Les rayons du soleil filtraient à travers les rideaux quand Adélie ouvra péniblement les paupières. Elle ne reconnu pas de suite la pièce dans laquelle elle se trouvait. Elle avait l'impression de sortir d'une profonde léthargie. Soudain elle se rendit compte que son corps était intérieurement nu sous les draps. Gênée ses joues rosir et Adélie remonta les couvertures sous son menton. Un léger rire résonna du bout de l apièce. Il paraissait comme une douce mélodie aux oreilles de la jeune femme. Gustave s'approcha du lit en boutonnant sa chemise. « Tu ne va pas être gênée avec la nuit que nous avons passé ? Ria-t-il » Cette remarque ne fit qu'accentuer le rouge sur le visage d'Adélie. Elle détourna les yeux alors que la pensé des sensations de la nuit dernière refaisait surgir le feu da