Chapitre 3

3868 Words
Je n'ai pas pu répondre au premier appel, puis je me suis retourné et j'ai vu Luan endormi, il avait un visage calme et n'avait pas l'air d'avoir 22 ans, il ressemblait plus à un garçon, à part les tatouages qui contrastaient parfaitement avec lui. Bon sang, qu'est-ce qui se passe là-bas ? Es-tu folle Melany ? J'ai senti mon téléphone portable vibrer à nouveau dans ma main, et j'ai sauté Luan, et suis allé dans le salon, presque en courant, et j'ai trouvé Bryan endormi et ronflant sur le canapé, j'ai couru vers le balcon qui était le seul endroit où je voudrais ' ne déranger personne. De garde – Salut papa! – Melany, ma fille, pourquoi ne donnes-tu pas de nouvelles, Lu m'a dit que tu n'as même pas dit au revoir à personne hier quand tu es sorti avec Willian et Stephanie – Ah, papa, tu sais que je ne suis pas très à l'aise, non ? – Je sais, et nous devons améliorer cela ! – J'ai soupiré et il a certainement entendu – mais je n'ai pas appelé pour gronder, je veux savoir pour ta nouvelle maison ! – Aaai, papa, tu n'imagines pas à quel point elle est belle, et ça devient de plus en plus beau, j'adore ça ! – Quand pouvons-nous nous rencontrer? – Nous ne sommes pas papa ! Seulement toi! – Melany, Melany, tu es tellement une fauteuse de troubles ! – Vous savez, pas de conditions ! Mais tu peux me faire savoir qu'un jour je ferai cette parmigiana que tu aimes, et nous déjeunerons ensemble ! – Vous pouvez le laisser, je le vérifierai dans mon agenda quand il n'y aura pas de rendez-vous samedi et je vous tiendrai au courant ! Maintenant, je dois aller travailler, et toi à l'université ! – Bon papa, j'arrive ! – Je t'aime, tu me manques ! – Moi aussi, je t'aime ! Gros bisous J'étais penché pendant un moment, regardant le trafic et voyant à quel point New York était toujours chaotique, cela me faisait toujours perdre du temps, beaucoup considéraient que c'était un endroit infernal, mais j'ai réussi à être le meilleur au monde aussi. J'ai soupiré et je suis resté là à ne rien regarder, ou à tout, je ne sais pas, quelque chose m'a retenu à cet endroit, jusqu'à ce que je sente quelqu'un me couvrir étroitement les yeux, et presser mon corps contre la balustrade du porche, je ne pouvais ni crier, telle était la peur. Au moment où j'ai failli m'évanouir, mes jambes étaient faibles, je ne pouvais même pas penser correctement, c'était comme une éternité, je pouvais parier que mon cœur ne battait plus à l'intérieur de mon propre corps. - Devine qui c'est? – C'était la voix de Luan, et il m'a libéré en riant et en se penchant à côté de moi. Melany : Sérieusement, pourquoi as-tu fait ça ? J'ai failli mourir! – J'ai même mal au cœur. Luan : Pour y aller, tu avais besoin de voir ton visage effrayé ! Meule mignonne. Melany : Mignonne ? Vous ne comprenez pas, n'est-ce pas ? Mon cœur s'est presque arrêté là dans la rue, ne me fais plus jamais ça ! – Je m'appuyai contre la balustrade, respirant fort. – Tu te réveilles toujours mignon comme ça ? Luan : Pas grand chose, mais je pourrais me réveiller ! – J'ai levé les yeux au ciel – Au fait, bonjour, stressé ! Melany : Bonjour, mignonne ! Pourquoi se lever si tôt ? Luan : Ma mère m'a appelé pour me dire qu'il neigeait là-bas dans le Nord, alors je me suis levé pour ne pas te réveiller, et tu n'étais pas là dans la pièce ! Melany : Je vais présenter mon père à ta mère, ils seront de bons amis parce que mon père adore m'appeler à cette heure matinale ! Il ne comprend pas à quel point il est bon de dormir. Luan : Alors, tu vas te rendormir ? – Dit-il en s'appuyant contre la porte, dommage qu'il porte une chemise maintenant. – Allons-y, non ? Melany : Je vais à l'université, j'ai un cours à neuf heures, donc je n'ai pas eu le premier cours. Luan : Et que penses-tu de me payer ce pari d'hier ? Melany : Vraiment ? - Je l'ai regardé ironiquement, qui a fait une jolie grimace. – Toi qui dois me payer, on ne sait pas s'ils sont restés ! Et dans le doute, absout, j'ai appris ça avec Stephanie  ! Luan : Et tu as beaucoup de doutes ? – Il a ri encore plus. Melany : Ouais je le pense aussi, mais je fais toujours confiance à mon amie, si elle ne me l'a pas dit alors ils ne l'ont pas fait ! Luan : Puisque tu es si difficile, tu veux déjeuner avec moi au Mc aujourd'hui, pas de paris, rien ? - Il abandonna. Melany : Je le veux vraiment ! Je pense même que j'ai faim. Luan : Je n'allais rien dire, mais je ressens une faim de monstre tout le temps ! Melany : Je passe combien de temps ici pour venir te chercher ? Luan : Alors, tu vas en fac ? – Il n'a pas répondu à ma question. Melany : Je vais à pied, c'est à trois rues d'ici, et je n'ai pas à faire face à ce trafic ! Luan : Alors on fait comme ça, tu vas à l'université, dis-moi où c'est, puis je viendrai te chercher et on mangera. Melany : Et comment vas-tu chez toi ? Luan : De uber parce que je dois résoudre ce problème clé, alors on en profite et tu n'as pas à marcher pour aller à l'université ! Melany : Oh, je vois, attends que je me change, et on y va ! Mais tu ne veux pas dormir encore ? Luan : Non, d'accord, je pense que j'ai déjà abusé de ta maison ! Melany : Installez-vous confortablement ! - Il secoua la tête. – Dans 20 minutes je suis prêt. Luan : Rien que ça hein ! Je compte. - Il s'est assis sur le canapé et je n'arrêtais pas de le regarder, et Bryan ronflait plus fort. – Impossible de rester ici, je n'ai jamais vu personne ronfler autant. - Il a soulevé. Je suis allé dans ma chambre et j'ai vu Stephanie  et Willian encore profondément endormis, comme je les avais laissés la nuit dernière. Heureusement que mon ami ne travaillait pas l'après-midi et resterait endormi, c'est sûr. J'ai pris une douche, lavé mes cheveux qui auraient dû être assez affreux, et me suis changé en un jean, des talons et un chemisier blanc avec le blazer rose par-dessus. Je me maquille, parce que regarde, c'est vraiment dur de se lever tôt, après avoir un peu dormi. J'ai récupéré mes affaires et je suis allé appeler Luan dans la chambre. Melany : Je suis prête, d'accord ? - Dès que j'ai ouvert la porte, et il s'est levé. J'ai pris mon téléphone portable dans le salon, et nous sommes partis, j'ai laissé ma clé à l'intérieur, car qui sait s'ils trouveraient leur clé s'ils voulaient partir. Luan : Est-ce que tu vas toujours aussi belle à l'université ? – J'ai remarqué qu'il me regardait à l'intérieur de l'ascenseur. Melany : Ce n'est pas parce que tu m'as foutu la trouille que tu dois continuer à me féliciter. - il roula des yeux Luan : Oh, ma fille. - J'ai souris. – Je ne le fais pas par obligation, je dis juste la vérité. - La porte s'est ouverte avant que je puisse devenir rouge. - Allons-y! Nous avons quitté le bâtiment et aucun uber n'est passé. Melany : Tu vois, j'y vais, on ne le trouvera pas uber. Luan : Accrochez-vous un peu. – Nous avons attendu un peu plus longtemps, et rien. Melany : Viens au collège avec moi, tu y vas toujours, j'en ai au moins vu plusieurs ! – Je me suis souvenu de quelque chose – as-tu dit à Bryan que tu partais ? Luan : Il ne se réveillera pas avant que quelqu'un ne l'appelle, ou vers deux heures de l'après-midi Melany : Mais tu n'as même rien dit ? – J'ai regardé avec incrédulité. Luan : As-tu prévenu William ? Ou Stephanmelanysinha ? Melany : Non, d'accord, mais ils sont de chez eux, ils savent que si je ne suis pas à la maison, je suis à la fac, en train de faire quelque chose et ils m'appellent sur mon portable ! Pauvre Bryan ! Luan : Tu dis ça, parce que tu ne le connais toujours pas ! – Il a souri, et je ne pense pas que je m'habituerais jamais à ce sourire de ma vie. – Oh l'uber là-bas ! – On s'était effectivement arrêté devant nous ! Melany : Tu as de la chance hein – quelqu'un de mon immeuble est sorti de l'uber et nous sommes entrés Uber : Où vas-tu ? Je lui ai expliqué où se trouvait mon collège, puis Luan lui a dit où était sa maison, et nous sommes allés un moment en silence. Luan : Une demi-journée et demie suis-je là ? C'est bon pour toi? Melany : Peut-être qu'à partir de midi ça ira Luan : Je vais voir si je peux y arriver plus tôt. – L'uber s'est arrêté. – Attendez-moi ici à la porte. – Et il m'a fait un bisou sur la joue, et il ne m'a même pas laissé donner de l'argent à l'uber. Je suis sorti de la voiture et je suis allé au collège, c'était désert, personne ne venait assister aux cours à ces heures, à moins que ce ne soit le meilleur cours de l'année. Je suis allé dans le hall et j'ai appelé Cinthya, mais elle n'a pas répondu, j'ai appelé mes amis de la fac, et encore moins a-t-elle répondu jusqu'à ce que Vivian arrive et s'assoie à côté de moi. Melany : Enfin hein, je pensais que tu allais me laisser tranquille ici aujourd'hui ! Du temps perdu, c'est ça ? Vivian était dans la même pièce que la mienne et nous étions toujours ensemble, au travail, à l'université, elle et Cinthya se connaissaient toujours. Vivian : Es-tu ma mère par hasard ? Melany : Hé, quel animal t'a mordu ? Vivian : Désolé, j'ai sommeil ! Alors, comment est l'appartement ? Melany : On répare, il faut encore du temps pour se préparer Vivian : Vous organisez une fête, n'est-ce pas ? Melany : Aaah, Vivian, peu importe. Vivian : Wow Melany, je veux voir ta nouvelle maison ! Melany : Tu peux y aller quand tu veux, tu n'as pas besoin de raisons ! - Elle a souri. -Tu vois, alors allons à la bibliothèque avec moi ? J'ai besoin de quelques livres. Vivian : Allons-y ! Je dois rendre celui que j'ai pris hier, et cela ne m'a pas aidé du tout. – Nous avons entendu l'orateur commencer à parler et nous nous sommes tus. La conférence était très bonne, elle a duré presque deux heures, ce que nous n'avons même pas vu passer tous les deux, vraiment quand on aime quelque chose, rien n'est un sacrifice. Nous sommes allés à la bibliothèque, et j'ai pris 4 livres dont j'avais besoin, ou plutôt que j'aimerais vraiment lire, pour faire le travail, mais bien sûr ce serait humainement impossible, au maximum j'en regarderais 2 au maximum. Vivian : Hé, Melany, tu veux un goûter ? - Dès que nous sommes entrés dans la cafétéria qu'il avait au collège. Melany : Je ne peux pas aimer, je commence à avoir faim, mais je déjeune chez Mc. Vivian : Je suis debout, c'est parti ! - Elle se leva. Melany : Attends une minute, tu pars avec nous, mais tu dois attendre l'arrivée de Luan ! Vivian : Et qui est Luan ? – Dès qu'elle s'est rassise, elle m'a regardé d'un air malicieux. Melany : Un de mes amis, je l'ai rencontré hier, c'est le groupe que Willian rejoindra, puis à notre réveil. Vivian : Oooo, attends, qu'est-ce que tu veux dire, quand on s'est réveillé ? Avez-vous couché ensemble ? - Elle a fait une grimace d'étonnement, mais a échoué quand elle s'est moquée de moi. Melany : Pour l'amour de Dieu, bien sûr que non, nous avons dormi dans la même chambre, et dans la même maison, parce que tout le monde y dormait ! Vivian : Il est mignon ? Melany : J'ai pensé, il a les yeux bleus, ou les yeux verts, je ne sais pas, il est beau Vivian : Huuuuuuuum Melany : Afe, comme tu es ennuyeux. – J'ai vu Fred, le petit ami de Vivian, me faire signe de ne pas dire qu'il s'approchait d'elle – il n'y a rien, nous sommes amis, ne pouvons-nous pas être amis ? Vivian : Bien sûr que vous pouvez, les amis. - Il a roulé des yeux. – Des amis colorés encore mieux ! Fred : Aaah, c'est ce que tu penses. – Il l'a fait sursauter, qui a failli sauter de sa chaise. Vivian : Oo mon amour, bien sûr que non. Elle le serra dans ses bras, rapprochant les chaises. - Comment était ton cours ? Fred : C'était embêtant que ça fasse mal, je déteste le portugais, je ne comprends jamais ce qu'il fait en ingénierie. Vivian : C'est pas si mal, si tu veux je t'apprendrai. – Elle lui a fait un bisou Fred : Alors ça pourrait être bien. - Il a rendu le bisou, Fred était ce genre de petit-ami qui a tout fait pour Vivian, sans parler du fait qu'il était beau, les cheveux décoiffés, le corps défini par la salle de sport, et les yeux marrons, et un vrai prince pour mon ami. Melany : Tu vois, est-ce que vous allez vous en tenir à de la mélasse ici à mes côtés ? – Ils m'ont regardé. - Sérieuse! Nous sommes restés là à discuter et avons fini par demander du jus et des biscuits à grignoter, car Vivian avait quitté sa maison tard. Vivian : Tu vois, où est Cinthya ? Elle n'a pas répondu quand j'ai appelé. Melany : Je l'ai trouvée au club hier, je pense qu'elle est entrée en hibernation ! - Elle a ri. Vivian : Alors, tu es allé en boîte et tu ne m'as pas appelé ? Melany : On a décidé à la dernière minute, de faire la fête avec Willian ! Vivian : Luan a accompagné ? Fred : Qui est Luan ? Melany : Mon ami, et oui il a suivi. – Je me suis renversé sur ma chaise. Vivian : Vous vouliez le rencontrer le saviez-vous ? Fred : Tu es folle ? Vous ne voulez rencontrer personne ! - Il a pris le bras de sa chaise. Vivian : Pas d'amour, pas pour moi, je t'ai toi. - Elle l'a serré par le cou et l'a embrassé. – Je t'expliquerai plus tard. Melany : Les gars, sérieusement, vous me dérangez. – J'ai été surpris quand j'ai vu quelqu'un à côté de moi, et quand j'ai regardé... Fred : Hé, frère, qu'est-ce que tu fais ici ? – Était-ce Luan qu'il serrait dans ses bras ? Luan : Oh, mon frère, je suis venu chercher Melany pour qu'on puisse aller manger ! Mais je suis arrivé trop tôt ! – Ils se sont lâchés. Fred : Voici Vivian, ma fille. - Luan lui a fait un bisou sur le visage. – Et voici Melany. - Nous sourions. Luan : Quoi de neuf, ma belle ? La conférence était-elle bonne ? – Il s'est assis à côté de moi et m'a embrassé sur la joue. Vivian : C'est toi Luan ? Fred : C'est toi Melany ? – Ils ont parlé ensemble ! Melany : Ce sont les gens, je pense que nous le sommes. – Luan a rapproché sa chaise de la mienne. – Où vous connaissez-vous ? – Je l'ai regardé. Luan : Il est ami avec Bryan, et parfois nous nous réunissons pour jouer à des jeux vidéo. Fred : Joue non, montre que je suis un as. - Il s'est vanté. Vivian : Melany, ne regarde pas maintenant mon ami, mais Calvin va venir ici maintenant. Melany : Afe, je n'y crois pas. Luan : Qu'est-ce que c'est ? – Il a demandé doucement. Melany : Je déteste ce garçon, il voulait être avec moi, je ne l'ai pas fait, puis il a inventé tout le monde à l'université qui avait couché avec moi, diverses choses et autres, puis il continue de penser comme un idiot. – J'ai soupiré. – Pour quelque chose qui est un mensonge. J'ai remarqué Luan de plus près, et j'ai réalisé à quel point il était merveilleux, une veste en cuir, un pantalon sombre, un T-shirt blanc, tout parfumé, vraiment, il était magnifique, sans parler de ce sourire, et je n'ai même pas remarqué quand il a mis son bras autour de ma chaise. Calvin : Quoi de neuf, Melany ? Beauté? - Il s'est assis à côté de moi, et sans que je m'en rende compte, je suis allé à côté de Luan. Melany : Je vais bien. – Et je me tournai pour lui faire face. Luan : Allez, mon amour ? – Je lui ai fait peur en m'appelant amour. Fred : Déjà mec ? Luan : Ah, nous avons des choses à faire. Elle se leva et me fit un clin d'œil en souriant. - C'était un plaisir de vous rencontrer. - Il a embrassé Vivian. – Ouais, mon frère, arrangeons-nous plus de temps. - Lui et Fred se sont serré la main. – Je me suis levé, et Calvin n'a même pas bougé. Vivian : Vos livres, Melany ! – Elle m'a remis 2 qu'elle m'avait aidé à porter. Luan : Laisse moi le lui apporter ! - Il a pris le livre et m'a regardé. - Viens, mon amour. – Et il a tendu la main. Calvin : C'est quoi ce truc d'amour ? Luan : Mec, désolé. Il lâcha ma main et serra la main de Calvin. – Je suis le petit-ami de Melany, et toi ? Calvin : Son petit ami ? Depuis quand? Luan : Oui, son petit ami et amour. - Il m'a regardé en souriant. – Allez, d'accord, ton père doit nous attendre ! – Je suis d'accord avec lui. Melany : Au revoir les gars. – J'ai regardé Vivian, et elle riait au nez de Calvin, et je lui ai fait un clin d'œil. Après cela, Luan et moi sommes partis, toujours avec nos mains entrelacées. - Tu es fou? Luan : Pourquoi ? Melany : Calvin n'est pas très sûr tu sais, il est tout nerveux, et il aurait pu se battre. Luan : Je t'assure, ma belle ! - Il rit. – Donne-moi ton classeur ici, je le prends. - J'ai vraiment pris beaucoup à l'université. Melany : En tout cas, merci beaucoup ! Je ne peux pas le supporter. Luan : Pas besoin de me remercier, s'il t'énerve encore plus, tu peux m'appeler pour te sauver. – Je lui ai serré la main ! « Tu vois, j'ai garé la voiture et je suis sorti parce que nous sommes tous les deux très intelligents, et nous ne changeons pas de téléphone, et je ne pouvais pas t'appeler pour te faire savoir que j'étais là. Melany : Je ne pense pas que nous soyons très intelligents, non ? Dis-moi ton numéro et je t'appellerai. Il m'a donné le numéro, et nous avons finalement échangé nos numéros. Son téléphone sonna et il s'éloigna un peu pour parler quand je montai dans la voiture. Luan : Melanysinha, tu as très faim ? – Quand il est monté dans la voiture. Melany : Non, pourquoi ? Quelque chose est arrivé? Luan : Le propriétaire de l'appartement au-dessus du mien est enfin arrivé, et je dois lui montrer ce que son infiltration de salle de bain fait à ma salle de bain. Melany : Vraiment ? Et c'est moche ? Luan : Ce n'est pas encore le cas, mais si vous ne le réparez pas rapidement, il restera ! - Il m'a regardé. – Tu passes à la maison avant d'aller manger ? Je promets que je ne serai pas long! Melany : Bien sûr que oui ! Vais-je visiter votre maison alors? Luan : Magnifique. – Il m'a regardé et a démarré la voiture. – Ne remarquez pas le désordre ! Melany : Et la clé, tu as pensé ? Luan : Pouvez-vous croire que c'était à la porte ? Je l'ai verrouillé et laissé dans la serrure, Bryan n'était pas du tout à blâmer ! Melany : Et tu te bats avec le garçon ! Luan : Secret notre Melany, ne lui dis pas ! Melany : promis ! - Nous avons souri ensemble. Ouais, Luan est vraiment quelqu'un de spécial, une façon que je n'ai jamais connue de toute ma vie. Hé Melany, arrête, qu'est-ce que tu penses faire ? Ouais, je dois me contrôler, parce qu'il peut sembler inévitable que je tombe amoureuse de lui... Luan Je ne sais pas si c'est du macumba, s'ils ont fait du travail pour moi, ce que je sais c'est qu'il y a quelque chose qui ne va pas chez moi. Beaucoup. Pourquoi aurais-je dû ressembler à un idiot, pourquoi est-ce que j'ai l'air d'un idiot ? Je suis resté là pendant une heure à choisir les vêtements que j'allais trouver Melany, j'ai l'air d'une fille de 12 ans, sortant avec ses amis pour la première fois. Et maintenant, je l'avais dans la voiture, je l'emmenais dans mon appartement. C'est déjà Luan, tu ne connais même pas la fille depuis 24 heures, et tu te comportes comme une bête ! Melany : Tu sais ce que j'ai pensé ? – Elle m'a sorti de mes rêveries Luan : Quoi de beau ? Melany : Que si ton appart est aussi rangé que ta voiture, je serai gênée devant toi. Luan : Je vais te dire encore un secret, je l'ai fait laver hier, c'est pour ça que c'est comme ça ! Melany : Wow, ça ne compte pas, j'ai eu l'une des plus grosses blagues de ma vie devant toi, après avoir ouvert la porte avec cette robe. Luan : Arrête, ce n'était pas une blague. Melany : Pas étonnant – dit-elle ironiquement – à quel point cette robe ne couvrait presque rien, et tu ne me connaissais même pas. Luan : Tu ne l'as jamais utilisé ? Melany : Cette robe n'était pas à moi ! C'était de Margareth, tu te souviens que je te l'ai dit ? - J'ai été d'accord. – Tu penses que je suis un perguete ? - Elle m'a regardé. Luan : Bien sûr que non, que ça ! - Je me suis empressé de dire ! – Tu n'es pas comme ça, j'ai compris tout de suite, pas moyen !   
Free reading for new users
Scan code to download app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Writer
  • chap_listContents
  • likeADD