Elle se cambra contre le mur, pressa ses fesses contre moi. “Oui. Vas-y. Prends-moi. Possède-moi.” Je poussai un gémissement devant ces mots si attendus, je portai ma femme sur la table du coin déjeuner. Je m'en servais pour lire ou travailler, je prenais tous mes repas à la cafétéria. C'était la surface horizontale la plus proche du tiroir contenant le lubrifiant nécessaire pour huiler son passage étroit et lui donner du plaisir. Je la posai afin de prendre le flacon, elle me surprit en enlevant ses ballerines et sa robe, qu'elle jeta à terre. Elle était nue, la perfection incarnée. Elle était époustouflante avec son regard impatient, son sourire radieux, ses tétons durcis, sa toison brune et bouclée entre ses cuisses et sa fente glissante entre ses jambes écartées. “Tu veux me prend