When you visit our website, if you give your consent, we will use cookies to allow us to collect data for aggregated statistics to improve our service and remember your choice for future visits. Cookie Policy & Privacy Policy
Dear Reader, we use the permissions associated with cookies to keep our website running smoothly and to provide you with personalized content that better meets your needs and ensure the best reading experience. At any time, you can change your permissions for the cookie settings below.
If you would like to learn more about our Cookie, you can click on Privacy Policy.
CHAPITRE 10 75 ou 155 ?Anxieusement, Paul Delroze tourna la page, comme s’il eût espéré que ce projet de fuite pût avoir une issue heureuse, et ce fut pour ainsi dire le choc d’une douleur nouvelle qu’il reçut en lisant les premières lignes écrites, le matin suivant, d’une écriture presque illisible : « Nous avons été dénoncés, trahis. Vingt hommes nous épiaient… Ils se sont jetés sur nous, comme des brutes… Maintenant je suis enfermée dans le pavillon du parc. À côté, un petit réduit sert de prison à Jérôme et à Rosalie. Ils sont attachés et bâillonnés. Moi, je suis libre, mais il y a des soldats à la porte. Je les entends parler. » Midi. « J’ai bien du mal à t’écrire, Paul. À chaque instant le soldat de faction ouvre et me surveille. On ne m’a pas fouillée, de sorte que j’ai conservé