Sans quitter Jean des yeux, je me lève et descends calmement, l'accueillant complètement en moi, je soupire et laisse mes mains sur son cou, me mordant les lèvres en bougeant, cherchant à combler le vide que je ressens, quelque chose d'indescriptible que je n'ai trouvé qu'avec lui. Les mouvements de Jean se moulent aux miens, nos battements de cœur s'entendent à l'unisson, tout comme nos respirations et le choc de nos corps. J'ai besoin de lui à chaque instant, et je tends la main pour prendre sa bouche, toujours en mouvement. Mon ventre se contracte à son goût, son parfum emblématique emplit mes narines et je me concentre sur les sons rauques qu'il émet à chaque poussée et à chaque échange de nos lèvres. Je me perds dans l'intensité de son regard, dans la texture de sa peau et de son