Melany : Qu'est-ce que tu veux de la caipirinha ? Il contient des fruits de la passion, du citron et de la fraise. - Elle est arrivée avec un plateau, interrompant ce qu'il racontait.
Stephanie : Tu vois, je n'ai pas vu ta voiture, où est-elle ?
Melany : C'est chez moi, je roule avec Dylan. – Stephanie a accepté, et Melany a repris le plateau
Logan : Continuant, comme nous étions très jeunes, je ne savais pas trop ce que je voulais de la vie et autres, mais nous sommes restés ensemble pendant 3 mois, vous savez, sans être avec quelqu'un d'autre
- J'ai été d'accord. – Et quand je vais au collège à Minas, on a fini, une semaine plus tard
Bryan : Pourquoi ?
Melany : Nous étions sans grande patience l'un envers l'autre, sans compter la distance, je suis très jaloux de Bryan, et tout ce que je me bats, je demande des explications, je suis vraiment chiant, et puis nous avons décidé de rompre. – Elle était assise sur les genoux de Laura, et si elle voulait s'asseoir sur les miens, ça ne me dérangerait pas
Luan : Et il n'y a jamais eu de souvenir ?
Logan : Malheureusement non, mais ce n'était pas faute d'insistance, elle ne veut plus avoir de mes nouvelles.
Bryan : Asseyez-vous ici Melanysinha, j'ai une autre chaise pour moi. Il laissa libre pour elle le siège à côté de moi et se leva.
Melany : Pas besoin d'amour, je suis venue te dire au revoir, mon père vient de m'appeler et m'a dit qu'il allait déjeuner en famille avec mon oncle, et m'a appelé. Elle fit une grimace en colère et leva les yeux au ciel.
Stephanie : Alors, Luan t'emmène, parce qu'il m'a dit que je devais aller chercher le médicament qu'il avait oublié chez lui. - SALUT? JE N'AI OUBLIÉ AUCUN MÉDICAMENT ET JE NE PRENDS PAS DE MÉDICAMENT.
Bryan : Bien rappelé Stephanisinha, sinon demain il sera sans voix. – J'ai reçu un coup de pied sous la table, ce qui allait définitivement rendre mon tibia violet, et puis j'ai compris.
Laura : Je n'ai rien entendu sur la médecine. - Elle nous a regardé avec un visage étrange
Melany : Pas besoin, j'appelle uber.
Luan : Non Melany, pas de problème, je dois quand même m'arrêter à la pharmacie
Melany : Pas besoin, les médicaments que tu prends en partant d'ici.
Logan : Si tu veux, je t'emmène, je suis sur le vélo là-bas, et toi. - Il m'a regardé. – Donnez-moi le nom du médicament que j'apporte.
Luan et Melany : Non ! – Nous nous sommes regardés.
Luan : Je t'emmène, viens. – Je me suis levé de la chaise. - Je reviens tout de suite. - Je l'ai contactée.
Melany : Je vais dire au revoir à tout le monde, 1 minute je suis là !
J'ai dit au revoir à tout le monde, et me suis levé, au moins je serais seul avec elle, pendant un certain temps, n'importe quel temps devait être utilisé.
Logan : Salut, je peux te parler ? - Il est venu après moi, alors que j'arrivais presque à la voiture.
Luan : Oui, dis-le !
Logan : C'est une astuce, un conseil, tout ce que tu veux. – Je l'ai regardé. – Melany n'est pas ton genre, il vaut mieux fuir ce que tu pourrais ressentir.
Luan : Ne vous offensez pas, ce qui se passe ne vous regarde pas.
Logan : Elle n'est pas du genre à tomber amoureuse mec, si tu penses que tu vas changer tu te trompes lourdement.
Luan : Je ne veux pas la changer, et je ne comprends pas la raison de cette conversation.
Logan : Je serai encore plus clair. – Il parlait comme si j'étais quelqu'un avec des problèmes mentaux – Je ne l'abandonne pas.
Luan : Moi non plus ! - Dit avec une fermeté qui m'a même fait peur
Melany : Je suis prête, d'accord ? – Je l'ai vue arriver avec le sac à dos que portait Stephanie il y a quelques heures.
Melany : Tu n'étais pas obligé d'aller acheter des médicaments, n'est-ce pas ?
Luan : Non. – Inutile de se cacher. - Mais je voulais être avec toi, être proche.
Melany : Je le savais, je l'ai réalisé à ta manière. - Elle a regardé en arrière hors de la voiture, jusqu'à ce que nous ayons atteint l'avant de la maison, après que l'entrée ait été dégagée au niveau du portail de la copropriété. – Merci de m'avoir amené. – Elle est sortie de la voiture et j'étais juste derrière elle.
Luan : Attends ! Je veux te parler!
Melany : Qu'est-ce que tu veux Luan ? Elle s'appuya contre la porte qui venait de se fermer.
Luan : Je veux m'excuser auprès de toi. – J'ai soupiré. - Désolé de vous avoir parlé de cette façon, d'avoir utilisé ce ton de voix. – Je me suis approché d'elle, juste à une main. – Et pour avoir été sexiste.
Melany : Pas besoin de s'excuser pour ça, c'est ce que tu penses, et chacun a son opinion, il n'y a pas de problème. - Elle a dit sans me regarder dans les yeux
Luan : Je ne pense pas comme ça, encore moins avec toi ! Je lui ai levé le menton. - Je désespérais, je ne savais pas quoi faire après ce b****r, après avoir fait ce que je voulais tant, je suis vraiment désolé.
Melany : Tu ne penses pas à ça ?
Luan : Non, au contraire, pardonne-moi ?
Melany : Je ne sais pas ce qui me donne, mais je ne peux pas être en colère contre toi quand je vois ton sourire, et tes yeux, je ne peux pas. - Elle a souri
Luan : Pouvons-nous revenir à être bien comme avant ?
Melany : Comme si le b****r n'avait pas eu lieu. – Elle a dit avec un certain sentiment que je ne pouvais pas identifier.
Luan : Non, comme si je n'avais pas ça après le b****r. - Je ne lui ai pas laissé le temps de répondre, je l'ai serrée dans mes bras, la soulevant dans les airs, et pressant mon corps contre le sien, qui était contre la voiture.
Xxx : Vous deux encore ? - C'était son oncle, debout à la porte de la maison, et je ne l'ai vu qu'après l'avoir relâchée. – Ne plus lâcher prise ?
Melany : Bon sang, ça va commencer. – Elle m'a souri, ce sourire me manque.
Raymond : En fait, Luan, tu es mon invité, reste déjeuner avec nous ! – J'ai regardé Melany, qui le regardait un peu étonné.
Luan : Magina, pas question. - Il était différent, avec des vêtements beaucoup plus confortables et pas tous cravate comme je l'avais vu hier. – Je viens juste d'amener Melany
Raymond : Tu ne vas pas me priver du plaisir de faire un interrogatoire devant mon frère non ? – Je l'ai regardé. - Si vous n'entrez pas, je serai obligé d'écouter pour la dixième fois comment Margareth et son petit ami se sont rencontrés à nouveau.
Melany : Est-ce qu'elle a déjà un nouveau petit ami ?
Raymond : Pas juste un petit ami, mais un amour de la vie, de toute façon, viens Luan, tu déjeunes avec nous aujourd'hui. – Dit-il avec autorité, d'une manière très similaire à Melany.
Melany : Je suis juste vraiment désolée si tu viens déjeuner avec nous. – Dit-elle doucement en serrant mon poignet.
Luan : Alors je le ferai, n'importe quoi pour s'entendre avec toi. - Merci de dire ça, juste de voir son sourire.
Raymond : Faites comme chez vous. – Et après avoir passé mon bras autour du cou de Melany, je suis entré dans son ex maison.
''Elle est compliquée, pour se faire foutre. Ça gâche tout parfois. C'est complexe, plein de bizarreries et d'incertitudes. Et c'est son charme, celui qui m'a complètement conquis. ''
Melany
Je ne sais pas ce qu'il a qui me tient tant, je ne sais pas comment il a fait, ni ce qu'il a l'intention de me rendre si excitée, si dépendante de lui, je ne sais pas, mais j'aimerais à savoir.
Le seul que je sache, c'est que j'aime ça, et j'aime vraiment passer du temps avec lui. Même avec ce qu'il a dit après le b****r, j'étais bouleversée et en colère, parce que j'ai cette façon difficile, mais je suis totalement abandonnée, totalement volontaire.
Luan : Est-ce que ton père ne sera pas fou ? – Dit-il doucement en passant la porte du salon, pour se rendre dans l'espace de loisirs.
Raymond : Bien sûr que oui ! Et surtout après que je vous ai dit que vous n'avez pas lâché prise depuis un moment, il va vouloir des explications.
Melany : Oh, alors c'est comme ça ? Luan ne restera pas si tu es interrogé, et tu devras réentendre l'histoire de son nouveau petit-ami ! – J'ai arrêté de lâcher Luan.
Raymond: Ce n'est pas juste! Il a mis sa main dans sa poche, comme l'évaluation de la situation.
Luan : Est-ce que je reste ici ou est-ce que je pars ? – Il a dit avec une moue à la fin, et j'étais très à l'aise pour prendre soin de lui, comment est-ce possible ?
Raymond : J'évalue le risque. – Je ne pouvais pas le supporter et lui ai tenu la main, il a souri satisfait, de cette belle manière que lui seul a. – Pike s'en va, et arrête d'obéir à Melany comme ça ! – Il a dit en passant par nous !
Melany : Rassurez-vous, vous ne m'obéissez pas. – Je l'ai dépassé, qui m'a étreint sur le côté.
Raymond : Les gars, j'ai un invité spécial ici à vous présenter. – Mon oncle est désespéré.
Victor : N'était-ce pas Melany qui était arrivée ?
Melany : C'est mon père. «J'ai indiqué qui parlait et mon père ressemblait beaucoup à mon oncle, juste un peu plus épais et mal rasé.
Luan : Pire que ton oncle. - Il a dit doucement
Raymond : C'est elle, et une de ses amies. – dit-il avec ironie.
Margareth : Quel ami ?
Enfin nous sommes apparus au bord de la piscine, et il y avait Margareth, Mary, le nouveau petit ami de Margareth, mon père, mon oncle, Renata qui était ma tante et ma chérie, qui était Tomaz, mon petit cousin de cinq ans.
Raymond : Les gars, voici Luan, un de mes amis et celui de Melany.
Mary : Amie ? – Elle nous a regardés qui nous embrassions. - Le tiens?
Melany : Oui Lu, nous sommes amis.
Raymond : Et j'ai découvert ça, parce qu'il habite dans l'appartement sous celui que je loue tu sais ? Un peu près du centre ?
Melany : Papa, voici Luan. – Nous nous sommes approchés de mon père, qui l'a regardé d'un air complètement méfiant.
Raymond : Juste pour info, ils n'ont pas lâché depuis hier j'ai trouvé Melany dans son appartement. - Il a dit et est allé rejoindre la foule au bord de la piscine après que mon père m'a serré dans ses bras.
Victor : C'est vrai ?
Luan : Et oui, nous nous sommes rencontrés grâce à Willian. - Il avait déjà retiré son bras de mon cou.
Margareth : Viens ici Melany, viens rencontrer Jack.
Melany : Tout d'abord, où est l'amour de ma vie qui n'est pas venu ici pour m'embrasser ? – J'ai regardé Tomaz et j'ai mis mes mains sur mes hanches.
Renata : Il est timide Melany, mais il n'a pas arrêté de te poser des questions sur toi.
Melany : Viens ici mon amour ! – J'ai tendu les bras vers lui, qui est venu en courant et m'a fait ce joli câlin. – Puis-je vous présenter un de mes amis ? - Il a hoché la tête et a regardé Luan. – C'est Luan, et Luan, c'est Tomaz, presque mon petit ami.
Tomaz : Presque ? – Il a fait une grimace triste.
Melany : T'as oublié qu'on sort ensemble en secret ? Sans que mon père et les tiens ne le sachent ? - Il a fait une jolie tête.
Luan : Je garde ton secret. - Il a souri à Luan et est descendu de mes genoux. - Quelle belle chose.
Melany : C'est ma chérie. – Mon oncle est arrivé et a tiré Luan pour rencontrer le reste des gens
Victor : Ma fille, ça ne pourrait pas être quelqu'un avec moins de tatouages ?
Melany : Papa ! – Je l'ai dévisagé.
Victor : Qu'est-ce que c'est ? Combien de tatouages ce garçon a-t-il ? Que j'ai pu en voir une dizaine, et il y a même des doigts ! - Il m'a regardé un peu bizarrement, et j'ai remarqué la jalousie là-bas.
Melany : Arrête d'être comme ça ! Je vais là-bas pour rencontrer le petit ami de Margareth.
Victor : Melany, je te surveille, et on parlera plus tard d'aller chez lui. Je levai les yeux au ciel et m'éloignai et m'assis à côté de Luan sur la chaise.
Margareth : Melany, c'est Jack, je pense que tu le connais, c'est celui de la dernière ballade que nous avons rencontrée.
Melany : Oups. – Je ne me souvenais vraiment de rien. - D'accord. – Je l'ai salué d'un b****r sur la joue.
Jack : Contente Melany ! - Il a été serré par le cou par Margareth, et je suis retourné m'asseoir à côté de Luan.
Renata : Va mettre un bikini Melany, il fait trop chaud !
Melany : Oh non tante, je ne peux pas. – J'ai ri et Luan a levé les yeux au ciel.
Margareth : Melany, si tu veux je te donnerai le numéro de téléphone du chirurgien que ma maman t'a eu, tu dois voir, il me fera une lipo, et changer son silicone et sa connorteta ne prend qu'un mois. – J'ai regardé de côté mon oncle qui riait.
Melany : Alors tu me donnes Margareth, ensuite je verrai si je prends rendez-vous. - Seul Luan a compris le ton de ma voix.
Luan : C'est vrai, sois gentil ! – Il a dit à mon oreille, et mon père a mis une chaise derrière nous, presque au milieu.
Renata : Je ne l'achète pas. – Elle était géniale.
Luan : Tu veux t'asseoir ici. – Il s'est levé et je l'ai fait rasseoir.
Victor : Non, c'est bon ! Combien de tatouages as-tu Luan ? – Je ne peux pas croire qu'il demandait ça !
Luan : J'ai 23 ans. - J'ai entendu mon oncle tousser et s'étouffer, je suis trop foutu avec cette famille. – Compter sur les doigts.
Melany : Allez, changeons de vêtements. – Je l'ai tiré par la main.
Victor et Raymond : ENSEMBLE ?
Renata : Bien sûr, à votre avis, qui attachera le bikini de Melany ? – Elle a dit comme si elle parlait à Tomaz, et nous sommes partis.
Melany : Désolé, désolé, désolé, je ne sais même pas quoi dire. - J'ai dit dès que nous sommes entrés dans la cuisine. - Si tu veux t'enfuir, n'hésite pas, mon père est vraiment, vraiment génial. Il posa son index sur mes lèvres.
Luan : Rassurez-vous, je ne m'enfuirai pas, je me fiche des questions, je répondrai volontiers à toutes. – Il m'a tenu le cou.
Melany : Tu ne dois pas exister, et je dois être en train d'halluciner, vraiment, tu n'as pas à leur prêter autant d'attention, ils vont te tester, tu n'es pas en colère contre moi pour ça ?
Luan : Je ne resterai pas je le jure. – Il a souri, et je n'ai pas pu m'empêcher de sourire en retour, et il se rapprochait de plus en plus.
Renata : Les gars, voici des shorts. Elle s'arrêta et nous regarda. – Sois calme, je ne suis pas ces deux fous là-bas, mais contrôle-toi, pas de baisers devant eux. - Luan m'a étreint et je l'ai étreint en retour. – Luan, voici un short pour toi, c'est celui de Jack, insista-t-il.
Luan : Pas de magie, pas besoin, tu n'avais pas besoin de t'embêter.
Renata : Lady est au paradis, et elle ne vient pas. Elle s'arrêta et nous regarda. – Ou préférez-vous répondre sur chacun de vos tatouages, quel âge avez-vous chacun, d'où viennent vos parents.
Melany : Il préfère la piscine, aucun doute là-dessus, il a une salle de bain si Loganndo en face et en tournant à droite, je vais me changer là-bas dans ma chambre si ce n'est pas déjà transformé en clinique esthétique comme le voulait Mary.
Luan : Je veux voir ta chambre ! – Il s'est arrêté à mi-chemin.
Renata : Non, et non, plus tard, quand ils seront tous les deux couchés, sinon, ils me tueront !
Melany : Je te montrerai quand nous partirons. – Il a fait la moue, et je te jure, si Renata n'avait pas été là, j'aurais attrapé ce garçon !
SEIGNEUR, AIDE-MOI À RÉSISTER, PARCE QUE CE N'EST PAS FACILE.
Renata : Comment ça se fait que tu ne me dis rien ? - Dès que Luan est entré dans la salle de bain pour se changer.
Melany : Parler de quoi ? Je n'ai rien à dire. – Je ne l'ai même pas remarqué, et j'étais déjà sur la défensive.
Renata : Oh, tu n'as rien à me dire ? Elle mit ses mains sur ses hanches.
Melany : Non ! Elle roula des yeux. – Arrête, tante !
Renata : Tu vas bientôt changer ma fille, je laisse l'interrogatoire pour plus tard. – J'ai couru dans ma chambre et j'ai enfilé le bikini que Stephanie avait rangé dans mon sac à dos.
Je suis descendu, et Luan était dans la cuisine en train de parler à ma tante, et qu'est-ce que c'était ? Sérieusement, il ne pouvait pas être réel, il avait un autre tatouage sur le dos, et son corps défini, et pour couronner le tout, ce beau sourire.
Monsieur, si je veux résister, j'aurai besoin d'une aide supplémentaire.
Renata : Est-ce que c'est vrai que tu as pris le téléphone du nouveau chirurgien de Margareth ? - Elle m'a regardé.
Melany : Non, je n'ai pas le courage, j'ai peur de mourir.
Luan : Et tu n'es pas obligé, non ? - Il m'a regardé.
Renata : Je suis d'accord avec toi, maintenant allons à la piscine. Elle a regardé mon pied nu. – Vous n'avez pas de chaussons ?
Melany : Comme ça devient ennuyeux avec mon père, hein. – Je suis parti en marchant et ils sont restés immobiles. - Qu'est ce que c'est?
Luan : Mets la pantoufle.
Melany : Il me manquait juste celui-là, la pantoufle est en haut. – Perdu, je suis monté le chercher, et j'ai descendu les escaliers. – Satisfait ? - Ils ont souri.
Renata : Luan dis-moi, alors tu as un groupe ?
Luan : Oui, j'ai en fait un boys band, c'est moi, Willian et Bryan, un autre de nos amis. – Nous avons rejoint le staff.
Renata : Et tu as déjà quelque chose ?
Luan : En fait, nous avons commencé à composer, mais il manque encore quelque chose, cette semaine nous voulons le faire, à partir de lundi.
Mary : Faire quoi ? – Elle et cette voix agaçante
Renata : Il a un groupe.
Victor : Et tu travailles ? – Nous nous sommes assis les pieds dans l'eau, et j'ai regardé Margareth et Jack et ils semblaient heureux, ne se souciaient même pas des gens.
Luan : J'ai fait des présentations, modélisé ces choses pour récolter de l'argent, mais mon rêve a toujours été la musique.
Melany : Tu vois, et il n'y a rien à manger dans cette maison ? J'ai faim. - J'ai essayé de changer de sujet de conversation.
Raymond : Moi aussi, est-ce que la nourriture ne sera pas prête ?
Mary : Je vais demander à Cida d'aller servir. - Elle n'a même pas bougé Tomaz : Melany je veux aller à la piscine. – Il m'a serré par le cou Melany : L'eau est froide, nous allons mourir de froid.
Luan : Comme c'est cool, viens avec lui !
Tomaz : Je veux jouer au ballon Melany, vas-y ! - Il a regardé Luan et a continué à me serrer dans ses bras. - Quelle équipe soutiens-tu?
Luan : Connaissez-vous une équipe appelée les Seattle Sounders ? – Tomaz secoua la tête. – C'est la meilleure équipe du monde.
Melany : Mais pas Lu, parle-lui de notre alviverde. – Je lui ai fait un clin d'œil.
Tomaz : Vraiment, notre alviverde est le meilleur, que de jouer au ballon avec moi ?
Luan : Bien sûr ! Ici à la piscine ou là-bas ?
Tomaz : Par ici, viens ! – Il a tiré Luan par la main, et m'a complètement oublié, ils sont allés jouer au ballon près du jardin, et nous sommes restés un certain temps, en silence juste à écouter la conversation entre Luan et Tomaz, qui étaient en fait frits dans le but de New York , la défense des Sounders de Seattle, ce genre de chose.
Victor : Explique ce qui se passe à ton père, et vite !
Melany : Salut ? – Renata s'est assise à côté de moi, là où était Luan.
Mary : Où as-tu rencontré ce garçon Melany ? Elle est déjà allée chez lui, l'a ramené à la maison... - Elle veut diriger ma vie, je ne peux pas le supporter
Raymond : Qui penses-tu que tu es pour lui parler comme ça ? – Mon oncle était génial.
Mary : C'est juste une question, je dis aux autres de ne pas lui dire ça, ou pire, de continuer à dire des choses sur elle.
Raymond : Tu jures vraiment ? Vous? – Il m'a regardé, et j'ai parfaitement compris. – Je pense que Beto peut bien s'occuper d'elle seul, ou mieux, pas seul, il sait qu'il peut compter sur moi et Renata.
Mary : Je m'inquiète pour elle, vous pensez peut-être que non, mais c'est vrai ! - C'était plus qu'évident qu'il s'en fichait, et tout le monde le savait.
Melany : Je suis immensément reconnaissante pour l'inquiétude, mais je prends soin de ma vie, je sais ce que je fais, ce que je ne fais pas, vous n'avez pas à vous inquiéter.
Victor : Tu n'as aucun moyen non ?
Melany : Je n'en ai jamais eu. - Je soulevai. – Je jouerai au ballon ! Quand tu as quelque chose à manger, préviens-moi ! - Éloignez-vous en la laissant seule
Raymond : Je viens avec toi ! – Mon oncle était déjà sur ma piste, et quand Luan m'a vu, il a arrêté de taper dans le ballon et a attendu que je l'atteigne. – Je l'aime bien, tu sais.
Melany : C'est un grand oncle. – Il m'a regardé en souriant.
Luan : Qu'est-ce qui s'est passé ?
Melany : Pas grave, ma belle-mère qui est la meilleure au monde. – J'ai dit ironiquement, et il m'a serré dans ses bras. – DIEU FORMÉ, tu es TOUS EN SUEUR. – Sortez de l'étreinte.
Luan : La fille preppy ne veut pas un câlin ? - Il m'a regardé en riant. – Tomas, viens ici. – Éloignez-vous d'eux, après que Luan l'ait ramassé, lui disant quelque chose à l'oreille.
Raymond : Vous êtes de grands enfants. « Il nous a quittés et est retourné là-bas. – J'appellerai quand le déjeuner sera prêt.
Luan : Viens ici près de nous. - je ne pense pas
Tomaz : Allez, Melany. – Il m'a appelé en riant avec sa petite main.
Melany : Qu'est-ce que tu me veux ? - Ils se regardèrent.
Luan : Viens juste belle, viens juste ! – J'ai fait un pas en avant, et ils étaient en sueur, tous les deux. - Plus proche. – Ils ont fait un pas, et moi aussi.
Melany : Assez. - Il n'y avait pas le temps, Luan m'a attrapé par la taille et m'a jeté sur ses épaules, et Tomaz riait en aidant. – LAISSE-MOI ALLER ! S'il vous plait je demande !
Luan : Oh rien, tu ne voulais pas nous faire un câlin, qu'en penses-tu Tomaz ?
Tomaz : Emmenez Melany dans la piscine. – Il a joyeusement tapoté mes jambes et je l'ai senti commencer à marcher.
Melany : S'il te plait Luan, ne me fais pas ça, encore une fois dans la piscine froide non ! Je fais ce que tu veux pendant une semaine. - Il a arreté
Luan : Qu'est-ce que tu veux ? – Je ne sais pas, mais ça sonnait trop malicieux.
Tomaz : Non, à la piscine de Luan.
Melany : Luan ?
Luan : Il a perdu son cousin, nous sommes amis, je me suis arrangé pour l'emmener voir votre équipe jouer !
Melany : Tu ne vas pas me jeter non ? - J'ai demandé dans une supplication
Luan : C'est impossible, mon ami veut te voir à la piscine.
Victor : Tu vas arroser ? Je ne peux pas croire!
Margareth : Ne joue pas ! Ça va lui mouiller les cheveux. – Manie de s'immiscer dans la vie des autres, la sienne et celle de sa mère.
Luan : Seras-tu vraiment en colère si je te jette ? – Il a dit très doucement dans mon oreille.
Melany : Si je pouvais, je resterais. – J'ai senti un sourire contre mon ventre après m'avoir embrassé, mais je n'ai pas eu le temps d'être heureux, alors il m'a jeté dans l'eau froide pour la deuxième fois ce jour-là.
Raymond : Mec, tu as gagné mon respect ! - Il s'est moqué de moi, et j'ai réalisé que dès que je suis revenu à la surface, il a parlé du côté de Luan.
Tomaz : Melany, viens ! - Elle a à peine eu le temps de quitter les genoux de Luan, et elle s'est jetée sur moi ! Mouiller tout le monde, y compris Mary, quelque chose que je ne peux pas nier que j'ai vraiment apprécié !
Melany : Et toi, championne ? - Dit ironiquement, surtout le mot champion, à Luan. – C'est du sucre ?
Luan : Je ne suis pas du sucre, pas une belle chose – Il m'a souri, un sourire différent, mais tout aussi beau. - Je me demande si j'entre ou pas.
Melany : Je pense que tu dois venir ici et me tenir compagnie – j'ai souri. – Et pour Tomaz, son petit cousin. - J'ai fait un petit clin d'œil, et il a réalisé ce que j'avais dit, et a ouvert un sourire encore plus grand.
Luan : Arrête ça, ça ne vaut pas le coup comme ça. Il roula des yeux et s'assit au bord de la piscine, les pieds dans la piscine. – Soyez une bonne fille et comportez-vous bien !
Raymond : J'irai avec toi ! – Il a plongé dans la piscine, et Tomaz est allé vers lui en sautant par-dessus tout, je n'ai jamais vu comment un enfant a de l'énergie.
Melany : Et toi ? – Alors qu'il était assis les jambes dans l'eau, je m'appuyai dessus. – Tu vas venir ici avec moi ou pas ?
Luan : Tu veux que j'y aille ?
Melany : Bien sûr championne ! – J'ai pris sa main et il a entrelacé nos doigts, cela devient dangereux parce que ce que j'ai aimé n'est pas écrit.
Il est entré dans l'eau, pas avant de m'avoir étreint, et j'ai remarqué les yeux de Mary et de mon père, mais je n'étais plus intéressé par ce qui se passait, par ce qu'elle pouvait penser de moi.
Nous étions là à jouer, et en fait, être avec Luan là-bas était incroyable, c'était presque surréaliste, à tout moment, nous nous touchions, nous nous embrassions, je l'embrassais moi-même plusieurs fois, et c'était dommage que nous allions bientôt déjeuner, mais même nous étions donc proches, et pour l'instant c'était ce qui m'importait.