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– 2 –Il s’élança dans le couloir, dégringola l’escalier, et, au milieu d’un groupe de personnes qui le soignaient, il trouva Dieuzy étendu sur le palier du premier étage. Il aperçut Gourel qui remontait. – Ah ! Gourel, tu viens d’en bas ? Tu as rencontré quelqu’un ? – Non, chef… Mais Dieuzy se ranimait, et tout de suite, les yeux à peine ouverts, il marmotta : – Ici, sur le palier, la petite porte… – Ah ! bon sang, la porte de la septième chambre ! s’écria le chef de la Sûreté. J’avais pourtant bien dit qu’on la ferme à clef… Il était certain qu’un jour ou l’autre… Il se rua sur la poignée. – Eh parbleu ! Le verrou est poussé de l’autre côté, maintenant. La porte était vitrée en partie. Avec la crosse de son revolver, il brisa un carreau, puis tira le verrou et dit à Gourel : – Ga