Chapitre 10 : ma mère voyage

1015 Words
Bella Dès que je suis dans mon bureau je saute Au plafond, enfin le plus dur est passé, se serait plus facile de le mettre dans mon lit maintenant qu'il m'a touché . la journée, s'annonce bien, je pars dans ma douche pour me faire une petite beauté , avant la réunion. Trente minutes plus tard, il entre dans mon bureau . Il est impeccable, comme s'il ne s'était rien passer. Il s'assoit dans le bureau en face de moi. - La réunion peut commencer. Il prend un ton impersonnel, j'en fais de même. - Je voudrais que tu me montres un comment tu te prends pour que notre entreprise soit parmis les importantes, les plus prisées du marché. - Il faut d'abord une gestion rigoureuse, un suivi minutieux des des demandes clients. - Concernant la comptabilité, comment arrives-tu à faire une seule comptabilité pour une entreprise qui à plusieurs succursales ? - Ça s'est le travail d'un bon comptable, même si j'essaie de te l'expliquer, tu n'y comprendra rien , Actuellement c que tu peux faire c'est de me où que j'aille, d'analyser mon comportement, de voir comment je prends mes décisions en fonction des besoins, et du résultat escompté. - D'accord, tout ce que j'ai à faire est de te suivre partout, où tu iras. C'est dans mes cordes. - Très bien maintenant suis-moi, nous devons aller au service de production. Il faut que tu saches l'importance des machines dans cette entreprise , si une s'arrête c'est tout un système qui est bloqué. Nous nous levons , pour descendre à la production . C'est tout un un bâtiment de plusieurs étages, les machines tournent à plein régime, les ouvriers sont tous à leur poste. Le chef d'atelier vient à notre rencontre. - Bonjour monsieur, madame ! - Bonjour Louis, nous sommes ici ce matin pour voir comment votre service travaille et savoir quelles sont les difficultés auxquels vous êtes confrontés. Nous avons passé la journée à l'usine, contrôler les machines, savoir ce que fait telles machines à par rapport à d'autres machines . Savoir ce que nous fabriquons exactement, à la fin de la journée j'étais fatiguée. Nous sommes revenus à nos bureaux pour nous apprêtez à aller à la maison. Arrivé à la maison , je suis directement allée dans ma chambre, je dois me préparer à recevoir mes amies. Je me lave, je m'habille très léger, une petite culotte ras-fesse , avec un petit haut démembré. Je me demande ce que fait maintenant ma mère de ses journées. Je ne l'ai pas trouvé au salon, je me rends sa chambre pour la voir. Je la trouve dans le lit, recouverte de drap , elle dort, je m'approche pour toucher son front, vérifié si elle a de la fièvre ou pas , elle ouvre les yeux. - Bonsoir ma chérie, ça a été au travail ? - Oui maman, mais je m'inquiète pour toi, tu vas bien ? Pourquoi tu es couchée à une heure pareille ? - J'étais sortis avec des amies dans la journée, nous avons passé la journée au club, je suis un peu fatiguée. Ça tombe bien que tu sois là : J'ai un voyage à effectuer demain, je viens d'apprendre que ma mère avec qui j'étais en froid depuis des années est malade et il faut que j'y aille demain matin. - Pourquoi c'est si soudain, Arthur est au courant ? - Oui, je lui en ai déjà parlé , s'il te plaît sois sage à mon absence, j'ai remarqué que depuis que tu travailles, tu es plus mature, et cela me fait plaisir . - D'accord, maman, je ne ferai pas de bêtises. Tu reviens quand ? - Je ne sais pas ma chérie, sache que je t'aime de tout mon cœur. - Je t'aime aussi maman, reviens vite, tu me manques déjà . Je quitte sa chambre, pour aller accueillir mes amies à la porte. Nous nous réunissons, dans le jardin avec de bon plats et des boissons. - Comment était ta journée de travail ? - C'était fantastique. - Ha bon ? - Oui, j'ai embrassé Arthur. - Quoi ? - Quoi ? Simultanément , elles le disent. Je leurs avait dit que je faisais des rêves sur mon beau père, je pense qu'elles ne connaissent pas mon intention d'aller plus loin que dans les rêves . - Comment as-tu pû faire ça à ta mère ? - Mais ! Qu'est-ce que j'ai fait ? Je n'ai rien fait ! - Mais tu es une criminelle me dit Miranda. - Ho toi la sainte-nitouche, tu baisse d'un ton et arrête de m' injurier. - Mais, elle n'a pas totalement tord, me dit Henriette, tu es sûr du choix ? - Oui, je le veux ! Et je ferai tout pour l'avoir, après je pourrai passer à autre chose, je veux qu'il soit mon premier homme, après ça je verrai qui pourra prendre sa place . - S'il te plaît, fait très attention à ce que tu vas faire, pense à ta mère, à ce qu'elle pourra ressentir, si elle venait par l'apprendre. - Qui le lui dira ? Toi ? Ou Miranda ? Arthur ? Ou moi ? Ne sois puérile, elle ne l'apprendra jamais. C'est juste pour temps ! Je ne vous ai pas dit que j'allais l'épouser . Je ne suis pas stupide, je sais que c'est le mari à ma mère , qu'ils couchent ensemble , je sais que je suis sur Un terrain miné, mais je ne vois aucun homme capable d'éteindre la flamme qu'il y a en moi . Je ne vois que lui, je le veux ! je le veux ! et je l'aurai ! Peu importe les folies que je ferai , pour l'avoir, je les assumerai le moment venu. - Ma pauvre, tu es sûr que tu n'es pas amoureuse de lui ? - Je ne sais pas, tout ce que je sais, c'est qu'il sera mon premier homme, je veux sentir ses mains sur mon corps, ses baisés . - Arrêt Bella me dit Miranda.
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