XXIV.MISERRIMUS DEXTER. – PREMIÈRE IMPRESSION. Nous nous étions attardés à notre déjeuner avant l’arrivée de M me Macallan chez Benjamin. La conversation qui avait suivi, entre ma belle-mère et moi, s’était prolongée assez tard dans l’après-midi. Le soleil se couchait au milieu de lourds nuages lorsque nous montâmes en voiture, et le crépuscule nous surprit en route. La direction que nous avions suivie nous menait, autant que j’en pus juger, vers le faubourg qui s’étend au nord de Londres. Pendant plus d’une heure, notre voiture roula à travers un sombre labyrinthe de rues, de plus en plus étroites et de plus en plus sales, à mesure que nous nous écartions du centre de la ville. En sortant de ce dédale, j’aperçus, dans l’obscurité croissante, de vastes et mornes espaces de terrains vagu
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