Chapitre 4 : Connexion intense

1795 Words
Dark C’est une catastrophe. Comment fait-elle pour entendre mon loup ? C’est impossible. « Moi, en tout cas, ça me fait bien rire. » « Ah ouais, je vais te faire perdre ton sourire moi. T’en qu’elle ne saura pas, je ferme mon esprit. » « Quoi ? Mais je pourrais même plus communiquer avec la meute ! » « Mais moi, je pourrais. Ou alors tu me promets de ne plus parler en sa présence ! » « Ok, d’accord. Je ne dirais plus rien en sa présence. Mais en échange, tu acceptes qu’elle soit notre âme-sœur. » « Quoi ! Non mais tu es Cinglé ! » « Non, juste fou d’elle. C’est facile pour toi. Mais moi, je ressens le lien se tisser entre-nous.» « Tu crois que je ne le ressens pas peut-être ! J’ai ses seins qui fonts pression dans mon dos !… C’est d’accord. Mais on va avoir du boulot pour qu’elle nous accepte. » On arrive à l’hôpital, ce qui met fin à notre discussion. Elle descend de la moto et attend que je lui indique la direction de la morgue. Dans quoi est-ce que je m’embarque. Si ça continue d’ici à un an, je serai uni à elle et on aura notre premier gosse… « Plusieurs, tu veux dire ! » _ Plusieurs quoi ? _ Étage, la morgue et à plusieurs étages du dessous. On doit prendre l’ascenseur. _ Oh, très bien. Je vous suis. On entre dans l’ascenseur et j'appuie sur bouton du sous-sol. L’ascenseur commence sa descente un peu trop lentement à mon goût. _ Alors, vous penser toujours que je suis un… Comment avez-vous dit déjà. À oui, un boulé ? _ Oui, vous l’êtes toujours. _ Oui et c’est pour ça d’ailleurs que vous vous agrippiez à moi comme une furie tout le long de la route. _ Vous rouliez comme un taré ! Normal que je m’agrippe. _ Je suis sûr que vous avez apprécié chaque seconde ou vos mains était en contact avec mon corps. _ La, vous rêvez. Je n’ai aucune attirance pour un prétentieux dans votre genre. _ Prétentieux ? Moi ? _ Oui, vous. Vous croyez qu’il vous suffit de claquer des doigts et que toutes les filles tombe a vos pieds. Je me tourne vers elle, l’imposant de toute ma présence. Je m’avance vers elle. La fessant reculé jusqu’au mur. Je place chacune de mes mains de chaque côté de son visage et la regarde droit dans les yeux. _ Tu arrives peut-être à te tromper. Mais pas à moi. Je sais que je t’attire autant que toi, tu m’attires. Rien que le sont de ma voix te donne la chair de poule. Et quand tu me touches, tu as des frissons dans tout ton corps qui te traverse jusqu’à la moelle. Chuchotais-je à son oreille. Je me redresse et pose mes lèvres contre les siennes. Celant notre premier b****r. Je ressens une chaleur montée en moi qui me consume du plus haut point. Ce p****n de lien se forme de plus en plus. Et là, plus la peine de me bercer d'illusion, je suis foutu… Lola : Tout ce qu’il me dit me bouleverse plus que ce que je le voudrais. Et quand ses lèvres touchent les miennes, je fonds littéralement. Ce mec embrasse comme personne et le pire, c’est qu’il a raison. Je n'ai qu’une envie, c’est qu’il continue. Reprends-toi Lola. Avec le plus grand des efforts, je le repousse le plus fort possible. Il ne bouge pas d’un yota. Mais il s’écarte de lui-même. _ Tu ne ressens toujours rien ? _ Rien… le calme plat… Dis-je en me raclant la gorge. _ Je… Le ding de l’ascenseur nous ramènes à la réalité. À peine les portes s’ouvrent-elles que je sors en trombe, bousculent quelqu’un au passage. _ Désolé, je n’ai pas fait attention. Dis-je. Dark sort à son tour et me tire à nouveau vers lui. Qu’est-ce qu’il lui prend ? _ Bonjour Monsieur Angel. Vous ne me présentez pas ? _ Mademoiselle Stacker Lola. Je vous présente monsieur le maire, Rex Mariano. _ Vous étiez un proche de la victime ? _ Non, Mademoiselle Stacker est lieutenant de police de Baltimore. Elle est spécialiste dans les disparitions. _ Oh vraiment, vous êtes venues donner un coup de main notre police. _ Oui Monsieur le maire. Je vais faire tout mon possible pour trouver le coupable. _ À la bonne heure. Voilà qui est bien pour cette ville. Mais je vous en prie, appeler moi Rex. Où en êtes-vous ? _ On avance, je viens d’arriver. Mais je peux déjà vous dire que cet homme est un habitué des lieux. _ Vraiment ? Oui, il sait où se trouvent toutes les caméras de sécurité et connaît les angles morts qui lui permettent de fuir. _ C’est intéressent, j’ai un rendez-vous dans dix minutes. Mais nous pourrions parler de tout ça autour d’un dîner. Vous êtes un libre demain soir. _ Oui / Non. Dit-on en même temps. Je me tourne vers lui, l’interrogeant du regard. _ Nous sommes de service demain soir. Si nos calculs sont bons, il recommencera. _ Oh, eh bien samedi. Vous ne travaillez pas, n’est-ce pas. Je passerais vous prendre à 18 h 30. Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit. Qu’il monte dans l’ascenseur et disparaît. À peine les portes se ferment-elles, qu’il me tourne vers lui. _ Vous n’allez pas dîner avec lui ? _ En quoi ça vous regarde. Dis-je en le poussant et en avançant vers la salle d’autopsie. Quand j’entre. Je me retrouve devant plusieurs cassiers. Je ne sais pas, c’est laquelle. Mon coéquipier entre et tire plusieurs cassiers où se trouvent les corps de jeunes femmes. _ Voilà les quatre dernières victimes. _ Ok… Je commence à faire comme d’habitude. J’examine minutieusement chaque corps. Et ce qui me choc le plus. C’est la manière dont le meurtrier à vidait ses victimes de leur sang. Il a fait comme procèdent les vampires. _ On a affaire à un fanatique. _ Un fanatique ? _ Oui regardé, les morsures. On dirait des morsures de vampires. Ce mec se prend clairement pour un vampire. Encore un illuminé. À force de regarder Twilight. _ Bon, vous avez fini ? _ Vous êtes pressés ? _ Oui, on m’attend. Je dîne chez quelqu’un ce soir. _ Oh… Très bien. Vous n’avez qu’à y aller. Je retrouverais mon chemin tout seul. _ Non, désolé. Rick a clairement dit que je ne vous lâche pas d’une semelle. _ Ok allons y. Mais retrouvé moi après votre rencard. Ce soir, on enquêté. Je passe devant lui et retourne au niveau de l’ascenseur. J'appuie sur le bouton et attends. Qu’est-ce que je croyais. Qu’il m’avait embrassé parce qu’il en avait envie, pff. Je le sais pourtant, c’est un coureur de jupon. C’est marqué sur son front. Je sens sa présence derrière moi. Mais qu’est-ce qui m’arrive, je connais les mecs pourtant. À quoi je m’attendais ? Ils sont tous les mêmes. Quand les portes s’ouvrent, je m’engouffre dedans et garde les yeux vers les étages qui ne montent pas assez vite à mon goût. Je crois que je vais péter un câble… _ Vous êtes silencieuse tout d’un coup. Que vous arrive-t-il ? _ Rien… _ Je vous ai connus plus bavarde. _ Vous ne me connaissez pas. Vous ne savez rien de moi. Alors ce n'est pas la peine de faire ami, ami. Dès que cette enquête sera terminée. Chacun reprendra sa vie là où il l’a laissé. _ OK… Vous ne seriez pas jalouse par hasard ? _ Jalouse de quoi ? _ Je ne sais pas, à-vous de me le dire. _ Écoutez, votre vie privée ne me regarde pas. Ce que vous faites en dehors du boulot, je m’en contrefiche. Moi aussi, j’ai une vie ailleurs. Maintenant… _ Vous voulez m’accompagner. Ce sera moins ennuyeux avec vous. _ Que… Quoi ? _ À mon dîner. Vous voulez bien venir avec moi. _ Non merci, je ne suis pas une chandelle. _ Une chandelle ? Je ne sais pas ce que vous vous êtes imaginé. Mais je ne vois pas en quoi vous seriez une chandelle en allant dîner avec moi chez mon frère. _ Votre… _ Oh, quel est ce soulagement que je peu lire dans vos yeux. _ Pff, n’importe quoi. Et c’est toujours non. _ Aller, en plus si vous voulez qu’on reprenne l’enquête après. Ce sera plus simple. _ D’accord… Mais ce que vous dites est du grand n’importe quoi ! _ Ce que je dis ?? Et qu’ai-je dit ? _ Et puis c’est vous aussi à jouet avec les mots. _ Avoué le, je vous déstabilise. Je vous fais de l’effet. La porte de l’ascenseur me sauve et je me sauve encore une fois hors de celui-ci. Décidément, c’est ma manie de le fuir. Je m’arrête quand j’entends mon téléphone sonné, il en profite pour me rejoindre et s’arrête à ma hauteur. _ Salut Régis. _ Je venais aux nouvelles, comment ça se passe ici ? _ Bien… Je m’éloigne pour ne pas qu’il m’entende. Et reprend la conversation. _ Sauf que ce type va me rendre dingue. _ Quel type ? _ Mon… Celui qui me suit partout comme un p’tit chien. _ Tu peux le dire, ça ne va pas le tuer. Ton coéquipier, je suis sûr que c’est quelqu’un de bien. _ Pff… Comment va Kia ? _ Elle va bien, elle a mangé toute son assiette et là, elle dort. _ Ok, fait lui un gros bisou pour moi. _ Ça ne va pas la tête ! Aller tient moi au courant. _ Ok, merci au revoir Régis. Je raccroche et retourne auprès de Dark Angel. J’aurais rêvé qu’il tendait l’oreille pour écouter notre conversation. Je m’avance vers lui. _ Bon, on y va… _ Régis… Il y a quelque chose entre vous ? _ Ma vie privée ne vous regarde pas ! _ Répondez ! Dit-il en m'attrapent le bras. _ Lâchez-moi… S’il vous plaît. _ Désolé… Mais je veux savoir s’il y a quelque chose entre vous. _ Non, satisfait ! Je ne sors pas avec des amis de longue date. En plus, il pourrait être mon père. _ Où allez vous ? _ Je pars à mon hôtel, je voudrais me reposer avant ce soir ! _ Mais et le dîner chez mon frère ? _ Aller s'y sans moi ! Je continue de marcher droit devant moi. Cette fois, il va trop loin ! J’avais dit à Régis que je ne voulais pas de coéquipier. Celui-là, est complètement fou ! Il faut que je garde mes distances avec cet idiot…
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