Mlle Sarah Bernhardt
Madame,
À vous qui brillez tout en haut, l’auteur très obscur d’Aziyadé dédie humblement ce récit sauvage.
Il lui semble que votre nom laissera tomber sur ce livre un peu de son grand charme poétique.
L’auteur était bien jeune lorsqu’il a écrit ce livre ; il le met à vos pieds, Madame, en vous demandant beaucoup, beaucoup d’indulgence.
Rarahu
« Ε hari te fau,E toro te faaro,E nau te taata. »Le palmier croîtraLe corail s’étendra,Mais l’homme périra.(Vieux dicton de la Polynésie.)
Première partie