Gustave resta planté dans l'embrassure de la porte. Rapidement Adélie avait couvert le corps d'Isadora avec un drap. Mais le Souverain était subitement sorti de sa léthargie pour sauter sur sa sœur. Il lui avait attrapé les bras si brusquement que la jeune fille avait gémit de douleur. Des marques violacées couvraient ses bras et certaines étaient même jaunâtres, prouvant qu'Enrico ne l'avait pas battu qu'une seule fois. « C'est lui ? » Gustave n'avait pas crié mais sa voix grondait comme le tonnerre. Isadora se contenta d'hocher la tête, aucun mot ne pouvait sortir, elle était devenue muette et des larmes coulaient sur ses joues. Adélie la prit dans ses bras et la sortie du baquet. Le Souverain avait la mine grave, ses sourcils étaient froncés. Il quitta la pièce plus énervé que jama