8 JACKSON Je n’avais jamais joui comme ça. Je jure que j’avais failli perdre conscience. La seule sensation de la chatte de Jacinthe enserrant ma queue avait fait raidir mes couilles et quasiment bouillir ma semence et je n’avais pas pu me retenir plus longtemps. Je jouis pendant ce qui avait semblé une éternité, les jets de ma semence remplissant ma femme jusqu’à en déborder, avant de s’écouler le long de ma queue. J’avais attendu deux mois, deux longs mois, pour conquérir sa chatte et c’était encore meilleur que ce que j’avais imaginé. Ses lèvres roses étaient parfaites, ses poils sombres qui la protégeaient étaient trempés de son excitation. C’était la preuve dont j’avais besoin pour sentir qu’elle me désirait. Une petite chose si réservée—je craignais que mes sentiments ne soient pas