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— Tu sais, un jour, si j’ai une petite fille, je voudrais qu’elle te ressemble. Deux yeux verts, aussi clairs que les tiens, éclaireraient son visage, ouvert sur le monde, et sa jolie peau, dorée par le soleil, serait à croquer. Elle posséderait le même rire que celui qui résonne dans l’air quand tu es heureuse et une volonté de vivre aussi forte que la tienne. Je l’emmènerais se promener longuement à cheval et je lui apprendrais à se battre. Je lui expliquerais les fleurs et les plantes et je lui enseignerais le bonheur d’être, celui de se contenter de ce que la vie vous donne et de savoir se relever quoi qu’il arrive. Allez, vis, ma douce, vis ! Tu as encore un monde à ta portée ! Reviens avec moi, je t’en prie. Tu ne me laisserais sûrement pas tomber si tu te doutais à quel point j’ai b