Mais le matin, quand j'ai donné à manger au chat, j'ai failli m'étouffer avec le lait. Il y avait de neuves bottes de cuir sur les marches. J'ai appelé Sati et elle a ouvert la bouche de surprise.
" Tu ne mens pas? La dernière collection du couturier ! Où les as-tu trouvées ?"
" À la maison ! Qui a fait cette mauvaise blague?" ai-je eu des soupçons.
" Athèna, tu es folle. Tu devrais te réjouir. D'ailleurs, allons danser," proposa-t-elle une idée risquée.
" Dimanche je travaille au café, Sati."
" Oh, s'il vous plaît!" me persuade-t-elle mon amie.
" Sati, nous n'avons pas de vêtements normaux !" lui ai-je rappelé.
" Nous louerons les robes," continua-t-elle me contraindre.
" Tu es folle ? Et si on les déchirai?"
" Athèna, on ne sait pas s'amuser. On travaille, c'est tout. Regarde dans le catalogue, ces deux robes vont nous coûter une somme ridicule," m'exhortait mon amie.
J'ai cédé à son influence et j'ai accepté de venir à la fête. En robe blanche, le dos nu, j'avais l'air follement lubrique. Mais la remarque du revers de la main était incroyablement embarrassante.
" Eh bien, bonjour, Athéna. Prête à devenir mon esclave ?" prononça-t-il Adam.
" Et tu es ici à la recherche de victimes ?"
" Tu l'as deviné, j'aime la chair fraîche. Dis-moi, belle, pourquoi as-tu mis cette robe ? C'était plus facile de venir nue !" Adam murmurait des choses méchantes, ses yeux brillaient dans l'obscurité.
" Garde tes fantasmes dépravés pour toi ! Je préfère boire un verre !"
" Tu as peur, la fille ? "
" Vous vous trompez !" me suis-je retournée, et mon cœur s'est mis à battre encore plus fort.
" Attention, ma belle, je suis sans pitié ! Je b***e très fort !" disait-il des choses ignobles.
" Quel s****d pervers, tu es !" J'ai essayé de me dégager, mais soudain les mains du diable se sont posées sur ma taille.
" Mais tu es éperdument amoureuse de lui. On danse, Athéna?"
" Je ne danserai pas avec toi !" criai-je et l'homme sans vergogne m'emmène au centre de la piste de danse. C'est alors que la torture commença. Il essayait baisser ma robe avec tant de passion que l'oxygène s'échappe.
" s****e lunatique! Je vais te punir avec un b****r," il couvrit mes lèvres, prenant tout l'air et les autres regardaient cette folie. Pour aller plus loin, le rustre a voulu sans vergogne enlever ma culotte. J'ai réussi à prendre mes distances et je lui ai giflé.
" Je ne suis pas ton jouet."
" Jeune fille naïve, tu seras bientôt à moi!" sourit-il.
Je me retournai avec horreur, mon amie avait disparu. Il est temps de sortir d'ici.
" Sati ! Sati !" ai-je repoussé les jeunes danseurs. Et bientôt, je me suis retrouvée dans un escalier en colimaçon. Il y avait du bruit, mais à mes risques et périls, j'ai grimpé. Et mes jambes se sont tremblées, un loup m'a regardé, dans le but de me mettre en pièces...