hui c'est mercredi donc le vendredi matin me conviendrait.
- et si on mettait ça à Vendredi soir pour être plus décontracté. Je viendrai tu chercher, à 20 h, et tu n'as pas répondu à ma question qu'est ce qu'il y a entre ?
- Que ferez vous si,je n répond pas ?
- Il se penche à mon oreille, l 'effleurant au passage :
- Je te donnerai des fessées.
Je ferme les yeux imaginant la scène, c'est un déluge dans ma petite culotte.
- Alors ?
- Il n'y a rien entre nous.
- T'en mieux, cela m'évitera de tuer quelqu'un.
- je vais prendre congés de vous et je préfère le vendredi matin au soir. Je ne sort pas avec mes clients.
- Nous ne sortons pas ensemble, c'est un dîner d'affaires. Alors à vendredi soir.
Au moment où je m'apprête à sortir m' attrape par le bras, me colle à lui dans un baisé fougueux, il m'embrasse avec passion, sa langue trouve la mienne dans une danse endiablée. Quand ont se sépare, nous sommes à bout de souffle.
- c'est pour que tu penses à moi jusqu'au vendredi. fais attention en rentrant.
Je le regarde, et pour enlever la honte de mettre laisser embrasser si facilement, je lève la main dans l'intention de le gifler, mais il saisit ma main et récupère l'autre bras, sans rien comprendre, je me retrouve les bras derrière le dos et moi coller encore à lui dans un baisé brute, il me punis pour avoir essayé de le gifler, quand il lâche mes lèvres c'est pour me dire d'une voix roque :
- Je déteste les menteurs, mais ce que je déteste plus que les menteurs c'est ceux qui se mentent à eux même, qui refusent l'avouer leur besoin, et je sais que tu me veux autant que moi, alors pas de Faux semblant avec moi. Rentre maintenant.
Je sors de son bureau toute fâchée, il se prend pour qui ? pour l'embrasser comme ça, ce si beau b****r, j' effleure mes lèvres, en souriant. Il est si beau si grand avec son 1,92 m ses larges épaules et ses cheveux châtains si soignés , avec un visage de trop model, mais trop arrogant à mon goût.