XVIIIQui termine cette véridique histoire de l’Albatros, sans la terminer Le 29 avril de l’année suivante, sept mois après le retour si imprévu de Uncle Prudent et de Phil Evans, Philadelphie était tout en mouvement. Rien de politique pour cette fois. Il ne s’agissait ni d’élections ni de meetings. L’aérostat le Go a head achevé par les soins du Weldon Institute, allait enfin prendre possession de son élément naturel. Pour aéronaute, le célèbre Harry W. Tinder, dont le nom a été prononcé au commencement de ce récit, – plus un aide-aérostier. Pour passagers, le président et le secrétaire du Weldon-Institute. Ne méritaient-ils pas un tel honneur ? Ne leur appartenait-il pas de venir en personne protester contre tout appareil qui reposerait sur le principe du « Plus lourd que l’air ? » Ce
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