seventy shades of Bryan

Bryan Incroyable ne définirait pas cette magnifique femme qui n’est actuellement pas sous mes yeux, il faut un mot plus fort pour la décrire, un mot qui définirait son caractère timide lorsqu'elle est en contact avec l’être humain et sa beauté à couper le souffler dès qu'on la voit. Tous les hommes qui marchent à côté d'elle voient sa beauté qui ne collait - soit disant pas - avec son caractère timide qui moi, me séduit vachement. Je veux cette femme, depuis je suis gosse, j'ai toujours voulu l'avoir et bien que les années passent, rien n'a changé pour moi. Un jour je lui dirais tout, qu'elle soit encore avec son chien qui - à mes yeux - s'intéresse à l'argent qu'elle gagne en travaillant pour moi ou pas. Je la connais bien avant tout son entourage, c'est avec moi qu'elle faisait des bains quand nous étions gosses, c'est donc avec moi qu'elle prendrait des bains à la fin de sa vie. Il me faut cette femme, elle est prise à l'heure d'aujourd'hui, quelqu'un a pu l'avoir avant moi, j'ai trop traîné en pensant qu'elle ne se rapprocherait jamais d'un homme à cause de sa timidité, mais alors qu'il y a cinq ans, elle est venue me voir chez moi réjouissante en m'annonçant son couple avec un homme qui depuis ce temps-là, je ne le sens pas, tout s'est effondré pour moi. Je n'ai jamais pu lui dire ce que je ressentais pour elle à cause de la peur que j'ai au fond de moi de me faire rejeter. Et à cause de cette peur, un autre homme a pu se procurer cette œuvre d'art qui aurait dû être le mien. C'est après qu'elle soit partie de chez moi en m'embrassant la joue tout en me remerciant de tout - alors que c'est moi qui devrais le faire - que j'ai compris qu'elle n'est plus à ma portée. C'est d'ailleurs après qu'elle soit partie que mon envie des femmes s'est augmenté, c'est à cause de son annonce que je suis devenu l'homme que je suis avec les femmes, celui qui en prend une chaque soir en pensant qu'à une seule. Ayant un grand respect pour elle, je ne m'imagine pas faire des choses avec son corps, bien que j'en ai envie, je me retiens du mieux que je peux pour pouvoir la regarder dans les yeux. Elle ne sait pas comment je suis, elle ne sait toujours pas qui je suis pour les autres femmes et comment je suis. Je ne leur fais pas de mal, mais pour moi, toutes les femmes qui ont un jour goûté à mon corps ne sont rien que des prostitués non payés d'une nuit. Et je le suis aussi parce que je ne suis pas mieux que toutes les femmes que j'ai un jour goûtées. Je ne peux pas lui dire ce que je ressens tant que l'homme avec qui elle est et encore l'homme qui pose ses lèvres sur les siennes. Je devrais être contente pour elle, la personne la plus importante à mes yeux est une femme heureuse, avec un homme qui l'aime en train de vivre sa meilleure vie depuis qu'elle existe, mais je ne le suis pas, tant que je ne serais pas l'homme avec qui elle dort la nuit et se réveille le matin, je ne serais pas heureux pour elle bien que je lui montre tout le contraire. Les femmes que j'ai la nuit ont le pouvoir de me faire oublier mon œuvre d'art quelques heures où je me fais plaisir avec leur corps, mais lorsqu'elles ne sont plus là, ma tête se remplit de moment que j'ai passé avec cette femme qui ne sait à moitié de ce que je suis. Elle n'a pas besoin de le savoir, tant qu'elle serait liée avec cet homme, elle ne saura rien de comment je termine mes journées de boulot après lui avoir fait un sourire et lui avoir dit "Fais attention à toi en rentrant". Ma petite mexicaine dans les bras d'un autre homme que moi, ça me tue de l'admettre mais je la vois bien avec cet homme donc je ne peux rien dire sur ça. Tant qu'elle est heureuse et qu'elle me sourit, c'est tout ce que je veux pour elle. Si ça avait été avec moi, j'aurais eu le bonheur qu'elle a avec cet homme, mais ce n'est pas le cas et je ne peux pas lui en vouloir pour ça. Si je lui avais dit tout ce que je ressentais avant qu'il ne vienne me la prendre, tout aurait été différent, mais bon, tant pis. Elle reste avec l'homme qui le comble et je reste avec les femmes qui répondent à mes besoins, j'ai besoin d'elle, mais je ne peux pas non plus briser son couple pour mon intérêt. Elle reste une œuvre pour moi, une œuvre que j'aurais peut-être un jour sous la main. Miguel - Oh patron ? Tu penses à quoi pour être autant dans les vapes comme ça ? Moi - Patron ? Tu fais pas parti de mon entreprise pourquoi tu m'appelles comme ça ? Miguel - Ca te va bien, je trouve. Rien ne sort de mes lèvres, cet homme, mon ami qui sait mes secrets les plus sombres, est un peu trop ici en ce moment, il a perdu son job il y a pas longtemps, et connaissant ses compétences ici, il peut très bien entrer ici sans problème mais ce dernier ne veut aucun privilège de ma part. Comme il veut, je lui ai proposé pour l'aider avant tout sauf que s'il refuse mon aide, je ne peux pas lui forcer. Miguel - Enfin bref, j'suis pas venue pour t'séduire aujourd'hui. Camilla n'est pas à la maison là, j'suis venu t'faire chier. Moi - Tu vas finir par faire tout ce que j'ai à faire plutôt, j'ai pas l'temps pour ça, Miguel. Miguel - *rires* Nan c'est bon j'dis rien. Il se lève du fauteuil et pars poser son cors entier sur le canapé qui est sur le côté du bureau. Miguel - Faut vraiment que tu me dis d'où il vient p****n, comment un canapé peut être aussi confortable ? Moi - Du Canada, j'te l'ai déjà dis et ça depuis que t'as posé ton c*l dessus. Miguel - J'oublie tout le temps c'est tout, il faut que je me procure cette merveille, mon dos va tellement aider ça. Après lui avoir lancé un regard de quelques secondes, je me concentre sur les chiffres que j'ai devant moi, ma main frotte mes yeux pour remettre ma vision légèrement troublé normalement. Miguel - Je vais ouvrir mon entreprise et j'ai besoin de ta secrétaire pour ça. Moi - Elle à moi, démerde toi avec quelqu'un d'autre. Miguel - C'est bien elle qui t'a aidé pour que tout marche à Rolzen's ? Moi - Ouais. Miguel - Je la veux. Moi - Moi aussi mais comme tu le vois, c'est pas possible *je me tourne vers lui* Tu veux vraiment ouvrir ton entreprise ? Il rit en secouant la tête. Miguel - J'aurais kiffé être mon propre patron mais c'est mort, trop de travail parfois inutile. Les femmes te collent le c*l juste pour l'argent et j'ai déjà deux femmes ça me suffit largement. Moi - Deux ? Miguel - Tu est ma première femme quoi qu'il arrive. Je ris en secouant la tête. Moi - Bien sûr, tu veux voir ce que j'ai entre les jambes pour me dire que j'suis une femme ? Miguel - Intéressant tout ça, montre moi. Je roule des yeux en souriant, je tourne mon regard sur mon écran et mets dans ma bouche le bout du stylo tout en faisant bouger mon doigt. Les chiffres sont exactement comme je le veux même bien plus élever que je l'espérais sauf qu'il y a quelque chose qui manque pour que ce soit parfait et c'est ça qui me dérange. Moi - Il manque un truc là. Miguel - J'sais pas, et j'veux pas savoir. Moi - J'parlais pas à toi mon gars. Je me mords la lèvre inférieure en essayant de voir où est le problème, je suis sûr qu'il me manque quelque chose pour que mon sourire et ma satisfaction augmentation s'affichent sur mon visage. Ce n'est pas la première que j'ai l'impression qu'il y a une faute dans les chiffres de mon entreprise sauf que si je demande à l'un de mes employés, ils me diront tous que tout est parfait. Tout se passe comme j'ai prévu niveau travail, je n'ai rien à me reprocher ni même à mes collègues. On fait tous du bon boulot, c'est pour ça que j'aime venir travailler, on est une bonne équipe. Sauf que les chiffres me dérangent toujours, je ne voulais pourtant pas plus que ce que je voie sur mon écran, il y a quelque chose qui ne va pas bien, mais ça doit venir de ma tête. Si j'avais eu moins ça aurait été compréhensible sauf que là, j'ai plus bien que ce que j'espérais, je suis fou, c'est tout. On toque à ma porte de bureau ce qui me fait regarder mon ami qui commençait à dormir sur le canapé, je dis à la personne derrière la porte d'entrée et mon sourire s'agrandit immédiatement. Elle est là, mon œuvre d'art que je partage avec un autre homme. Núrya - Désolée de vous déranger monsieur. Je la regarde intensément en ne sortant rien de mes lèvres, je la veux p****n. Pour mon bien mental et même physique, il faut que cette femme m'appartienne. Bryan.