— Je venais prendre des nouvelles de dame Aila. Entendant sa voix, elle s’était redressée et, lissant maladroitement sa robe, s’approcha de l’ouverture, Élina s’effaçant. — J’ai pensé que vous apprécieriez que je vous accompagne au repas de ce midi. Hubert s’inclina. — Je suis heureux de voir que vous vous portez mieux et, en effet, votre compagnie me sera agréable pendant le déjeuner. — Probablement parce que sire Hector va vous bombarder de questions sur moi et que, si je suis là, c’est à moi qu’il les posera… Ainsi, vous serez épargné ! — Je constate avec plaisir que votre perspicacité n’a pas été affectée par votre aventure… Il lui offrit son bras et ils avancèrent dans le couloir pour rallier la salle à manger. Quand, enfin, ils l’atteignirent et y pénétrèrent, elle remarqua i